Nos articles d’actualité et d’analyse sur la première banque française cotée, ses résultats financiers, sa stratégie, ses investissements, sa politique de ressources humaines, sa gouvernance.
La banque a quantifié sa trajectoire de profit pour l'ensemble de l'exercice. Elle attend beaucoup de la croissance de ses revenus d’intérêts au second semestre.
La fintech de paiement différé devenue filiale de BNP Paribas compte préserver son agilité et développer son activité grâce à l’intelligence artificielle. Elle l'a intégrée à de multiples processus, y compris à la relation client.
Dans la plupart des grandes banques françaises, les salariés bénéficient d’un jour de télétravail en agence et de deux jours dans les fonctions siège et support. Aucune évolution n’est au programme, mais le changement de braquet du groupe de La Défense sonne comme un avertissement.
La banque française reprend les activités de dépositaire et de conservation de titres de HSBC outre-Rhin. Elle cède aussi sa filiale Cetelem Argentina à Revolut.
Le groupe bancaire a publié un objectif de rentabilité de capitaux propres de 17% pour son pôle de banque commerciale, à horizon 2028. Il en a aussi profité pour changer la dénomination de sa «banque de détail» en «banque des particuliers et des entrepreneurs».
En dépit d’une activité record de son pôle CIB, la banque dirigée par Jean-Laurent Bonnafé a vu son résultat net s’éroder de 4,9% au premier trimestre, à 2,95 milliards d’euros. En cause, le repli de la rentabilité de ses activités de location automobile.
La plus grande banque française a enregistré une performance conforme aux attentes sur les trois premiers mois de 2025, tirée par une forte activité dans la BFI.
L’an dernier, 191 «preneurs de risque» de la banque de la Défense, dont 80 basés en France, ont été payés au-delà du million d’euros. C’est 30% de plus qu’en 2023, mais nettement moins que BNP Paribas.
La banque compte finaliser cette acquisition en juillet. Une décision de la Banque centrale européenne va toutefois affecter le retour sur capitaux investis de l’opération.
Entre Jamie Dimon de JPMorgan et Philippe Brassac du Crédit Agricole, la différence de rémunération est abyssale. Loin derrière les Américains, les dirigeants des banques françaises sont également nettement moins bien payés que leurs homologues européens.
BNP Paribas devait annoncer mercredi lors d’un comité d’entreprise fermer plusieurs centaines de points de vente hexagonaux sur les 1.500 à son enseigne. La France reste plus largement dotée en agences que ses voisins européens, où la restructuration des réseaux est plus avancée.
La banque va proposer en mai à ses actionnaires de repousser l'âge limite de ses mandataires sociaux. Jean-Laurent Bonnafé pourrait même, en théorie, rester directeur général jusqu'en 2031, soit près de vingt ans en poste.
La nouvelle entité, qui revendique le traitement de 17 milliards de transactions par an, va faire concurrence à celle créée par Worldline et le Crédit Agricole.
Au terme d’un millésime 2024 marqué par un résultat net record de 11,7 milliards d’euros, la banque dirigée par Jean-Laurent Bonnafé voit poindre un retour en grâce de ses activités de détail, notamment en France. Mais pas question de relâcher l’effort de l’efficacité opérationnelle.
La plus grande banque française a dévoilé des résultats en hausse et supérieurs aux attentes au titre du quatrième trimestre. Son profit net atteint 2,3 milliards d'euros.