Aéronautique - Défense
Retrouvez toute l’actualité du secteur de l’aéronautique-défense. Notre analyse des grandes tendances à l’œuvre dans l’industrie, les publications des principaux acteurs du domaine, qu’il s’agisse de constructeurs (Airbus, Boeing, Dassault Aviation) ou d’équipementiers (Thales, Safran).
Peu perturbé par la déroute des marchés financiers, le spécialiste allemand de la défense va racheter son compatriote Hagedorn-NC en vue de convertir ses activités vers des débouchés militaires. En Bourse, le secteur se révèle plus résistant que la moyenne.
Dans le sillage d’Elon Musk, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos s’apprête à envoyer à son tour sa première constellation de satellites destinés à son projet d'internet spatial, à partir du mercredi 9 avril.
Le gendarme britannique de la concurrence estime que les concessions fournies par le groupe français pourraient suffire à apaiser ses craintes.
Le fonds de pension danois les sort de sa liste d’exclusions pour contribuer au financement de l’Europe de la défense et de la sécurité.
Une trentaine d'entreprises sont rayées des listes d'exclusion qui concernent Danske Bank AM et Danica.
Les investisseurs ESG soutiennent le secteur de la défense, mais n'auront pas le doigt sur la couture du pantalon.
Forte de la plus dense industrie de défense en Europe, et de la position de deuxième exportateur mondial, la France se positionne comme un leader potentiel dans le contexte actuel de réarmement général.
Après leur flambée boursière, les fabricants d’armes valorisent désormais une hausse des dépenses militaires à 2,5% du PIB en 2030, estiment les spécialistes d’UBS qui considèrent ce niveau comme conservateur.
Bras financier de l’UE, la Banque européenne d’investissement a, malgré sa taille, opéré un pivot rapide pour réorienter une partie de ses forces dans l’effort de défense européen.
La Base industrielle et technologique de défense (BITD) que les ministres de l'Economie et des Armées veulent soutenir est constituée d'un vaste réseau de 4.500 sous-traitants, PME et start-up.
Mobilisés par le ministère des Armées et Bercy jeudi 20 mars pour renforcer le financement des entreprises de défense, banquiers, assureurs et gestionnaires de fonds ont répondu présents et fait plusieurs annonces. Des initiatives qui méritent maintenant d’être coordonnées pour une efficacité optimale.
Le spécialiste des technologies d’amplification, de détection et d’imagerie profite aussi du désengagement de son premier actionnaires, HLD, dont le poids tombera bientôt à 40% du capital.
Annoncée fin février, la cession de l'équipementier français à un groupe américain fait polémique au nom de la souveraineté nationale. Un cas d'école pour les fonds, appelés à soutenir l'effort de défense, mais limités dans leurs options de sortie.
La banque publique s’appuie sur sa mobilisation historique en dette, capital et garanties pour ce pan stratégique de l’industrie française. Elle renforce ses produits.
La fintech annonce jeudi, à l’occasion de l’événement organisé à Bercy pour financer la défense, porter sa capacité de financement à 1,8 milliard d’euros cet été.
Pour répondre aux besoins de financement de la future montée en cadence des industriels de l'armement, l’Etat organise ce jeudi 20 mars une grand-messe qui réunit près de 500 acteurs de la finance ainsi que des entreprises concernées. L’objectif est notamment de rendre le secteur à nouveau attractif aux yeux d’investisseurs soucieux de leur image ESG.
La cour d’appel de Toulouse reconnaît que l’équipementier aéronautique n’a pas respecté le contrat d’émission et engage donc sa responsabilité. Toutefois, les juges excluent une grande partie des porteurs de bons de souscription d’actions. De nouveaux débats s’ouvrent pour déterminer le montant de la réparation.
Bercy s’apprête à annoncer jeudi des mesures en faveur des PME et ETI de la défense. Si les investisseurs en capital seront en première ligne pour aider cet écosystème, les entreprises, souvent sous-traitantes, sont avant tout à la recherche de financements de leur besoin en fonds de roulement.
La réforme économique voulue par le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, doit encore obtenir l'aval de la deuxième chambre parlementaire du pays, le Bundesrat. Un vote est prévu vendredi.
L’opérateur de marché a finalement laissé inchangé son indice CAC 40 ESG alors que plusieurs mouvements étaient envisagés, y compris la sortie de trois fabricants de matériels militaires.