
Edmond de Rothschild renforce son équipe de banque privée à Hong Kong
Le groupe Edmond de Rothschild annonce l’arrivée de six nouveaux collaborateurs au sein de son équipe de banque privée à Hong Kong dans le cadre d’un plan visant à renforcer ses activités de Banque Privée en Asie.
La nouvelle équipe sera constituée de banquiers privés et de conseillers en banque privée. Sous l’égide de Monique Chan, CEO de la Banque Privée Edmond de Rothschild S.A., Hong-Kong et Chairman Asie pour le Groupe, l’équipe élargie proposera des services sur mesure axés sur la clientèle, et se spécialisera dans l’élaboration de solutions destinées aux entrepreneurs et à leur famille en matière d’optimisation, de préservation et de planification patrimoniale et successorale.
Le groupe Edmond de Rothschild compte 31 bureaux dans 19 pays en Europe, en Asie, au Moyen- Orient et en Amérique du Sud et 2 800 collaborateurs de par le monde. Le groupe a pour objectif de porter le montant total de ses actifs sous gestion à 158 milliards d’euros d’ici 2016.
Le Groupe est présent à Hong Kong depuis plus de 20 ans. En 1992, il a établi un bureau de représentation pour ses activités de Banque Privée, lequel a obtenu une licence d’activité en 2012 au titre de laquelle il opère désormais en qualité de succursale. Le Groupe a également démarré son activité d’Asset Management à Hong Kong en 2007. Le groupe Edmond de Rothschild a été l’une des premières institutions européennes à se voir attribuer un quota d’actions chinoises « A » dans le cadre du programme QFII (Qualified Foreign Institutional Investor) en 2006. Le Groupe dispose d’un bureau de représentation à Shanghai, où il opère dans le domaine du private equity. Les pôles Banque privée
et Asset Management oeuvrent de concert sous l’égide de Monique Chan pour renforcer la présence du Groupe dans la région.
Source : communiqué
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« Aucun regret » : les manifestants népalais blessés fiers d'avoir porté le changement
Katmandou - Le 8 septembre, l’étudiant Aditya Rawal a vu 14 personnes tomber devant lui sous les balles de la police près du Parlement népalais où il manifestait contre le blocage des réseaux sociaux et la corruption du gouvernement. Il s’est précipité, les mains en l’air, pour aider l’un de ses camarades quand il a été lui-même atteint à un bras et au ventre. «J’avais entendu quelque part qu’en levant les deux mains, ils ne nous tireraient pas dessus», raconte à l’AFP ce jeune spécialiste de marketing numérique de 22 ans, depuis son lit d’un hôpital de la capitale Katmandou. «Mais j'étais leur cible», ajoute-t-il. Ce lundi-là, Aditya Rawal avait rejoint le cortège de milliers de jeunes, réunis sous la bannière de la «Génération Z», qui dénonçaient un gouvernement à leur yeux corrompu et incapable de satisfaire leurs exigences, notamment en matière d’emploi. Plus de 20% des jeunes Népalais de 15 à 24 ans sont au chômage, selon les estimations de la Banque mondiale. «Il y avait eu beaucoup de manifestations auxquelles participaient des personnes plus âgées, mais lors de la nôtre, ils ont eu recours à des armes à feu», se désole-t-il. Au lendemain de la manifestation, la colère s’est prolongée dans les rues de la capitale, où les principaux symboles du pouvoir - Parlement, bâtiments gouvernementaux, résidences d'élus - ont été incendiés ou détruits. Selon le dernier bilan officiel, ces émeutes, les plus graves depuis l’abolition de la monarchie au Népal en 2008, ont fait au moins 72 morts. Et 191 blessés étaient encore hospitalisés dimanche, comme Aditya Rawal. Le Premier ministre KP Sharma Oli n’a eu d’autre choix que de démissionner, remplacé vendredi par l’ex-cheffe de la Cour suprême Sushila Kalki, 73 ans, à la tête d’un gouvernement provisoire jusqu’aux élections prévues le 5 mars 2026. «Du courage» L’infirmière Usha Khanal, 36 ans, raconte avoir soigné des blessés avec des gants «imbibés de sang» au milieu des gaz lacrymogènes tirés à proximité par les forces de l’ordre. L’hôpital public de Katmandou a admis 458 manifestants blessés, six y sont morts dont quatre âgés de moins de 30 ans. «Nous voulons un gouvernement transparent, sans corruption et pas une dictature», met en garde Aditya Rawal. «S’il n’y a pas de changement, nous avons encore le temps de nous battre.» La cousine d’Aditya Rawal, Puja Kunwar, 20 ans, reste à son chevet depuis lundi. «Il a agi pour notre pays», assure la jeune femme, «cela me donne vraiment du courage». Dans le même service, Subash Dhakal, un manifestant de 19 ans grièvement blessé aux genoux, a été informé par ses médecins. Il devra rester alité pendant six mois. Les sacrifices des victimes «ne doivent pas être vains», souligne-t-il. «Ce que nous avons fait a fait tomber le gouvernement et permis d’en nommer un autre (...) nous ne voulons pas que le pays retourne en arrière». Sa mère enseignante dans une école publique, Bhawani Dhakal, 45 ans, lui avait donné de l’argent pour rejoindre en bus les manifestations depuis leur ville natale, à 30 km de Katmandou. Elle raconte avoir elle-même manifesté, il y a quelques mois, avec des collègues contre un projet de loi sur l'éducation. Sans résultat. «C’est incroyable qu’ils aient réussi à susciter un tel changement en seulement vingt-quatre heures», se félicite-t-elle. «Nos enfants ont fait partir tous les dirigeants corrompus.» Subash Dhakal est tout aussi fier. «Je n’ai aucun regret,» affirme-t-il. «Je ne l’ai pas fait que pour moi mais pour tout le monde, de ma famille à tous les frères. La douleur (de ma blessure) est éphémère, elle aura surtout permis des changements». Glenda KWEK and Anup OJHA © Agence France-Presse -
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