
CARNET AGEFI ACTIFS 811
GESTION DE FORTUNE
PHILIPPE GUEZ, 57 ans, est nommé responsable France du conseil en investissement bancaire au sein de la division gestion de fortune chez Credit Suisse France. Il entame sa carrière en 1987 comme associate en financement LBO à Paribas à Chicago avant d’intégrer la société Euris dans l’équipe d’investissement en 1989. Vice-président en M&A à Deutsche Bank à Paris de 1993 à 1998 puis responsable des fusions et acquisitions de Merrill Lynch en France jusqu’en 2004, il fonde, en 2005, Baycap, boutique de conseil en M&A spécialisée dans le conseil small et midcap. Il était depuis 2014, associé chez Atlas Financial Solutions (ATFIS), conseil indépendant en fusions et acquisitions dédié aux entrepreneurs small et midcap.
BANQUE
ALAIN GIRON, 59 ans, devient directeur général de la Fédération nationale des Banques Populaires (FNBP). Il réalise toute sa carrière dans le groupe BPCE comme inspecteur-chef de mission dans le réseau des Banques Populaires puis entant que directeur de cabinet du président du groupe et délégué BPCE, assurant le suivi et l’accompagnement des instances de gouvernance de divers établissements du groupe. Il est également nommé délégué général de la Fondation d’entreprise Banque Populaire.
CHARLES-EDOUARD CHEVALLIER, 44 ans, nouveau managing director, investment banking France de Degroof Petercam. Il commence en M&A à Londres chez UBS Investment Bank, puis William Blair & Company. Il travaille ensuite dans l’équipe M&A de Alantra (Downer & Co.) à Paris, avant d’officier sept ans dans les équipes M&A de HSBC Global Banking à Paris, puis à Londres. Plus récemment, il avait cofondé la boutique Alexander Partners.
ASSURANCE
FLORENCE BARJOU, 49 ans, est nommée directeur des investissements de Crédit Agricole Assurances. Après avoir débuté sa carrière au sein du département de la recherche économique de la banque d’investissement de la BNP, elle intègre Lyxor en 2006, en qualité de stratégiste global macro et gérante de portefeuilles. Elle est nommée, en 2013, responsable des gestions diversifiées puis responsable adjointe du pôle performance absolue & solutions en 2014 et managing director, adjointe du CIO. Elle est promue, en 2020, directeur des investissements.
MATTHIEU LANCE, 53ans, devient directeur adjoint des investissements, responsable des actifs réels et des participations de Crédit Agricole Assurances. Il démarre sa carrière au CCF en 1994 en ingénierie financière sur les financements structurés. En 1998, il rejoint la Banque Lazard où il est conseiller de grands clients industriels et fonds d’investissement en fusions & acquisitions. Il entre, en 2007, chez BNP Paribas au poste de managing director corporate finance et devient successivement, responsable des secteurs industriels chimie, aérospatial, défense et automobile de 2007 à 2012 puis au sein de l’équipe fusions & acquisitions France jusqu’en 2016, date à laquelle, il intègre Crédit Agricole CIB en tant que responsable mondial adjoint des fusions & acquisitions, activité dont il est co-responsable mondial depuis fin 2019.
GUILLAUME ORECKIN, 56ans, directeur général de Pacifica et second dirigeant effectif de Crédit Agricole Assurances. Il commence sa carrière en 1992 au sein du département assurances de Sema group. Il rejoint, en 1992, le cabinet de conseil en management KPMG Peat Marwick et participe à la création du pôle assurances. Nommé partner en 1999 puis membre du comité des opérations de CSC France en 2006, il dirige l’activité consulting assurances du cabinet. En 2007, il intègre le groupe Crédit Agricole au poste de directeur général adjoint de Pacifica, en charge des opérations puis du développement à partir de 2013. Il est nommé, en 2017, directeur des assurances à l’international de Crédit Agricole Assurances.
BRUNO ANGLES, 57 ans, est nommé vice-président d’Arial CNP Assurances. Il débute sa carrière en 1988 dans le secteur du BTP puis au ministère de l’Equipement, avant d’intégrer le cabinet du ministre de l’Equipement, des Transports et du Tourisme, comme conseiller technique en 1993. En 1994, il est nommé directeur général d’Autoroutes et Tunnel du Mont-Blanc, puis en 1996, rejoint McKinsey dont il devient directeur associé en 2000. Il est nommé, en 2004, directeur général de Vinci Energies. Après avoir été senior partner de Mercer Delta, il entre, en 2007, chez groupe Macquarie dont il est président France jusqu’en 2016. Entre avril 2016 et avril 2021, il est président France et Belgique de Credit Suisse et président du comité exécutif de Credit Suisse en France. Il est administrateur de la RATP depuis 2016 et de la Fondation de France depuis 2019.
CHRISTIAN BORSONI, 56 ans, devient directeur général d’Arial CNP Assurances. Après un début de carrière en 1989 et plus de trente ans dans le secteur bancaire, il passe quatre ans au sein de l’Inspection générale de BNP Paribas puis exerce diverses responsabilités au sein de la banque de détail en France à partir de 2001. Il conduit divers programmes de transverses à partir de 2004 avec BNP Paribas Cardif et les partenaires externes de la banque à partir de 2010. Il assume ensuite des responsabilités opérationnelles en qualité de directeur de groupes d’agences en région pendant six ans puis en tant que directeur commercial des activités retail de la banque de détail en France. Il est nommé en 2016, directeur de BNP Paribas Epargne & Retraites Entreprises et couvrait les domaines de l’assurance collective et de l’épargne salariale.
GESTION D’ACTIFS
FRANÇOIS L’HENORET, 38 ans, est nommé directeur du développement de Financière Arbevel. Fort de quinze années d’expérience en développement commercial dans l’industrie de la gestion d’actifs, il exerce pour diverses sociétés de gestion françaises et internationale telles que Tocqueville Finance, Rothschild & Co et Janus Henderson Investors. Il était depuis 2018, directeur du développement chez Sanso Investment Solutions.
IMMOBILIER
SYLVAIN MONTCOUQUIOL est nommé directeur général des fonctions centrales et du développement durable chez Unibail-Rodamco-Westfield. Il commence sa carrière chez Capgemini Consulting. Il rejoint Unibail en 2005. En tant que directeur groupe de l’organisation, il pilote l’intégration d’Unibail et Rodamco après la fusion de 2007. Directeur des ressources humaines et de l’organisation depuis 2014, il est à partir de janvier 2021, directeur général des ressources humaines et de l’organisation, membre du comité exécutif.
INSTITUTIONS
CHARLES MOUSSY, 36 ans, est nommé directeur de l’innovation et de la finance digitale, de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Il débute sa carrière au sein du cabinet Mazars en tant que responsable de missions d’audit financier et de restructuration auprès des grands comptes. Il intègre en 2015, la direction des émetteurs de l’Autorité des marchés financiers (AMF), en charge du contrôle des opérations financières et de l’information diffusée par les sociétés cotées des secteurs de la technologie et des médias. Il s’investit, depuis 2018, dans la conception et la mise en œuvre de la réglementation relative aux offres au public de jetons (ICO) et plus généralement sur les sujets en lien avec les émissions de crypto-actifs.
KAREN DEGOUVE, 49 ans, est nommée directrice en charge du climat de la Fédération bancaire française (FBF). Elle exerce dans le domaine des marchés de capitaux émergents pour UBS et Nomura group. Responsable financement de projets d’énergie en France, Moyen-Orient et Afrique chez ABB, elle rejoint, en 2005, Natixis où elle gère le fonds Carbone Européen. Elle a également dirigé l’équipe Finance-Climat de Natixis Environnement & Infrastructures (aujourd’hui Mirova). Elle a été membre du conseil d’administration de l’International Emissions Trading Association (IETA) entre 2008 et 2012.
DOMINIQUE GOURSOLLE-NOUHAUD, 69 ans, devient présidente des Caisses d’Epargne européennes (ESBG : European savings and retail banking group). Après avoir réalisé l’essentiel de sa carrière dans le secteur des transports, elle préside depuis 2017, le conseil d’orientation et de surveillance de la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes. Elle est élue en mai dernier, président de la Fédération nationale des Caisses d’Epargne.
AUDIT/CONSEIL
SEBASTIEN REVEL, 48ans, nouvel associé, EYConsulting. Après une première expérience chez Alstom au Mexique, il débute sa carrière de consultant en direction générale chez A.T.Kearney où il évolue en tant que manager sur des projets de stratégie opérationnelle pour des leaders industriels. En 2005, il intègre Advancy et contribue au développement du cabinet en qualité d’associé en charge des secteurs industriels pour le compte de clients corporate et de private Equity.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse