
CARNET AGEFI ACTIFS 743
ORGANISATIONS
, FPSB EUROPE
RAYMOND LEBAN est nommé chairperson of FPSB Europe pour deux ans. Directeur de la direction économie tarifs et prix d’EDF jusqu’en 2017, il est professeur honoraire du Conservatoire national des arts et métiers et président de CGPC depuis avril 2015 et président de CGPC (FPSB France).
, ASSURANCES
, GROUPE MACIF
ISABELLE PARTHONNAUD, 49 ans, est nommée directrice des ressources humaines et de la communication internedu groupe Macif. Elle démarre sa carrière en 1992 dans le groupe CarnaudMetalbox alimentaire et les transports puis la poursuit dans le secteur hôtelier en intégrant le groupe Accor en 2001. Elle intègre ensuite le secteur du médico-social en tant que DRH du groupe Korian puis est nommée secrétaire générale du groupe en charge des RH, de la communication interne et des partenariats de la Mutuelle Nationale des Hospitaliers et des Professionnels de la santé et du social.
, INSTITUTIONS
, COUR DES COMPTES
MICHELE PAPPALARDO devient rapporteure générale du rapport public et des programmes de la Cour des Comptes. Elle entre à la Cour des comptes en juin 1981. Elle devient directrice financière de l’établissement public Télédiffusion en 1986 puis directrice du cabinet du ministre de l’Environnement en 1993 et directrice générale de l’administration et du développement en 1995, et ensuite directrice générale de France 2 entre 1996 et 1999. Elle crée le commissariat général au développement durable au ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire qu’elle dirige de 2008 à 2011 tout en assurant les fonctions de déléguée interministérielle au développement durable. Nommée présidente de chambre en février 2017, elle préside la septième chambre de la Cour avant de devenir directrice de cabinet du ministre d’Etat, ministre de la Transition Ecologique et Solidaire. Elle présidait depuis novembre 2018 la formation interjuridictions sur les finances publiques locales.
, GESTION D’ACTIFS
, OSTRUM ASSET MANAGEMENT
EMMANUELLE PORTELLE, 56 ans, est nommée directrice contrôles permanents, conformité et risques, membre du comité exécutif, Ostrum Asset Management. Elle commence sa carrière en 1987 chez Coca Cola en contrôle de gestion avant de rejoindre l’année suivante, la Banque Internationale de Placement comme arbitragiste sur les taux sur le marché européen. Elle officie, entre 1993 à 2005 au sein de la Caisse des dépôts et de Consignations sur des fonctions diverses telles que market maker sur les obligations, contrôleur des risques et résultats des activités fixed income de la salle des marchés et auditeur interne du groupe spécialisé sur les activités de marché et de gestion d’actifs. Elle intègre, en 2005, Natixis Investment Managers en qualité de senior compliance officer sur les entités françaises, puis devient directeur adjoint compliance, risk management et audit interne en charge de l’Europe puis de l’Asie en 2012. En 2017 son périmètre s’étend sur l’activité private equity pour le volet compliance, risk management et audit interne.
, C-QUADRAT AM France
ANRIETA CHUPRENSKA est recrutée par C-Quadrat AM France en qualité de responsable de la gestion sous-mandat et gérante des fonds diversifiés. Elle exerçait depuis 2008 en tant que gérante obligataire à La Française des Placements. Elle s’est spécialisée dans la gestion crédit participant au développement de cette expertise au sein de la société sur une large gamme de produits dont la dette subordonnée et l’investissement socialement responsable.
BORIS AFANASIEV est nommé analyste senior de BNP Paribas Asset Management (basé à Londres). Responsable de la recherche sur les matières premières chez Winton Capital Management en 2003 puis analyste quantitatif senior chez AGR Capital Management en 2012, il occupe les fonctions de CIO et fondateur associé chez Asset Algo Advisory.
BENOÎT BELLONE devient analyste senior chez BNP Paribas Asset Management. Economiste pour l’OCDE en France, il était depuis 2007, responsable de la recherche et développement actions et multi-asset chez HSBC Global AM.
FREDERIC ABERGEL est nommé analyste senior chez BNP Paribas Asset Management. Il occupe divers postes de recherche quantitative dans le secteur de la banque d’investissement chez Natixis, Barclays Capital, CAI Cheuvreux et BNP Paribas. Il exerçait précédemment chez CentraleSupélec où, en tant que directeur de la chaire de finance quantitative, il mène pendant onze années des recherches sur les marchés électroniques et la finance à haute fréquence.
, HUGAU GESTION
CHRISTIAN SCHOR, 56 ans, rejoint la société de gestion Hugau Gestion en tant que directeur général adjoint. Il démarre sa carrière en 1989 chez Allianz France avant d’exercer la fonction d’analyste financier chez Axa de 1990 à 1994 puis comme responsable d’une équipe de gestion au sein de l’organe central du groupe BPCE jusqu’en 1998. Directeur financier et membre du comité de direction du Fonds de garantie des assurances obligatoires entre 2005 et 2018.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse