
CARNET ACTIFS 813
BANQUE
ALEXANDRE GIROS, 41ans, est nommé directeur général de Ma Franch Bank (La Banque Postale). Il démarre sa carrière en 2005 dans le monde des médias, en charge du développement de l’activité de la plateforme digitale vidéo de TF1 puis à la direction de la stratégie du groupe, sur la planification stratégique et le M&A. Il entre, en 2011, chez BNP Paribas en qualité de coordinateur digital, web & mobile avant de participer, dès 2013, au lancement d’Hello Bank ! en Europe en tant que responsable user experience et medias sociaux. Il participe, en 2016, aux chantiers de transformation des modèles de distribution du retail de BNP Paribas. Il rejoint La Banque Postale en 2017 comme directeur de la stratégie et des offres digitales puis comme directeur du digital en 2018 avant d’être nommé, en 2019 au comité de direction générale. Il est, en février 2021, directeur de l’innovation, du digital et de la data auprès du président du directoire de La Banque Postale.
LOUIS VERCKEN, 42ans, est nommé managing partner d’UBS France. Après avoir débuté sa carrière en fusions-acquisitions chez Lazard à Paris en 2003, il rejoint, en 2004, la boutique M&A DC Advisory où il se spécialise dans le conseil sur les transactions de taille moyenne pour le compte de dirigeants-actionnaires, fonds d’investissement et grands groupes français. Promu directeur exécutif en 2017, il rejoint, en 2018, la boutique M&A Advisor Partners comme directeur associé.
MAXIME HAVEZ, 32ans, devient chief data officer au sein du Crédit Mutuel Arkéa. Il entre chez Crédit Mutuel Arkéa en 2016 en qualité de data scientist puis responsable du data labs avant de prendre en 2020, la responsabilité du département innovation & intelligence artificielle.
IMMOBILIER
JEAN-MARC COLY, est nommé senior advisor au sein du groupe Panhard dans le cadre du développement de son activité d’investissement et asset management. Il débute sa carrière en tant que notaire puis se lance dans la gestion d’actifs en 1993 en rejoignant la Française AM où il occupe la fonction de directeur général de la filiale immobilière. Après un court passage au sein d’Altarea Cogedim, il est nommé directeur général d’Amundi Immobilier en 2015 et y gère les investissements et actifs immobiliers ainsi que la structuration et la distribution de fonds destinés à des institutionnels et aux particuliers. Il est par ailleurs l’actuel président de l’ASPIM, Association française des sociétés de placement immobilier.
PHILIPPE ARRAOU 68 ans, nouveau senior advisor du groupe MNK. Il est expert-comptable et consultant en transformation d’entreprises, spécialiste de RSE. Il préside, entre 2015 et 2017, l’Ordre des experts-comptables et le cabinet BDO France de 2018 à 2021. Il a siégé au board de la Fédération mondiale de la comptabilité IFAC de 2016 à 2019. En 2017, le gouvernement français lui confie une mission sur la transformation digitale des PME et participe à la préparation de l’avant-projet de loi PACTE. A ce jour, il préside la Fédération européenne des experts fiscaux (ETAF) depuis 2016 et le Comité d’intégration latine (CILEA) depuis 2018.
MARIE LE DIRAC’H, 38 ans, est nommé directrice principale, gestion des risques, investissements, Europe au sein d’Ivanhoé Cambridge. En poste au sein de General Electric à partir de 2007, elle occupe divers postes en finance chez GE Healthcare et NBC Universal à Paris, Dubaï et Londres avant de rejoindre GE Capital Real Estate France en 2010, et y développe une expérience en investissement et gestion d’actifs bureaux et logistiques. Elle entre chez AXA IM Real Assets fin 2014 en qualité de responsable de la gestion des risques d’investissement immobilier côté equity, toutes classes d’actifs confondues.
MARINE GUIOT, 41ans, entre chez JLL en qualité de directrice RSE. Après avoir exercé chez Accenture France, elle rejoint JLL en 2016 en tant que responsable achats. Elle est promue successivement directrice des achats France Benelux en 2018 puis responsable RSE en 2020.
JEAN-MAXIME JOUIS, 36 ans, rejoint BNP Paribas REIM France en tant que global head of fund management & private investors, directeur général délégué. Il intègre BNP Paribas REIM en 2007 et y occupe les fonctions d’asset manager, fund manager et directeur du fund management. Il est membre du directoire depuis 2019.
AVOCATS
GUILLAUME HANNOTIN, fondateur du cabinet Hannotin Avocats. Il exerce au sein de cabinets d’avocats aux conseils, tout en conservant une activité d’avocat au barreau en particulier en matière pénale et en enseignant à l’université. Il est nommé en 2008, avocat associé au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation. Il intervient dans divers dossiers emblématiques ainsi que dans des dossiers de place, pour certains à l’origine de l’évolution du droit français, pour d’autres significatifs en raison de leur portée, comme sur le travail du dimanche, sur la sécurisation des investissements via l’assurance vie en EMTN, plébiscités par les épargnants.
ANTOINE COURSAUT-DURAND, 41 ans, est nommé associé en droit public desaffaires et en droit de l’environnement au sein de PwC Société d’Avocats. Il exerce au sein de cabinets d’avocats d’affaires français et anglo-saxons. Il démarre sa carrière chez Gide Loyrette Nouel puis intègre, en 2011, Allen & Overy où il devient, en 2017, counsel au sein du département droit public et droit de l’environnement.
ORIANNE VIARDOT-CARNEVILLIERS estnommée counsel au sein de l’équipe droit social d’Aramis. Avocate en 2013, elle exerce dans divers cabinets d’avocats spécialisés en droit social tels que Capstan et Flichy Grangé avant d’intégrer Aramis en 2016.
GESTION D’ACTIFS
ANNE MACEY devient responsable des affaires publiques chez Natixis Investment Managers. Elle démarre sa carrière à la Mairie de Paris en 2001 puis au Crédit Mutuel comme responsable des relations institutionnelles européennes avant d’exercer, de 2004 à 2008, différentes fonctions à l’international chez Banque Mondiale (Washington DC) et pour le fonds d’investissement à impact Enclude (Maroc). Elle travaille ensuite entre Bruxelles et Paris au sein du think tank Confrontations Europe dont elle est nommée déléguée générale en 2014. Elle était depuis 2020, directrice de cabinet du rapporteur général du Budget à l’Assemblée nationale.
JULIA KUNG, 45 ans, est nommée analyste gérante convertibles de Groupama Asset Management. Elle exerce chez Goldman Sachs International en qualité d’associate au sein de la division investissements puis chez Amundi Asset Management comme senior investment specialist. Elle était depuis 2018, portfolio manager, responsable de plusieurs fonds et de la gestion active.
PIERRE LEROUX, 42 ans, est nommé directeur des relations investisseurs d’Acofi Gestion. Il débute sa carrière chez Euronext sur les marchés actions en 2002 puis dans le financement en 2003 chez Fortis BNP en qualité d’analyste crédit LBO. Il évolue ensuite en coverage corporate chez HSBC en 2005. Il rejoint, en 2007, la gestion d’actifs au sein d’HSBC AM en qualité de vendeur institutionnel France et œuvre à développer la clientèle pour la région Benelux. Il entre, en 2017 chez Aviva Investors France, responsable de la zone Frabelux au sein d’une équipe européenne coordonnée sur les segments de clientèle wholesale et institutionnelle.
NICOLE VETTISE, nouvelle managing director et client portfolio pour les marchés actions sur la région EMEA (basée à Londres) au sein de Neuberger Berman. Responsable de l’équipe spécialisée en investissement sur les ressources naturelles et en investissement thématique, elle exerce des fonctions similaires chez RBC Global Asset Management et JP Morgan Asset Management. Elle travaille ensuite pour Franklin Templeton, où elle occupe pendant trois ans le poste de gérant de portefeuille institutionnel senior sur les actions émergentes, et développe la stratégie commerciale pour les clients particuliers et institutionnels sur la région EMEA et au Canada.
RONALD GAULTIER, 41 ans, nouveau directeur d’investissement – transition énergétique chez Acofi Gestion. Après avoir entamé sa carrière en 2005 au sein des départements transactionnels (M&A) et d’audit de PwC et Deloitte, il occupe la fonction de manager pour les activités de conseil en financement de projets de PwC puis devient gérant au sein de l’équipe d’investissement en dette privée d’infrastructure d’Allianz Global Investors.
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Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse