
CARNET ACTIFS 807
ASSURANCE
JEAN-CHRISTOPHE CAFFET est nommé économiste en chef de Coface. Il débute sa carrière en 2005 dans le secteur bancaire. Il exerce au sein du groupe Natixis/PBCE en tant qu’économiste spécialisé sur la France et la zone euro puis rejoint, en 2014, le groupe TotalEnergies et intègre la direction de la stratégie et de l’intelligence économique en qualité d’adjoint au chef économiste et devient, en 2019, économiste en chef.
SOCIÉTÉ DE GESTION
EDWIN FAURE, est nommé chief investment officer chez Philippe Hottinguer & Cie Gestion. Après avoir exercé au sein d’un établissement de renom américain, il rejoint, en 2014, Raymond James Asset Management. Nommé gérant des fonds microcaps et smallcaps en 2016, il devient, en 2020, gérant de l’ensemble de la gamme de fonds et responsable du comité ESG.
SEBASTIEN HORAY, 45ans, devient directeur commercial France de Mimco Am. Consultant en immobilier patrimonial chez BNP Paribas Real Este puis directeur régional immobilier pour Primonial, il exerce comme responsable du développement avec la distribution de fonds d’investissement auprès d’un réseau de partenaires CGP puis directeur du développement institutionnel au sein de Keys REIM.
FINTECH
MARTIN BRUNCKO devient vice-président exécutif pour l’Europe de Binance. Fondateur, dirigeant et membre du conseil d’administration d’AeroMobil, Stasis, GA Drilling et Neulogy, entreprises européennes de deep tech et de fintech. Membre du comité d’investissement du Fonds du conseil européen de l’innovation, il occupe divers postes à haute responsabilité au sein du gouvernement slovaque, notamment en tant que ministre adjoint pour les Innovations et adjoint pour les Affaires Européennes. Membre du comité économique et financier de l’UE, membre du conseil d’administration du mécanisme européen de stabilité, directeur principal et responsable de l’Europe au Forum économique mondial, il est conseiller principal auprès du commissaire européen à la recherche et l’innovation et du gouvernement de Dubaï.
CONSEIL
JOCELYNE OZDOBA, 40 ans, entre chez Ailancy en qualité de directrice associée durabilité. Après un début de carrière chez Eurogroup, elle se spécialise dans les risques et les enjeux RSE. Elle devient senior manager chez Ailancy, occupe la fonction de responsable de la stratégie et du reporting RSE chez Utopies puis celle de directrice du succès client chez Datamaran.
DAMIEN BACHELOT, 62 ans, nouveau advisory partner de Raphaël Financial Advisory. Il était responsable du lancement et dirigeant d’Aforge Finance, Degroof Corporate Finance France et EY Corporate France.
AVOCATS
JULIEN PARDIEU, 33 ans, counsel au sein de l’équipe fiscale de Scotto Partners. Il exerce au sein du cabinet EY société d’Avocats puis au sein du cabinet BDO Avocats. Il rejoint l’équipe fiscale de Scotto Partners en tant que collaborateur senior début 2020.
HASSAN JAVANSHIR est nommé associé au sein de LPA-CGR avocats. Il était précédemment associé au sein de Ashurst.
AUDREY KUKULSKI, 43 ans, est nommée associée au sein du département contentieux d’Axipiter. Elle développe une pratique en contentieux dans des univers industriels, bancaires et commerciaux. Elle rejoint, en 2000, le département contentieux pénal et commercial du cabinet Gide Loyrette Nouel. Elle est nommée counsel en 2014. Elle intègre en octobre 2019, le cabinet Jeantet en tant que counsel au sein de son département contentieux.
SIAMAK MOSTAFAVI, 63 ans, nouvel associé au sein de Simmons & Simmons. Collaborateur fiscal chez EY en 1984, il est, en 1988, HSBC comme conseiller fiscal auprès des équipes de marchés de capitaux. En 1992, il rejoint Gide où il est nommé associé en droit fiscal avant de rejoindre successivement Allen & Overy puis Jones Day. Il était dernièrement senior counsel chez Dentons à Paris.
BANQUE
ZAKARIA MOURSLI, 53 ans, nouveau directeur général adjoint de La Banque Postale. Après avoir entamé sa carrière dans l’informatique en 1993 chez groupe Safran comme chef de projet puis au sein du groupe Homsys en tant que directeur technique et directeur régional de l’Aquitaine, rejoint en 2002, La Banque Postale et y exerce diverses responsabilités au sein de la direction des systèmes d’information, telles que directeur des architectures techniques et directeur du multicanal et de la banque en ligne. Il intègre ensuite la Société Générale en qualité de directeur de la distribution de la banque de détail en France et du groupe Crédit du Nord. Il prend, en 2015, la fonction de directeur du centre de solution de la banque de détail et de la banque privée en France avant de devenir, début 2017, DSI des réseaux banque de détail France Société Générale, Crédit du Nord et banque privée.
PERRINE KALTWASSER, 41 ans, est nommée directrice générale adjointe de La Banque Postale. Elle commence sa carrière en 2004, à l’Agence financière de l’ambassade de France aux Etats-Unis comme chargée de mission. En 2005, elle devient commissaire-contrôleur des assurances à l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles puis exerce à l’European insurance and occupational pensions authority à partir de 2009 et fait partie de l’équipe Solvabilité 2 en charge des sujets relatifs au contrôle des groupes. Elle y devient chef de projet et participe aux négociations de textes à la Commission Européenne. En septembre 2011, elle rejoint l’ACPR en tant que chef de service en charge de groupes mutualistes systémiques puis intègre en avril 2014, la Banque centrale européenne où elle est nommée chef de division de la direction générale de la supervision micro-prudentielle, en charge de la supervision de quatre grandes banques systémiques. Elle rejoint La Banque Postale en décembre 2018 comme directrice de la gestion du capital et du conglomérat puis comme directrice des risques groupe en 2020, et devient, à ce titre membre du comité exécutif.
ADRIENNE HOREL-PAGÈS, 39ans, membre du comex de La Banque Postale. Elle entame sa carrière en 2007, à Londres, chez Goldman Sachs Asset Management dans l’équipe multigestion. En 2009, il intègre la Financière de la Cité en tant que gérante et y développe divers fonds autour de la thématique inflation sur différentes classes d’actifs. Elle participe, en 2014, à la création et au développement de Vestathena au poste de directeur général. Elle rejoint en 2017, l’AFM à la direction de la régulation et des affaires internationales dans l’équipe chargée de produire et négocier les textes réglementaires de la gestion d’actifs au niveau européen. Elle entre chez La Banque Postale AM en 2019 et pilote le projet de transformation de la société gestion en 100 % ISR. Elle devient en novembre 2020, directrice engagement durable, RSE et communication et membre du comité exécutif de LBPAM. Elle est depuis mars 2021, directrice de l’engagement citoyen de La Banque Postale.
THOMAS GUITTET, 48ans, directeur des risques groupe, membre du comex de La Banque Postale. Il démarre sa carrière en 1996 à l’Inspection générale de BNP Paribas puis intègre le groupe Dexia en 1999 et occupe divers postes à Paris et Bruxelles en audit interne, gestion des risques et communication financière. Il est nommé, en 2009, inspecteur général du groupe Dexia puis directeur adjoint des risques à partir de 2014. Il entre à la Banque Postale en septembre 2018 en qualité de directeur adjoint des risques du groupe, en charge de l’intégration et du pilotage de la filiale risques.
FLORE LARGER, 40 ans, est nommée directrice de la communication chez Lazard. Elle débute sa carrière chez Image7en 2004 puis rejoint le groupe Sanofi en 2013 où elle exerce comme porte-parole aux relations médias du groupe puis directrice adjointe de la communication France et directrice de la communication pour les affaires industrielles globale. En 2016, elle entre chez EDF Renouvelables en qualité de directrice de la communication pour le monde puis rejoint, en 2018, le groupe BNP Paribas et prend en charge la direction de la communication et du marketing de l’activité corporate et institutional banking. Elle était depuis 2019, consultante au sein d’Image 7.
BANQUE PRIVÉE
QUENTIN ARBONNIER, 28 ans, nouveau banquier gestion de fortune à Lyon au sein de Banque Neuflize OBC. Conseiller financier en 2016 puis conseiller en gestion de patrimoine en 2017 chez Crédit Agricole, il rejoint, en 2018, Savoie Mont Blanc Angels en tant que chargé d’affaires capital développement.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse