
CARNET ACTIFS 776
BANQUE
FRÉDÉRIC LAURENT, 57 ans, membre du comité exécutif prend la responsabilité du pôle clientèle retail au sein du groupe Arkéa. Il entre au Crédit Mutuel de Bretagne en 1985. En 2002, il prend la tête de l’informatique des filiales avant de devenir, trois ans plus tard, directeur de l’offre de produits bancaires. Entre 2007 et 2012, il occupe les fonctions de président du directoire de Federal Finance. Il est nommé, en 2012, directeur général adjoint et prend la responsabilité du pôle innovation et opérations d’Arkéa. Il est depuis 2016, membre du comité exécutif du groupe Arkéa, directeur du pôle innovation et opérations.
SOPHIE VIOLLEAU, 48 ans, nouvelle vice-présidente du Crédit Mutuel Arkéa. Fondatrice et cogérante de Parenteo Services depuis 2008, elle assure également, depuis 2010, la responsabilité du service clientèle de la Société de transports du Grand Angoulême (STGA). Elue vice-présidente de la caisse de Crédit Mutuel de la Couronne, en Charente, en 2015 puis administratrice de la fédération du Crédit Mutuel du Sud-Ouest et d’Arkéa en 2016, elle poursuit son investissement au sein du groupe où elle exerce les fonctions de présidente du comité des nominations d’Arkéa, présidente du conseil d’administration de Nouvelle Vague et administratrice de Suravenir Assurances. Elle a également été nommée, le 28 mai dernier, présidente de la fédération du Crédit Mutuel du Sud-Ouest.
BANQUE
VÉRONIQUE CROUZIER, 47 ans, est nommée directrice des ressources humaines, membre du comité exécutif du groupe Arkéa. Elle entre en 2001 chez Federal Finance comme chargée de marketing et de communication puis chargée de mission. Elle intègre, en 2010, la direction des ressources humaines du groupe et participe au projet de transformation de la banque de détail, initié par la direction générale. Elle rejoint le Crédit Mutuel du Sud-Ouest, en 2015, en qualité de directrice de secteur avant de prendre la direction de la vie coopérative, du secrétariat général et de la communication en 2018.
LAURENT JURRIUS, 49ans, est nommé directeur du pôle innovation et opérations, membre du comité exécutif du groupe Arkéa. Il rejoint le groupe Arkéa en 1995 et y exerce diverses responsabilités dans le domaine informatique, avant d’intégrer, en 2007, ProCapital en qualité de directeur général puis président du directoire. Il sera, à partir de 2012, directeur adjoint puis directeur de l’organisation et des moyens du groupe avant de prendre le pôle innovation et opérations en 2019 comme directeur des études informatiques.
ASSURANCE
HERVÉ DE KERMADEC devient membre du conseil de surveillance de LINXEA. Il fonde en 2006, le cabinet de conseil en management L2K Consulting, repris ensuite par Deloitte. Il est actuellement président fondateur de Webhelp KYC Services.
VINCENT SAUZAY est nommé directeur de participations de RAISE Investissement. Il débute sa carrière au sein de l’équipe stratégique chez Eurosport puis exerce ensuite chez Fondations Capital avant d’intégrer RAISE en 2016, en tant que chargé d’affaires.
MAUD NIVELLE devient chargée d’affaires de RAISE Investissement. Elle exerçait au sein de Time For Growth. Elle rejoint les équipes de RAISE en 2018 en qualité d’analyste.
ADRÏANE RENAULT SABLONIÈRE est nommée analyse chez RAISE Investissement. Elle dispose de diverses expériences en fonds d’investissement. Elle exerce au sein de Serena Capital puis chez Andera Partners au sein de l’équipe spécialisée dans les opérations de LBO small cap en France.
AGNES BRUHAT, 46 ans, nouvelle directrice générale de MetLife. Elle occupe des postes de management en réassurance et dans le conseil dans divers domaines de l’actuariat en travaillant pour de nombreux pays. Responsable de la tarification du risque de longévité et des solutions sur-mesure chez Partner Re, en charge de développer des solutions de réassurance de gestion de capital pour les assureurs à l’échelle mondiale, elle intègre MetLife en octobre 2017 en qualité de directeur produits et pricing pour la France puis sa fonction s’étend en juillet 2019 au Royaume-Uni.
INSTITUTIONS
JACQUELINE ELI-NAMER est désignée présidente du Haut conseil certificateur de Place. Elle entame sa carrière en tant qu’analyste financier en 1978 chez Cheuvreux de Virieu, avant de devenir gérante de portefeuille puis directrice des gestions. Elle exerce, entre 1994 et 2003, la fonction d’administratrice-directrice générale au Crédit Agricole Indosuez-Cheuvreux Gestion. Elle est membre du conseil de perfectionnement du Master 203 de Dauphine. Elle est aussi administratrice de l’Association française des sociétés financières (ASF) et vice-président du Club de gestion privée de l’Association française de la gestion financière (AFG). Elle est présidente du conseil de surveillance de la société financière Oudart SA et présidente-directrice générale d’Oudart Gestion.
ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES
JEAN-FRANCOIS GRIMAUD, 54 ans, est nommé secrétaire général du Conseil supérieur de l’ordre des experts-comptables et délégué général de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC). Il commence sa carrière comme journaliste en 1989 au quotidien Centre Presse puis rejoint, en 1991, la rédaction de La Tribune de l’Expansion. Il intègre, en 1992, le cabinet du président du conseil général de la Vienne et du président du Sénat en tant que responsable de la communication. Il devient, en 1995, directeur de cabinet du président du conseil général des Deux-Sèvres puis prend en charge, en 2001, la direction de cabinet du président du conseil général de Loire Atlantique, avant de devenir, en 2004, secrétaire général du Conseil économique et social régional de Picardie. Début 2006, il rejoint, à Paris, la Fédération nationale des Caisses d’Epargne en tant que directeur de l’information et des affaires générales puis, fin 2009, devient secrétaire général de la Banque Palatine (groupe BPCE). Il était, depuis 2015, directeur général des services du conseil départemental de la Mayenne.
CONSEIL
ANTOINE PERTRIAUX,40 ans, devient responsable de la recherche d’ADAMANTIA. Fort de dix-sept ans d’expérience dans le conseil en stratégie et organisation auprès de grandes institutions financières, il fonde le bureau d’étude indépendant ALVAE en 2019 dédié à la recherche sur les tendances et l’évolution de l’industrie financière.
DROIT
GUILLAUME CARRERE, 36 ans, est nommé directeur général de Doctrine. Après avoir débuté sa carrière en marketing et développement chez EY, il occupe diverses fonctions commerciales et managériales dans l’univers technologique au sein d’une start-up française, Sparklane puis chez l’éditeur de CRM américain Salesforce où il coordonne la croissance d’une ligne de produit pour le sud de l’Europe. Il exerçait depuis seize mois comme directeur commercial chez Doctrine.
SOCIÉTÉ DE GESTION
EDOUARD STEVENS nouveau directeur acquisition & asset management de Mata Capital. Il démarre sa carrière en 2007 chez JLL comme consultant bureau et exerce cette activité au sein de l’équipe Nord Est puis de l’équipe grands projets. Il rejoint, en 2017, Valream et participe à la conclusion de 250 millions d’euros d’investissements pour le compte de fonds étrangers sur des investissements valeur (ajoutée et opportunistes).
XUAN-HUONG LE, 34ans, est nommée responsable service client et middle office de la société de gestion APlus Finance. Elle entame sa carrière en tant qu’account manager chez DeriveXperts avant de rejoindre State Street Banque Paris au même poste en 2017.
ASSOCIATIONS
HUBERT RODARIE,64 ans, nouveau président de l’Association française des investisseurs institutionnels (Af2i). Il débute sa carrière comme ingénieur au Commissariat à l’énergie atomique et à Electricité de France. Il se tourne, en 1985, vers des activités financières, sur les marchés financiers au sein d’Electricité de France puis comme directeur général de l’Union de Garantie et de Placement. En 1991, il travaille dans les activités de gestion d’actifs financiers en qualité de directeur général de BTP Investissements puis pour le groupe SMABTP de 2001 à 2020. Il crée, en 1980, l’AFIMAT (Association de professionnels sur le marché obligataire).
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse