
CARNET ACTIFS 757
LEAD
AVOCATS
KPMG AVOCATS
MATHIEU GAUTIER est nommé associé chez KPMG Avocats. Il débute sa carrière en 1994 comme rédacteur fiscal au sein du groupe Wolters Kluwer. Il rejoint, en 2000, la cellule doctrine de Deloitte et Touche juridique et fiscal (devenu Taj) puis évolue vers des fonctions opérationnelles dès 2007. Il est nommé associé du département fiscalité des entreprises de Taj en 2012.
FREDERIC COSME est nommé associé au sein de KPMG Avocats. Il commence sa carrière chez Berlioz & Co puis rejoint le groupe Arthur Andersen en 1997. Banquier d’investissement chez HSBC en 1998, il exerce ensuite comme director senior governance lead en 2017.
CARNET
ASSURANCES
SWISS LIFE ASSET
, MANAGERS France
FREDERIC BÔL est nommé président du directoire de Swiss Life Asset Managers France. Expert en gestion d’actifs dans les secteurs de la banque et de l’assurance, il exerce différentes fonctions chez Prado Epargne, Prado Epargne Gestion, l’Européenne de Banque puis à la banque Martin Maurel. Il occupe ensuite la fonction de directeur général adjoint du groupe Prémalliance. Il était depuis 2018, directeur général de Swiss Life Asset Management France en complément de ses fonctions de président du directoire de Swiss Life REIM France, issue de la société de gestion de portefeuille Viveris REIM qu’il a créé en 2007. Il est par ailleurs président de l’ASPIM depuis 2016, administrateur de l’IEIF et cofondateur de l’Af2i et vice-président d’honneur entre 2004 et 2008. Il est enfin, membre de la commission consultative gestion et investisseurs institutionnels auprès de l’AMF.
PER ERIKSON
, est nommé directeur des activités sur titres pour compte des entités du groupe en France de Swiss Life Asset Managers France. Il exerce chez Crédit Suisse Asset Management, Lombard Odier Darier Hentsch & Cie et Winterthur group Asset Management dans divers postes. Il rejoint Swiss Life Asset Managers en 2007 comme gérant de portefeuille senior avant d’intégrer Arecon AG en 2009 où il prend la direction générale de la gestion et du développement stratégique du portefeuille obligataire international. Il est en 2010, responsable de la gestion obligataire corporate, en charge du portefeuille d’obligations d’entreprise de Swiss Life Suisse et de ses filiales, puis responsable des investissements de Swiss Life Allemagne entre 2015 et 2018. Il était depuis juillet de la même année, directeur des activités sur titres pour compte des entités du groupe en France (PAM) et membre du comité de direction de Swiss Life Asset Managers depuis 2015.
ERIC
, BOURGUIGNON devient directeur des activités sur titres pour compte de tiers en France, membre du directoire de Swiss Life Asset Managers France. Il évolue au sein de Segespar (groupe Crédit Agricole) et chez CCR-Gestion (groupe UBS) en tant que directeur général adjoint. Il rejoint Swiss Life Asset Managers en 2009 comme directeur de la gestion de taux et crédit. Il était depuis 2016, responsable des activités pour compte de tiers en France.
, Il exerçait parallèlement les fonctions de directeur général délégué de Swiss Life Asset Management France.
FABRICE LOMBARDO
, est nommé directeur des activités immobilières en France de Swiss Life Asset Managers France. Gérant obligataire chez ABF Capital Management en 1996 puis gérant convertibles et obligations zone Euro chez HSBC de 1999 à 2001, il devient à partir de 2005, gérant au sein des équipes de gestion global balanced chez Axa Investment Managers et analyste-gérant pour Dexia Asset Management. Il entre chez groupe Swiss Life en 2007 et exerce en tant que directeur de la structuration et de la gestion de portefeuille chez Swiss Life REIM et membre du directoire.
BRUNO
, GERARDIN nouveau directeur administratif et financier en France de Swiss Life Asset Managers France. Il intègre en 1992 le groupe Eiffage Construction et exerce comme secrétaire général en charge des régions Centre puis Provence-Alpes-Côte d’Azur-Languedoc Roussillon. Secrétaire général de SECTP de 2007 à 2011, il rejoint le groupe Swiss Life en 2011 comme directeur administratif et financier et membre du directoire de Swiss Life REIM.
FINTECH
TESTAMENTO
STEPHANE GIRARDOT
, est nommé directeur marketing de Testamento. Il exerce dans les domaines de la gestion d’actifs, JP Morgan Asset Management, de la banque privée, Natixis Wealth Management, du conseil et du monde des startups, Objectuum.
ASSURANCE
OFI AM
ANISSA AITALI,
, 27 ans, renforce l’équipe commerciale dédiée aux CGPI d’OFI Asset Management en qualité de Chargée des relations. Elle exerçait précédemment au sein de Primonial, ABN Amro et CBT Gestion.
BANQUE DE DETAIL
BANQUE PALATINE
MATHIEU LE BOURSICAUD,
, 41 ans, est nommé, chargé du développement de la clientèle entreprises et privée dans le Finistère, Banque Palatine (Brest). Il débute sa carrière au sein du Crédit Mutuel en tant que responsable de clientèle professionnelle. Il exerçait depuis 2009 en tant que chargé d’affaires entreprises puis comme directeur de centre d’affaires à Brest et Quimper au sein du Crédit Maritime.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse