
CARNET ACTIFS 755
LEAD
INSTITUTIONS
FRANCOIS BOUVARD, 60 ans, est nommé délégué général de l’IFA (Institut français des administrateurs). Après avoir débuté sa carrière chez Schlumberger en 1983 comme ingénieur d’exploration puis manager des opérations pour l’Italie du sud, il rejoint, en 1989, le cabinet McKinsey. Directeur France de l’activité de conseil aux entreprises industrielles, il dirige ensuite, l’activité de conseil aux gouvernements pour l’Europe et cofonde le McKinsey center for government. Consultant indépendant depuis 2013, il se consacre à des missions de conseil en stratégie et gouvernance auprès de dirigeants d’entreprises et d’organisations à but non lucratif, dont le Tony Blair institute for global change qu’il a contribué à fonder. Administrateur et membre de conseils consultatifs de plusieurs sociétés, il est également président du groupe ICAM.
LEADS
ASSURANCES
CNP ASSURANCES
ERIC LASAYGUES rejoint CNP Assurances en qualité de directeur du développement des partenariats, membre du comité exécutif du groupe. Professionnel de l’assurance de personnes en France et à l’international, il exerce chez BNP Paribas Cardif et participe à la création de la filial au Japon puis est directeur technique et financier de la filiale argentine de 1999 à 2002 et directeur technique, directeur administratif et financier des filiales italiennes jusqu’en 2006. Il co-crée par la suite le réseau international du courtier spécialisé en assurance de prêts Cbp, au sein du groupe Financière CEP dont il est également associé pour le développer en Europe de 2007 à 2017 et en Asie du Sud-Est jusqu’en 2018.
JEAN-CHRISTOPHE MERER est nommé directeur des risques groupe de CNP Assurances. Responsable de l’actuariat chez Legal & General en 1992, il rejoint, en 1997, AGF en tant que responsable du contrôle actuariel des filiales internationales avant de devenir, en 1999, directeur de l’actuariat d’Allianz Colombia. Au sein du groupe CNP Assurances dès 2002, il intègre la filiale brésilienne Caixa Seguradora comme directeur technique puis en tant que directeur financier à partir de 2006. Il entre chez CNP Assurances France en 2009 comme directeur du pilotage des filiales internationales puis comme directeur comptable France et enfin en tant que directeur de la gestion emprunteur. Il est, en 2014 et 2018, directeur général de CNP Partners puis chargé de mission auprès de la direction générale au Brésil.
CARNET
COURTIER
MEILLEURTAUX
THOMAS KIENZI devient directeur administratif et financier du groupe Meilleurtaux. Il exerce chez Crédit Agricole CIB et Deutsche Bank à Paris et à Londres puis rejoint Morgan Stanley en qualité d’executive director en fusions et acquisitions. Il était depuis 2015 chez ShowroomPrivé.com dont il devient responsable du corporate development et relations investisseurs, directeur financier adjoint puis group financier de 2017 à 2019.
BANQUE
CREDIT AGRICOLE SA
ALEXANDRA BOLESLAWSKI, 57 ans, est nommée directrice des risques groupe du Crédit Agricole SA et intègre à ce titre le comité exécutif. Elle débute sa carrière à la Banque Indosuez en 1986 et passe près de vingt-cinq ans dans les financements structurés, dont les financements de projets. Nommé responsable mondiale du secteur électricité en 2000, elle devient, en 2010, responsable adjointe du secteur ressources naturelles, infrastructures & électricité puis est nommée, en 2013, responsable mondial des secteurs électricité, utilities et mines. Elle exerce, en mars 2015 comme directrice adjointe du coverage et du réseau international avant de prendre la responsabilité de global coverage organization. Elle est en juillet 2018, directrice des risques de Crédit Agricole Corporate and Investment Bank, dont elle est membre du comité exécutif.
ASSURANCE
COVEA
EMMANUEL DUBREUIL rejoint le groupe Covéa en qualité de directeur réassurance cessions. Il démarre sa carrière comme auditeur interne au GAN puis devient chargé de développement actuariel en 1995 chez SCOR. Responsable analytics chez Benfield (devenu AON Benfield), en 1996, il est, à partir de 2011, managing director chez Guy Carpenter en charge du développement des grands comptes internationaux. Il occupait depuis septembre 2015, la fonction d’actuarial lead partner chez PwC France en charge de revues actuarielles et de mission de conseils en assurance dans divers domaines tels que provisionnement, tarification, IFRS 17 et gestion des risques.
GESTION D’ACTIFS
C-QUADRAT AM France
SEBASTIEN LAGARDE intègre C-Quadrat AM France en tant que gérant senior. Il débute sa carrière en 1996 chez ABF Capital Management puis est nommé, en 1997, analyste quantitatif au département actions de CPR Gestion avant d’intégrer AXA IM en 1999 comme analyste quantitatif senior, analyste financier et quantitatif au sein de l’équipe petites et moyennes valeurs européennes et gérant de 2005 à 2015, où il crée et gère un fonds européen de microcaps et deux fonds mondiaux sur la thématique des matières premières. Il était depuis 2015, gérant de portefeuilles chez Mandarine Gestion.
AVOCATS
EY SOCIETE D’AVOCATS
NADIA SABIN, 43 ans, nouvelle associée d’EY Société d’Avocats. Avocate au barreau des Hauts-de-Seine, elle exerce successivement chez CMS Francis Lefebvre Avocats et Fidal comme directeur technique national prix de transfert.
Plus d'articles du même thème
-
Les actions restent plébiscitées dans les portefeuilles des gérants
Les actifs risqués pèsent toujours 51% des allocations du Panel, même si un tiers des gestions ont renforcé leur poids, pour un quart d'entre elles qui l’ont allégé. -
PARTENARIAT
Boom de l’IA, turbulence dans les semi-conducteurs et crise chez Apple : comment les géants de la tech se battent pour l’avenir
Des milliards de dollars sont injectés dans le développement et l'entraînement des modèles de langage, et les grands acteurs du cloud – Microsoft, Amazon, Google et Meta – ont relevé leurs budgets d'investissement à un niveau historique, entre 400 et 450 milliards de dollars par an. Mais que signifie cette course à l’innovation pour les investisseurs ? -
Boeing essaie de contourner la grève en cours dans ses activités de défense
Un mois après le début de ce conflit, l’avionneur a lancé le recrutement de salariés permanents pour assurer la continuité de sa production.
Sujets d'actualité

ETF à la Une

L'ETF d'Ark Invest, le casse estival de l'IPO de «Bullish»
- Le logement en France : une crise durable
- L’outil fiscal a un effet marginal sur l'expatriation des hauts patrimoines
- Andera officialise la cession de Patrimmofi à Vyv
- Le Médiateur de l’assurance alerte sur les «trous de garanties» lors des substitutions des couvertures emprunteurs
- Les ménages face au nouveau paradigme immobilier
Contenu de nos partenaires
-
Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
Wall Street clôture en baisse après des chiffres décevants de l'emploi américain
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). Nasdaq © Agence France-Presse -
Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse