
CARNET ACTIFS 753
ASSURANCES
, MACIF
, PASCAL MICHARD, 65 ans, est élu président du groupe Macif.Il pratique entre 1985 et 1997 au Centre hospitalier universiaire de Clermont-Ferrand, tout en exerçant une activité libérale en cabinet médicochirurgical. Il rejoint, en 1997, le Centre hospitalier de Vichy en tant que praticien hospitalier-chirurgien des hôpitaux en qualité de responsable d’unité spécialisée. Il évolue depuis plusieurs années comme dirigeant dans les trois branches métiers du groupe Macif. Sociétaire depuis 1986, il intègre le groupe en 2003 en tant que médiateur de l’assurance en région Macif Centre dont il prend la présidence en 2011 jusqu’en 2014. Administrateur de la mutuelle d’assurances depuis 2011, il intègre le comité exécutif du groupe Macif en 2014 et devient, la même année, vice-président en charge du métier finance/épargne du groupe où il assure depuis, la présidence des conseils de surveillance de Mutavie et de Macifin’ et plus récemment la présidence du GIE Macif Finance Epargne. Il siège au conseil d’OFI AM depuis 2017. Il est également président et administrateur de Socram Banque SA et exerce aussi un mandat d’administrateur au sein d’Apivia Mutuelle depuis 2016.
,
, ADRIEN COURET, 35 ans, est nommé directeur général du groupe Macif. Il intègre le groupe Macif en 2008 comme chargé de projets au sein du secrétariat général. Il conduit, à partir de 2009, différents projets stratégiques et de développement pour la direction générale de la Macif. Il est nommé, en 2013, directeur de la coordination stratégique en charge du pilotage du cabinet du directeur général et de la mise en place du plan moyen terme de 2013 à 2015 du groupe Macif. Nommé directeur général délégué stratégie, transformation, performances en avril 2015, il était depuis janvier 2018, directeur des métiers assurances de personnes du groupe Macif regroupant les branches santé/prévoyance et finance/épargne. A ce titre il était notamment président du directoire de Mutavie et a piloté le projet de construction du groupe commun avec l’UMG Aésio.
, JEAN-PHILIPPE DOGNETON, 53 ans, devient directeur général délégué du groupe Macif et directeur général de Macif SAM, de l’UMG Macif Santé Prévoyance et du GIE Macif Finance Epargne. Il débute sa carrière en 1991 comme rédacteur corporel au sein de la région Centre Ouest Atlantique de la Macif puis rejoint le siège social en 2000 où il devient directeur de la réassurance pour le groupe. Il occupe, entre 2007 et 2011, la fonction de directeur du management des risques, de la réassurance et du contrpole interne du groupe en charge de la mise en œuvre de Solvabilité 2 et de projets de transformation organisationnelle. Il est en 2011, directeur des assurances dommages de la Macif et pilote la refonte du modèle technique et opérationnel. Il est directeur général délégué en charge du métier IARD depuis 2015.
, ASSURANCE
, COVEA
, AUDE MESSIN rejoint le groupe Covéa en qualité de directrice de la transformation finance. Auditrice chez KPMG en 1993, elle rejont, en 1998, le groupe Solvay à la direction de la consolidation mondiale jusqu’en 2003, date à laquelle elle devient consultant et intervient notamment au ministère des Finances puis chez Natixis de 2006 à 2008. Elle assiste depuis 2008 le groupe Covéa sur des projets d’envergure. En 2018, elle prend la direction du nouveau programme de transformation autour du SI Finance, mission qu’elle conserve à titre principal.
, MULTOGET MULTOG GARANTIES
, CHRISTIAN OYARBIDE, 64 ans, est nommé président, Mutlog et Mutlog Garanties. Il évolue entre 1989 et 2000 au sein de Natio-Vie (filiale assurance-vie du groupe BNP) et y exerce les fonctions de directeur informatique, de secrétaire général et de directeur général adjoint. Il intègre, en 2007, La France Mutualiste au sein de laquelle il occupe la fonction de directeur général jusqu’en 2012. Entre 2013 et 2014 il est directeur général de l’Union Mutualiste Retraite puis rejoint le cabinet de conseil en stratégie INDEFI comme associé jusqu’à fin 2018. Par ailleurs il est depuis février 2015, dirigeant opérationnel de Mutex Union. Il est également vice-président de la mutuelle de Livre III Les Solidaires et de l’ADOM et a cofondé le Cercle Vivienne, think tank d’acteurs de la protection sociale.
, BANQUE D’AFFAIRES
, GCA ALTIUM
, GARY KURTZ, 32 ans, est nommé senior vice president de GCA Altium. Il commence sa carrière au sein de Bucéphale Finance en 2011 avant de rejoindre la banque Oddo BHF fin 2014.
, ASSOCIATIONS
, ANCIA
, LAURENT BOULANGEAT est élu président de l’ANCIA, Association nationale des conseils et intermédiaires d’assurances. Président adjoint agéa est agent Generali deuis 2004, spécialisé en assurances de personnes. Il occupe différentes fonctions commeriales dans l’horlogerie de luxe, LVMH Montres & Joaillerie) en qualité de directeur Dior Montres pour la France de 2001 à 2003 avant de rejoindre le cabinet Raffin & Associés Assurances en 2004 pour le racheter en 2008.
, IMMOBILIER
, FONCIÈRE ALHESTIA
, GEOFFROY D’ARCHE, 47 ans, est nommé directeur du patrimoine de Foncière Alhestia. Il dispose de près de vingt ans d’expérience en immobilier. En poste chez CBRE, il y occupe les fonctions de consultants immobilier et directeur adjoint au sein de CBRE Agency, consultant investissement de CBRE Capital Markets et expert immobilier chez CBRE Valuation. Il était dernièrement consultant investissement chez Evolis.
, AVOCATS
, HARLAY AVOCATS
, THIBAULT CHARETON est coopté en qualité d’associé d’Harlay Avocats. Il démarre sa carrière au sein de Kahn & Associés avant d’intégrer Stephenson Harwood puis Fieldfisher. Il exerce également pendant deux ans pour un cabinet américain à Paris et Palo Alto puis est promu senior counsel en janvier 2017 au sein d’Arlay Avocats.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse