
Carnet Actifs 752
INSTITUTIONS
, INSTITUT FRANÇAIS DES ADMINISTRATEURS
GUYLAINE DYEVRE, 58 ans, est nommée vice-présidente de l’IFA. Elle effectue l’essentiel de sa carrière dans le groupe BNP Paribas (banque d’investissement) et BNP Paribas Assurances puis prend en charge la politique de rémunération et avantages sociaux du groupe ainsi que la conformité de la banque d’investissement. Administratrice de Thales, Veolia Eau et Rémy Cointreau, elle est aujourd’hui à la présidence de BNP Paribas comme secrétaire du conseil d’administration du groupe bancaire et administratrice de BNP Paribas Wholesale Etats-Unis. Adhérente de l’IFA depuis 2010, elle a été élue administratrice en 2016.
, GESTION D’ACTIFS
, QUILVEST SA
ADRIEN DE BOISANGER est nommé président de Quilvest SA. Il dispose d’une expérience dans les domaines financiers et bancaires. Il occupe des fonctions au sein de BNP Paribas, Merrill Lynch et Royal Bank of Scotland. Il siègera également au conseil d’administration de Quilvst Wealth Management et de Quilvest & Partners.
, SOCIÉTÉ DE GESTION
NOVAXIA
GEOFFROY DE GUIBERT est nommé directeur des investissements et club deals de Novaxia. Il débute sa carrière en 2012 chez Goodman comme analyste investissement sur l’Europe puis rejoint, en 2014, le groupe Constructa en tant qu’analyste senior avant de prendre la direction des investissements pour le compte de family offices.
MATTHIEU JAUNEAU devient fund manager de Novaxia. Analyste chez CBRE, il rejoint la Société Générale sur les financements structurés puis Amundi Immobilier en 2015. Il intègre le Fund Management comme analyste SCPI avant de devenir fund manager OPCI.
HELENE DUB est nommé directrice marketing produit chez Novaxia. Elle commence sa carrière à la Société Générale comme inspecteur avant d’exerce comme chef de projet marketing à la Société Générale Assurance en 2012.
, PAREF GESTION
ANNE SCHWARTZ, 48 ans, nommée directrice général de PAREF Gestion. Elle démarre sa carrière en gestion d’actifs avant d’occuper divers postes dans le développement immobilier et la gestion de fonds chez AXA Real Estate où elle devient directrice générale adjointe d’AXA REIM SGP, membre du comité exécutif d’AXA IM Real Assets et en charge de la gestion de différents portefeuilles pour compte de tiers.
REMI JUZANX, 32 ans, devient fund & investment manager chez PAREF Gestion. Il entame sa carrière chez Unibail-Rodamcdo au contrôle de gestion avant d’intégrer la direction de la communication financière de Klépierre et devient par la suite responsable d’opérations puis responsable d’investissements sur des portefeuilles en Europe.
, CIIAM Belgique
NICOLAS RENDERS, 49 ans, devient directeur général de Colliers International Investment & Asset Management en Belgique (CIIAMB). Directeur général de DEKA Immobilier Belux puis directeur de l’asset management Belux au sein d’AXA Investment Managers Real Assets.
, 21 INVEST FRANCE
FRANCOIS BARBIER, est nommé CEO de 21 Invest France. Il rejoint 21 Invest France à sa création et participe au déploiement des quatre fonds et se voit confier la responsabilité de l’investissement de la cinquième génération de fonds. Il devient en 2017, directeur général délégué.
,
STEPHANE PERRIQUET devient directeur général délégué de 21 Invest France. Il exerçait depuis 2011 en qualité de managing partner.
FABRICE VOITURON est nommé managing partner de 21 Invest France. Il était depuis 2016, partner.
, NOTATIONS
, FITCH RATINGS
AYMERIC POIZOT, 45 ans, devient directeur général France, Belgique et Luxembourg (basé à Paris) de Fitch Ratings. Il exerce chez HSBC Global Asset Management et Allianz Global Investrors. Il intègre Fitch Ratings en avril 2003 comme responsable EMEA et APAC du groupe Fund and Asset Manager Rating jusqu’en février 2014. Il est également analyste agréé en investissement alternatif et membre de l’association CAIA.
, ASSURANCE
, LA FRANCE MUTUALISTE
JERÔME GUIOT devient directeur de la transformation et des systèmes d’information de La France Mutualiste. Il exerçait depuis 2004 à la Banque Française Mutualiste les fonctions de directeur du GIE informatique puis directeur des systèmes d’information en charge de la mise en place, de l’animation du cadre de gouvernance et du management des projets et depuis 2018, directeur opérations et systèmes d’informations.
, AVOCATS
, MAGENTA
GAËL HICHRI est nommé associé chez Magenta. En poste au sein du département droit de la concurrence, distribution et pharmacie du Cabinet Toison Villey Broud en septembre 2009, il rejoint, en 2011, le département antitrust & competition, regulatory du cabinet Orrick Rambaud Martel où il devient senior associate. Il rejoint Magenta en 2017 en tant que counsel.
, FINTECH
, YOUNITED CREDIT
KAI FRIEDRICH, 49 ans, CEO Allemagne de Younited Credit. Il débute sa carrière à la Direktanlagebank (DAB), groupe HypoVereinsbank en Allemagne en 1994. Après avoir passé trois ans chez Consors France SA où il occupe le poste de CEO, il intègre Consorsbank, groupe BNP Paribas, en Allemagne jusqu’en 2019 et y occupe de nombreux postes avant de devenir CEO de Consorsbank, CEO de DAB BNP Paribas et membre de la direction générale de BNP Paribas Allemagne. Il a été par ailleurs, membre du comité de direction de BNP Paribas Personal Investors pendant neuf ans.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse