
CARNET ACTIFS 750
ASSOCIATION
, AFG
, ÉRIC PINON est réélu président de l’AFG. Il débute sa carrière en 1978 chez l’agent de change Michel Puget dont il devient fondé de pouvoir en 1985 et sera un des dirigeants de cette société jusqu’à la fusion avec le groupe Barclays fin 1989. Il crée, la même année, Europe Egide Finance. Vice-président de l’AFG de 1997 à 2003 puis de 2015 à 2017, il préside en parallèle la Commission des sociétés de gestion entrepreneuriales. Il dirige sa société jusqu’à sa cession en 2003 à la Banque KBL France et devient membre du directoire de KBL France entre 2003 et 2004, puis membre du conseil de surveillance en 2005. Associé dirigeant d’Acer Finance entre 2006 et 2017, il devient senior advisor à La Financière de l’Echiquier en novembre 2017. Il siège à la commission consultative gestion et investisseurs institutionnels de l’AMF.
, ASSURANCE
, CNP ASSURANCES
, ISABELLE MILLET-CAURIER est nommée déléguée générale de la Fondation CNP Assurances. Isabelle Millet-Caurier dispose de vingt-cinq ans d’expérience dans les domaines sanitaire, médicosocial et de la protection sociale. Elle met à profit, de 1993 à 1996, ses compétences juridiques et sociales au sein de l’Union Hospitalière Privée puis crée et dirige en 2007, la direction des affaires publiques de la Fédération nationale de la mutualité française (FNMF).
, BANQUE
, CRÉDIT DU NORD
, ALEXANDRE MAYMAT est nommé membre du conseil d’administration du Crédit du Nord. Il commence sa carrière au ministère de l’Economie et des Finances en 1992 puis à l’Union européenne. Il entre au sein du groupe Société Générale en 2001 à l’inspection générale puis occupe différentes fonctions au sein du réseau en France telles que directeur du centre d’affaires entreprises de la direction régionale de Paris Bourse en 2004 puis en 2006, directeur régional de Franche-Comté. Il devient, en 2009, administrateur & directeur général de la Société Générale de Banques au Cameroun. En 2012 il est nommé directeur délégué de la Banque de détail à l’international avant de devenir, en 2013, directeur des réseaux bancaires internationaux, région Afrique, bassin m méditerranéen et Outre-mer.
, CONSEIL
, INDEFI
, CHRISTINA BÖCK devient directrice associée en charge de la région DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) d’INDEFI. Elle dispose de vingt-cinq ans d’expérience tant en gestion d’actifs que de l’investissement institutionnel. Avant de créer sa propre société de conseil, elle exerçait comme chief investment officer et managing director chez Profond.
, CAPITAL INVESTISSEMENT
, EXTENDAM
, MAXIME BOURGEOIS rejoint l’équipe d’investissement d’Extendam en qualité de responsable d’investissement. Il exerçait précédemment au sein de Goldman Sachs à Londres dans l’équipe en charge des investissements hôteliers de la banque en Europe.
, IMMOBILIER
, ALTAREA COGEDIM
, JACQUES EHRMANN est nommé directeur général d’Altarea Cogedim. Secrétaire général de la Société des Hôtels Méridien en 1989, il intègre successivement les directions générales d’Euro Disney en 1995 et le Club Méditerranée en 1997. Il entre en 2003 dans le groupe Casino en qualité de directeur général des activités immobilières et développement et y pilote la création de Mercialys dont il devient président directeur général pendant sept ans. En 2013 il rejoint la direction générale du groupe Carrefour comme directeur exécutif en charge du patrimoine, du développement international et de l’innovation puis ajoute à cette fonction, en avril 2014, celle de président-directeur général de Carmila. Depuis fin mars 2019, il est président du Conseil national des centres commerciaux et sera nommé directeur général d’Altafi 2 et gérant d’Altarea Management SNC.
, SOCIÉTÉ DE GESTION
, ODDO BHF ASSET MANAGEMENT
, OLIVIER BECKER devient responsable de la gestion convertibles et fonds datés chez Oddo BHF Asset Management. Consultant marchés de capitaux puis manager chez Accenture, il intègre Oddo Securities en 2006 comme analyste actions puis exerce jusqu’en 2016, en tant que gérant-analyste high yield d’Oddo BHF AM SAS, gérant, gestion obligataire alternative et responsable de la gestion convertibles.
, SWEN CAPITAL PARTNERS
, OLIVIER AUBERT est nommé managing director de Swen Capital Partners. Il démarre sa carrière dans l’ingénierie et l’optimisation économique des systèmes électriques chez EDF, puis consacre quatorze années au business development à l’international au sein de Gaz de France puis Engie. Il mène, entre 1999 et 2004, les négociations pour construire un terminal méthanier en Chine, acheter du gaz naturel liquéfié en Egypte et remet à plat les relations contractuelles en France entre Total et GDF. Après une expérience d’exploitant de réseaux de gaz, il pilote l’expansion européenne des infrastructures gazières du groupe Engie entre 2007 et 2012. Il devient, de 2013 à 2019, membre du top3 de GRTgaz et supervise les relations commerciales, le dispatching, le système d’information, la stratégie et les activités internationales.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse