
CARNET ACTIFS 747
ASSURANCE
, AVIVA
PATRICK DIXNEUF, 54 ans, est nommé directeur général Europe d’Aviva plc. Il débute sa carrière en 1986 chez Alcatel puis dans le conseil. Il entre en 1997, chez Paribas à Paris puis à Londres jusqu’à la fusion avec la BNP. En poste chez groupe Allianz en 2000, il occupe diverses fonctions de direction dont celles de directeur financier des AGF à Paris puis de directeur des opérations groupe au siège à Munich. Il prend en 2011, au sein du groupe Aviva, la direction générale d’Aviva Italie à Milan et assure la transformation opérationnelle et financière puis le retour à la croissance. Il dirige également, à Londres, le plan d’innovation et de changement de la fonction finance. Il est nommé en novembre 2016, directeur général d’Aviva France. Il intègre dans ses nouvelles fonctions l’Aviva leadership team, le comité exécutif du groupe Aviva.
, ASSOCIATIONS
, ASSOCIATION FINANCE DURABLE ET INVESTISSEMENT RESPONSABLE (FDIR)
LUISA FLOREZ est élue présidente de l’Association finance durable et investissement responsable pour la période 2019-2022. Elle est directrice de la gestion et recherche thématiques durables de La Banque Postale Asset Management.
, SOCIÉTÉ DE GESTION
, LA FINANCIÈRE DE L’ECHIQUIER
OLIVIER DE BERRANGER, 53 ans, devient directeur général délégué de La Financière de l’Echiquier. Trader et responsable de desk trading au Crédit Lyonnais puis chez Calyon, il devient responsable du pôle capital markets chez First Finance. Il intègre La Financière de l’Echiquier en 2007 en tant que gérant obligataire avant de devenir directeur de l’expertise taux et diversifiés, puis directeur de la gestion d’actifs et membre du comité de direction depuis octobre 2017. Il reste gérant d’Echiquier ARTY et d’Echiquier Crédit Europe.
,
BERTRAND MERVEILLE, 38 ans, est nommé directeur général délégué de La Financière de l’Echiquier. Il entame son parcours professionnel en 2003 au sein de l’Autorité des marchés financiers (AMF) avant d’intégrer LFDE en 2011 comme responsable de la conformité et du contrôle interne. Il devient en 2016, directeur de la gestion privée et membre du comité de direction.
, IMMOBILIER
, BNP PARIBAS REIM
NATHALIE CHARLES, 53 ans, est nommée deputy chief executive officer(à compter du 01/07/19) de BNP Paribas Real Estate et Global Head of Investment Management. Elle occupe divers postes de direction notamment celui de directeur général adjoint du pôle bureaux, en charge des grands projets de développement dans la région parisienne au sein du groupe Unibail-Rodamco. Directrice immobilier du groupe EDF où elle gère les différentes activités d’asset, de property et de facility management pour l’ensemble de la société et des filiales en France, elle exerce comme head of development and european country teams chez AXA IM- Real Asset où elle supervise l’ensemble de la gestion des actifs européens y compris les acquisitions, les cessions, les locations et le développement.
, CUSHMAN & WAKEFIELD
MARIE AVON, 49 ans, est nommée directrice juridique Europe du sud chez Cushman & Wakefield France. En poste au sein de la direction juridique de Thales Transportation Systems puis Thales Rail Signalling Solutions, elle devient directrice juridique du groupe RATP Dev de 2009 à 2011 puis du groupe Linxens jusqu’en 2016, date à laquelle elle intègre Cushman & Wakefield en qualité de directeur juridique.
, AVOCATS
, HERBERT SMITH FREEHILLS
MARIE LOUVET, 35 ans, nouvelle of counsel à Paris d’Herbert Smith Freehills. Avocat au barreau de Paris, elle exerce au sein de Bredin Prat avant de rejoindre le département droit de la concurrence du cabinet en 2015 Herbert Smith Freehills.
SHARIF ABOUSAADA, 34 ans, est nommé of counsel à Paris d’Herbert Smith Freehills. Avocat en Angleterre et au Pays de Galles depuis 2010 et avocat au barreau de Paris depuis 2013, il exerce chez Norton Rose Fulbright à Paris et Holman Fenwick Willan à Paris, Londres et Dubaï. Il rejoint Herbert Smith Freehills au sein du département énergie et infrastructure à Paris en 2015.
, BANQUE
, CRÉDIT MUTUEL DE BRETAGNE
VINCENT GRENIER, 50 ans, est nommé directeur de la gestion et des engagements du Crédit Mutuel de Bretagne. Il démarre sa carrière en tant qu’analyste dans une SSII puis intègre, en 1992, le Crédit Mutuel du Sud-Ouest en charge des études informatiques relatives aux outils de pilotage et d’aide à la prise de décision. Il poursuit sa carrière en 1996 comme contrôleur de gestion au sein de la fédération du Crédit Mutuel du Sud-Ouest et prend la responsabilité du service contrôle de gestion en 1998. Nommé responsable de l’organisation réseau de la fédération en 2004, il est en charge de l’amélioration des processus du réseau commercial. Il intègre en 2008, le comité de direction du Crédit Mutuel du Sud-Ouest. Il rejoint, en 2015, la direction de la gestion et des engagements du Crédit Mutuel de Bretagne. Dans ses nouvelles fonctions, il sera membre du comité de direction de la fédération du groupe Arkéa.
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Wall Street recule face au ralentissement de l'emploi malgré la perspective de baisses de taux de la Fed
Washington - La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après la dégradation du marché du travail en août aux Etats-Unis, l’inquiétude d’un ralentissement économique prenant le pas sur l’optimisme quant à une baisse des taux de la Fed. Le Dow Jones a reculé de 0,48% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,32%. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a terminé proche de l'équilibre (-0,03%). La place américaine se montre quelque peu «angoissée» face à un possible «ralentissement économique» aux Etats-Unis, a souligné Jose Torres, analyste d’Interactive Brokers. Le marché du travail a continué à se dégrader en août aux Etats-Unis, avec un taux de chômage en progression, à 4,3%, selon les données officielles publiées vendredi par le ministère du Travail américain. La première économie mondiale a créé seulement 22.000 emplois le mois dernier, un niveau bien inférieur à ceux auxquels les Etats-Unis étaient habitués. Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emploi, selon le consensus publié par MarketWatch. Les investisseurs demeurent prudents, ne connaissant pour le moment pas encore «toutes les implications de cette faiblesse persistante du marché du travail», notent les analystes de Briefing.com. Le flou autour des droits de douane de Donald Trump risque de continuer à freiner les embauches, a relevé par ailleurs Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management. Mais ce rapport sur l’emploi donne aussi le feu vert à un assouplissement monétaire de la part de la banque centrale américaine (Fed) lors de sa réunion de septembre, avec la possibilité d’un futur coup de fouet pour l'économie. Il «laisse également entendre que d’autres mesures seront nécessaires pour stabiliser le marché du travail avant la fin de l’année», a noté Samuel Tombs, analyste de Pantheon Macroeconomics. Les acteurs du marché s’attendaient déjà à ce que le Fed réduise ses taux dans une fourchette de 4,00% à 4,25% lors de sa prochaine réunion. Désormais, ils sont aussi une majorité à anticiper d’autres baisses lors des réunions d’octobre et de décembre, selon l’outil de veille FedWatch CME. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, les taux d’intérêt ont nettement reculé. Vers 20H15, le rendement de l’obligation d’Etat américaine à échéance 10 ans tombait à 4,09%, contre 4,16% jeudi en clôture. A deux ans, il reculait à 3,52% contre 3,59%. Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Broadcom a brillé (+9,41% à 334,89 dollars) après l’annonce de résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre de son exercice décalé, tant au niveau de son chiffre d’affaires que de son bénéfice net par action. Le groupe pharmaceutique Kenvue a chuté (-9,15% à 18,66 dollars) après parution d’informations de presse assurant que le ministre américain de la Santé pourrait lier son médicament phare, le Tylenol, au développement de l’autisme chez l’enfant. Selon le Wall Street Journal, le ministre américain de la Santé Robert Kennedy Jr, contesté pour ses positions antivaccins, s’apprêterait à lier la prise d’acétaminophène (ou paracétamol) - principe actif du Tylenol aux Etats-Unis ou Doliprane en France - chez les femmes enceintes au développement de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant, dont l’autisme. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+3,64% à 350,84 dollars) a été recherché après que son conseil d’administration a proposé un plan de rémunération inédit sur dix ans pour son patron Elon Musk, qui pourrait lui rapporter plus de 1.000 milliards de dollars, sous conditions, et renforcer son contrôle sur l’entreprise. L'équipementier sportif Lululemon Athletica a plongé (-18,58% à 167,80 dollars) en raison de prévisions ne convainquant pas les analystes. L’entreprise s’attend à un bénéfice net par action compris entre 12,77 et 12,97 dollars pour l’année complète, alors que les anticipations étaient de 14,15 dollars. Nasdaq © Agence France-Presse -
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Immigration clandestine : raid policier dans une usine Hyundai-LG aux Etats-Unis, près de 500 arrestations
Washington - Près de 500 personnes, dont une majorité de Sud-Coréens, ont été arrêtées par la police de l’immigration dans une usine de fabrication de batteries des groupes sud-coréens Hyundai et LG dans l’Etat de Géorgie (sud-est), soupçonnées de travailler illégalement aux Etats-Unis. Le raid, mené jeudi, résulte d’une «enquête pénale liée à des accusations de pratiques d’embauche illégales et à de graves infractions fédérales», a expliqué vendredi Steven Schrank, un agent du service d’enquêtes du ministère américain de l’Intérieur, au cours d’une conférence de presse. Il s’agit de «la plus importante opération des forces de l’ordre sur un même site de toute l’histoire du service des +Homeland Security Investigations+ (+Enquêtes sur la sécurité intérieure+)», a-t-il affirmé, s’exprimant d’Atlanta, dans l’Etat de Géorgie. Les 475 personnes arrêtées dans cette usine, située dans la ville d’Ellabell, se «trouvaient aux Etats-Unis de manière illégale» et «travaillaient illégalement», a affirmé M. Schrank, soulignant que la «majorité» d’entre elles étaient de nationalité sud-coréenne. Sollicité par l’AFP aux Etats-Unis, le constructeur automobile a répondu être «au courant du récent incident» dans cette usine, «surveiller étroitement la situation et s’employer à comprendre les circonstances spécifiques» de cette affaire. «A ce stade, nous comprenons qu’aucune des personnes détenues n'était directement employée par le groupe Hyundai», a-t-il poursuivi, assurant donner «priorité à la sécurité et au bien-être de quiconque travaille sur ce site et au respect de toutes les législations et réglementations». De son côté, LG Energy Solution a affirmé suivre «de près la situation et recueillir toutes les informations pertinentes». «Notre priorité absolue est toujours d’assurer la sécurité et le bien-être de nos employés et de nos partenaires. Nous coopérerons pleinement avec les autorités compétentes», a ajouté cette entreprise. La Corée du Sud, la quatrième économie d’Asie, est un important constructeur automobile et producteur de matériel électronique avec de nombreuses usines aux Etats-Unis. Mission diplomatique Une source proche du dossier avait annoncé quelques heures plus tôt, de Séoul, qu’"environ 300 Sud-Coréens» avaient été arrêtés pendant une opération du Service de l’immigration et des douanes américain (ICE) sur un site commun à Hyundai et LG en Géorgie. De son côté, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap avait écrit que l’ICE avait interpellé jusqu'à 450 personnes au total. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères avait également fait d'état d’une descente de police sur le «site d’une usine de batteries d’une entreprise (sud-coréenne) en Géorgie». «Plusieurs ressortissants coréens ont été placés en détention», avait simplement ajouté Lee Jae-woong, le porte-parole du ministère. «Les activités économiques de nos investisseurs et les droits et intérêts légitimes de nos ressortissants ne doivent pas être injustement lésés dans le cadre de l’application de la loi américaine», avait-il poursuivi. Séoul a envoyé du personnel diplomatique sur place, avec notamment pour mission de créer un groupe de travail afin de faire face à la situation. Les autorités sud-coréennes ont également fait part à l’ambassade des Etats-Unis à Séoul «de (leur) inquiétude et de (leurs) regrets» concernant cette affaire. En juillet, la Corée du Sud s'était engagée à investir 350 milliards de dollars sur le territoire américain à la suite des menaces sur les droits de douane de Donald Trump. Celui-ci a été élu pour un second mandat en novembre 2024, en particulier sur la promesse de mettre en oeuvre le plus important programme d’expulsion d’immigrés de l’histoire de son pays. Depuis, son gouvernement cible avec la plus grande fermeté les quelque onze millions de migrants sans papiers présents aux Etats-Unis. Au prix, selon des ONG, des membres de la société civile et jusqu’aux Nations unies, de fréquentes violations des droits humains. D’Atlanta, le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) a expliqué sur X avoir participé à l’arrestation d’environ 450 «étrangers en situation irrégulière» au cours d’une opération dans une usine de batteries, une coentreprise entre Hyundai et LG. Selon son site internet, Hyundai a investi 20,5 milliards de dollars depuis son entrée sur le marché américain en 1986 et compte y investir 21 milliards supplémentaires entre 2025 et 2028. L’usine d’Ellabell a été officiellement inaugurée en mars, avec l’objectif de produire jusqu'à 500.000 véhicules électriques et hybrides par an des marques Hyundai, Kia et Genesis. Elle devrait employer 8.500 personnes d’ici à 2031. © Agence France-Presse