
Le fonds souverain d’Oman investit dans la start-up d’intelligence artificielle xAI
L’investisseur soutient la société fondée par Elon Musk et se félicite de son investissement précédent dans Space X.

Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Broadcom anticipe une forte croissance dans l'IA en 2026 et bondit en Bourse
Après de solides résultats trimestriels, le géant des semi-conducteurs a dévoilé le gain d'un contrat de plus de 10 milliards de dollars de la part d'un nouveau client qui pourrait être OpenAI, le créateur de ChatGPT. -
Mistral AI serait valorisé 12 milliards d’euros par une nouvelle levée de fonds
Le fleuron français de l’intelligence artificielle serait sur le point de finaliser une augmentation de capital de 2 milliards d’euros, à un prix qui lui permettrait de doubler sa valorisation. -
La plateforme d’accompagnement patrimonial Abbove mise sur un agent d’intelligence artificielle
Baptisé Mia, le nouvel outil va accompagner les family offices, conseillers en gestion de patrimoine et cabinets d’expertise comptable qui utilisent la plateforme et accompagnent aujourd'hui plus de 37.000 familles en Europe.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

L'ETF d'Ark Invest, le casse estival de l'IPO de «Bullish»
L’introduction en Bourse de la plateforme crypto, cet été à Wall Street, a donné lieu à un tour de «passe-passe» peu glorieux, avec le recours à une mécanique légale mais déséquilibrée propre aux ETF, explique Denis Alexandre, fondateur de DAA Advisor.
Les plus lus
- BlackRock perd un mandat de 14,3 milliards d’euros du néerlandais PFZW
- Andera officialise la cession de Patrimmofi à Vyv
- Les gigantesques levées dans l'IA peuvent compter sur les grands institutionnels
- La Caisse Nationale des Barreaux Français attribue quatre lots de gestion
- Après BlackRock, d’autres gérants ont perdu des mandats du néerlandais PFZW
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pour Bruno Retailleau, "hors de question" que LR accepte un Premier ministre de gauche
Le Port-Marly - Le président du parti Les Républicains, Bruno Retailleau, a averti dimanche qu’il était «hors de question» que la droite accepte la nomination d’un Premier ministre socialiste à Matignon, posant ses conditions pour que LR se maintienne au gouvernement si François Bayrou tombait lundi. «Il est hors de question, comme vous le savez, qu’on accepte demain (lundi) qu’un Premier ministre socialiste soit nommé à Matignon», a affirmé l’actuel ministre de l’Intérieur lors de son discours de clôture de la rentrée politique des Républicains à Port-Marly, dans les Yvelines. Avec cette déclaration, il a pris le contre-pied du président des députés LR Laurent Wauquiez, assis au premier rang, qui a écarté une «censure automatique» d’un Premier ministre socialiste avant de connaître le programme qu’il compte appliquer. «Vous allez faire tomber des gouvernements qui se présentent sans même savoir ce qu’ils veulent faire ?», s’est-il interrogé sur LCI, assurant que si l’exécutif comportait «des ministres de LFI ou applique le programme du Nouveau Front populaire» il y aurait évidemment censure. Bruno Retailleau, qui appelle les parlementaires LR à voter la confiance au gouvernement Bayrou, a par ailleurs annoncé son intention de proposer un accord de gouvernement au prochain Premier ministre si celui de François Bayrou tombait lundi, dans des déclarations à la presse en marge de la rentrée de LR. Cet accord, qui pourrait également s’appeler «contrat ou engagement», contiendrait deux priorités qui sont le budget et «une partie régalienne». «C’est une sorte d’engagement» pour vérifier que les conditions d’entrée dans le prochain gouvernement seront «compatibles avec l’idée que l’on se fait du redressement de la France», a ajouté l’actuel ministre de l’Intérieur. «On ne rentrera pas au gouvernement à n’importe quelle condition», a martelé le Vendéen, qui appelle à une rapide nomination d’un nouveau Premier ministre si le gouvernement de François Bayrou était bien renversé lundi. «Le temps presse. La fenêtre de tir est courte», a-t-il affirmé, d’autant que le mois de septembre risque à ses yeux «d'être propice au désordre» avec deux journées de mobilisation, les 10 et 18 septembre. M. Retailleau n’a pas épargné le RN, l’accusant d'être «dans une stratégie de déstabilisation». © Agence France-Presse -
Dissolution ou pas ? Le « socle commun » se prépare au pire, juste au cas où
Tous les partis ont entamé des préparatifs à des degrés divers, tout en espérant que la dissolution n'aura pas lieu. A Horizons notamment, les cadres martèlent que le parti est prêt pour imposer toujours un peu plus Edouard Philippe comme le candidat du bloc central pour la présidentielle -
Mistigri
«C'est pas ma faute ! Ce sont les autres » : le leitmotiv d'Emmanuel Macron
Le chef de l'Etat estime que s'il est responsable de la dissolution, il n'est pas comptable de ses conséquences, qu'il impute à l'incapacité des forces politiques à former une coalition