Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
En lice pour une cotation à Amsterdam, le groupe de capital-investissement a dévoilé lundi une fourchette de prix indicative de 13 à 15 euros. Les échanges démarreront vendredi.
Le spécialiste des solutions et avantages prépayés engrange un nouveau trimestre de forte croissance. Avec les taux d’intérêt élevés, la rémunération de son «float» dynamise ses revenus.
Le groupe français prend le contrôle de l'aéroport d'Edimbourg pour 1,5 milliard d'euros, en acquérant 50,01% du capital auprès de Global Infrastructure Partners. Au Royaume-Uni, il opère déjà les aéroports de Londres Gatwick et Belfast.
A valeur consultative, la résolution portant sur les 36,5 millions d'euros du patron de l'ex-PSA-FiatChrysler a été approuvée par 70,2 % des actionnaires votants, lors de l'assemblée générale réunie à Amsterdam. Un soutien inférieur à l'an dernier.
Le constructeur de voitures électriques va supprimer plus de 10% de ses effectifs mondiaux. En trois ans, ceux-ci avaient doublé pour faire face à la croissance de ses ventes. Problème : les clients ne sont plus au rendez-vous.
Le pharaonique projet d’Überseequartier à Hambourg ne sera pas livré dans les temps. Mais la première foncière européenne d’immobilier commercial écarte toute menace pour son résultat net récurrent en 2024.
Les Etats-Unis ont convaincu le groupe taïwanais, leader mondial des semi-conducteurs, d’installer des nouvelles usines sur son territoire, en Arizona. A la clé, 65 milliards de dollars d'investissements, de subventions et de prêts préférentiels.
Week-end pascal chargé pour les créanciers d’Altice. Un groupe représentant deux tiers des 24 milliards d’euros de dette du deuxième opérateur télécoms français peaufine actuellement le choix de son conseil financier. Avec une mission claire : contrecarrer les manœuvres de Patrick Drahi.
Le directeur général, Dave Calhoun, quittera ses fonctions d’ici à la fin de l’année. D’autres cadres de direction sont également remplacés. Le nouveau président, Steve Mollenkopf, doit lui trouver un successeur pour tenter de rétablir la confiance. Une mission de haute altitude.