En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
L’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement estime que la tendance devrait s’amplifier avec la contribution des opérateurs télécoms censés couper les appels non authentifiés.
L’assurtech séduit les néobanques avec des contrats innovants, mieux adaptés aux préoccupations des clients finaux mais aussi moins chers que les classiques de Visa et Mastercard.
Les deux groupes vont fonder une coentreprise dédiée au développement de la recharge pour véhicules électriques associée au stockage d’énergie, afin de démocratiser la mobilité électrique.
D’après le Crypto Crime Report, les usages criminels ont augmenté de 10% du fait de la ruée sur les cryptos, même si une part d’entre eux restent à confirmer.
Avec sa plateforme intégrée de gestion de la facturation pour les entreprises, la start-up mise sur la facilité de déploiement et sur l’IA pour leur faire gagner du temps.
Cette acquisition apporte à Fruggr des méthodes de sensibilisation et de formation des salariés qui renforcent leur implication dans l’instauration de nouvelles pratiques numériques.
La solution de connaissance clients tout intégrée de Lemonway a été co-conçue avec Onfido-Entrust, Comply Advantage et AdvanThink, pour libérer les marketplaces des processus réglementaires.
La plateforme technologique de la société hollandaise permet à des fintechs comme Spendesk d’intégrer un module de paiement dans leur propre offre pour les PME.
Les prestataires de services sur actifs numériques doivent se reconfigurer et renforcer leurs pratiques pour se conformer au règlement MiCA sur les cryptoactifs. Mais aussi, depuis fin 2024, au règlement sur les transferts de fonds. Des textes qui ne tiennent pas assez compte des spécificités de ce marché.