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Fuyant leur maison de retraite, trois nonnes octogénaires en Autriche regagnent leur couvent
Elsbethen - Leur histoire a ému en Autriche et suscité une couverture médiatique frénétique ces derniers jours. Trois nonnes placées contre leur gré en maison de retraite par leurs autorités religieuses ont réussi à regagner le couvent où elles ont vécu presque toute leur vie. Samedi, une vingtaine de leurs anciens élèves et soutiens sont venus partager une prière et un déjeuner avec les soeurs Rita, 81 ans, Regina, 86 ans, et Bernadette, 88 ans, dans la chapelle du château de Goldenstein, à Elsbethen près de Salzbourg (centre), qui abrite le couvent. Le bâtiment, situé face à la montagne, a des allures féériques. Et les nonnes comptent bien y passer le restant de leurs jours. C’est au début du mois de septembre qu’elles ont décidé de se rebeller et de fuir la maison de retraite où elles affirment avoir été placées sans en avoir été averties au préalable depuis fin 2023. Les trois religieuses étaient les dernières à occuper le château de Goldenstein, qui abrite un couvent et une école privée depuis presque 150 ans. C’est «une cause importante», déclare à l’AFP Eva-Maria Seeber, 76 ans, une ancienne élève. «On ne peut pas déplacer des personnes âgées de cette manière. Je trouve cela cruel!» «C’est divin!» Selon les responsables de l’Eglise, les trois femmes ont été transférées dans une maison de retraite catholique située à une dizaine de minutes en voiture du château en raison de leur état de santé déclinant. Le supérieur des religieuses, le prévôt Markus Grasl de l’abbaye de Reichersberg, les a accusées de violer leur devoir d’obéissance et «de trahir les voeux qu’elles ont pris et réaffirmés à plusieurs reprises». Alors que les projets de l’Eglise pour le couvent ne sont pas clairs, les nonnes offrent une version différente, affirmant qu’elles n’ont jamais «été consultées» et avoir été décrites comme «souffrant de démence sévère» pour justifier leur placement. C’est «sous un ciel bleu et ensoleillé que nos prières ont été exaucées», raconte soeur Bernadette, décrivant comment il y a deux semaines, avec la l’aide de leurs soutiens — un groupe qui compte près 150 personnes —, elles avaient pu quitter la maison de retraite et retrouver leur couvent. «Le serrurier était là pour ouvrir la porte, et nous avons pu monter dans nos cellules sans aucun problème», a déclaré la religieuse, arrivée au couvent en 1948. Elles ont eu «le grand choc» de découvrir que les pièces avaient été vidées, et qu’il n’y avait plus ni eau courante ni électricité. Depuis, tout est rentré dans l’ordre, et elles savourent d’avoir retrouvé leur environnement. «Nous sommes enfin de retour chez nous, c’est divin!», se réjouit soeur Bernadette. Selon leurs soutiens, les visages des religieuses se sont illuminés depuis leur retour. «Elles se sont épanouies dès le premier jour où elles sont revenues. Elles vont bien et sont heureuses d'être de retour chez elles», déclare Martina Krispler, 28 ans, qui a apporté le déjeuner samedi. «Les soeurs ont toujours été chaleureuses, aimantes et attentionnées pendant nos années d'école, et nous ne sommes pas d’accord avec la manière dont l’Eglise les traite», ajoute-t-elle. Les trois femmes espèrent pouvoir se réconcilier avec l’Eglise, et rester dans le couvent «jusqu'à la fin de (leurs) vies». «Ils devraient tenir leurs promesses. C’est notre seule déception, qu’ils aient rompu leur promesse de nous garantir une résidence à vie», déclare soeur Bernadette, appuyée sur son déambulateur. Une collecte de fonds a été lancée et leurs soutiens entretiennent leur présence sur les réseaux sociaux, publiant des vidéos de la vie quotidienne des trois octogénaires. Dans l’une d’entre elles, on peut apercevoir soeur Rita faire son jogging vêtue de sa robe de religieuse, au son du célèbre thème musical du film Rocky. Kiyoko METZLER © Agence France-Presse -
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Manifestations à Lima : heurts violents contre le gouvernement et le Congrès
Lima - Environ 500 personnes ont participé samedi à Lima à une manifestation contre la politique du gouvernement, qui a viré à de violentes échauffourées avec la police, ont observé des journalistes de l’AFP. Organisée par le collectif de jeunesse de la «Génération Z», le rassemblement a donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre lorsque des manifestants ont tenté de s’approcher des sièges de l’exécutif et du Congrès, dans le centre de la capitale péruvienne. Les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser les groupes de manifestants qui répliquaient avec des pierres et des bâtons. Des images de personnes blessées circulent sur les réseaux sociaux. La radio péruvienne Exitosa a rapporté qu’une de ses journalistes et un caméraman ont été touchés. La police a également annoncé sur son compte X que trois de ses agents ont été blessés. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre du malaise social croissant au Pérou, dénonçant la corruption et une réforme du système de retraites, approuvée par le Parlement. «Le Congrès n’a aucune crédibilité, il n’a même pas l’approbation du peuple (...) Il est en train de mettre ce pays dans un état désastreux», abonde Celene Amasifuen, 19 ans. Dans la dernière ligne droite de son mandat, qui prendra fin le 28 juillet 2026, la présidente Dina Boluarte bat des records d’impopularité, principalement en raison de la recrudescence des extorsions par des gangs et des assassinats commandités par le crime organisé. Tout comme le gouvernement, le Congrès, à majorité conservatrice, est très mal perçu, car il est considéré comme une institution corrompue, selon plusieurs sondages d’opinion. Cette semaine, le pouvoir législatif a approuvé une loi obligeant les jeunes de plus de 18 ans à s’affilier à un fonds de pension privé, malgré les conditions de travail précaires auxquelles beaucoup sont confrontés dans ce pays qui est le deuxième producteur au monde de cocaïne selon l’ONU. © Agence France-Presse