Dans le bureau de Vincent Cornet, LBPAM

Vincent Cornet, directeur de la gestion de La Banque Postale Asset Management, nous accueille dans les locaux flambant neuf de la société de gestion en bord de Seine.
Vincent Cornet. Directeur de la Gestion La Banque Postale Asset Management
Vincent Cornet. Directeur de la Gestion La Banque Postale Asset Management  -  Mathias FILIPPINI/REA/Mathias FILIPPINI/REA

C’est en juin 2022 que La Banque Postale Asset Management (LBP AM) a fini d’emménager dans ces locaux flambant neuf et cet « écoquartier » en bord de Seine sur le quai Henri-IV à Paris. La filiale de gestion de La Banque Postale a abandonné ses bureaux rue de la Fédération, dans le 15e arrondissement, devenus obsolètes. Le groupe compte aujourd’hui 250 personnes sur place. « Mais nous avons de quoi accueillir 350 collaborateurs au total », souligne Vincent Cornet, directeur de la gestion. Le groupe communique ainsi sur sa future croissance après avoir transféré une partie de ses salariés vers Ostrum en 2021. Peut-être de quoi accueillir d’ailleurs, si l’opération est bien finalisée, les 120 salariés en France de La Financière de l’Echiquier dans la seconde partie de l’année?

Les équipes aujourd’hui sont installées sur six étages. Celles de gestion sont regroupées essentiellement au deuxième, sur une plateforme bien pensée. « L’idée était de créer une salle de marché sans qu’elle ait l’aspect d’un vaste plateau ouvert. Nous voulions quelque chose de fluide au niveau de la communication, tout en préservant des espaces plus confidentiels grâce à des alvéoles plus ou moins grandes », explique Vincent Cornet. Ainsi, l’immeuble est tout en profondeur et compte deux accès, rue Morland et quai Henri-IV. « Nous avons choisi, du côté de la rue Morland, de concevoir un espace qui permette aux équipes de se rassembler de façon prédéfinie pour faciliter la prise de décision quand il y a une crise sur les marchés », raconte Vincent Cornet.

Le groupe a légèrement réduit la surface initiale voulue pour prendre en compte le flex office et le télétravail de deux jours par semaine. Une large partie de cette réduction de coûts a été réemployée sur des budgets informatique et technologique. « Les gérants apprécient de venir au bureau, le format hybride est donc adapté pour un équilibre efficace entre présentiel et télétravail », observe Vincent Cornet.

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