Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Pour la première fois, le monétaire, les obligations d’entreprises de qualité et les actions rapportent la même chose. Mais la lecture en termes réels est bien différente.
Berkshire Hathaway a investi en 2020 dans cinq maisons de négoce. Signe de son enthousiasme pour les actions nippones, le milliardaire relève sa participation.
L’indice S&P 500 s’installe en "bull market". Le marché se divise entre ceux qui ne veulent pas manquer cette hausse et les plus pessimistes pour qui le risque de correction est encore plus important.
La coalition internationale d’investisseurs se penche sur les rapports entre détenteurs d’actifs et gérants pour mener un engagement actionnarial environnemental efficace et bien en rendre compte.
Après une année 2022 difficile, le secteur américain de la tech a connu une embellie boursière ces derniers mois. Un rebond potentiellement durable, selon Simon Webber chez Schroders.
Les décideurs européens sont en plein débat sur la réglementation des marchés financiers, mais ils manquent de ligne directrice claire sur les questions de concurrence, de transparence et de liquidité.
L’indice Vix est revenu à 14, son plus bas niveau depuis février 2020 du fait de la faible volatilité macroéconomique, mais aussi grâce à la baisse de la volatilité taux.
Le conseil scientifique des indices se penche cette semaine sur la composition des indices boursiers parisiens. Le CAC 40, qui fait preuve d'une étonnante constance chez ses pensionnaires depuis près de deux ans, concentre l’attention. Edenred tient la corde pour intégrer l'indice phare parisien.
Nous continuons à limiter les investissements à la partie courte de la courbe et évitons pour l’instant le risque de duration, tandis que les perspectives des marchés de taux sont liées à la capacité – ou la volonté – des banques centrales des pays développés de restaurer des régimes d’inflation proches de 2 %.
Le vote par le Congrès américain de l’accord sur une suspension jusqu’à début 2025 du plafond de la dette a été bien accueilli par les marchés, tout comme les chiffres de l'emploi aux Etats-Unis.