Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
La saison de publication des résultats du troisième trimestre des entreprises cotées démarre vendredi. Le consensus des analystes anticipe un ralentissement par rapport au premier semestre mais attend un rebond en 2025.
Les sociétés financières ont profité de la baisse des taux et du momentum économique en Europe. Les télécoms et les utilities, aussi sensibles à la politique monétaire, sont en période de rebond. En revanche, les secteurs défensifs, comme l'agroalimentaire, les biens de consommation et l'énergie restent à la traîne.
Les places de New York et de Tokyo sont attendues stables à six mois, tandis que les indices européens pourraient grappiller 2% à 3%. A un an, les indices gagneraient de 4% à 7%.
Les Etats-Unis ont créé nettement plus de postes que prévu en septembre et le taux de chômage est plus faible qu'anticipé. La perspective de voir la Fed baisser ses taux de 50 points de base en novembre s'éloigne.
La crainte d’une riposte d’Israël à l’attaque de l’Iran fait bondir le pétrole et la volatilité des actions. Le dollar profite du double impact du risque géopolitique et des données favorables aux Etats-Unis.
Après un rebond de la volatilité mardi, avant l’attaque d’Israël par l’Iran, les investisseurs étaient attentistes, misant sur l’absence d’escalade. Le pétrole reste l’actif le plus touché par les tensions persistantes dans la région.
L’heure du bilan approche pour les gérants ! Notre journaliste spécialisé en gestion d’actifs, Jean-Philippe Mas, en a interrogé trois sur les leçons qu’ils tirent déjà de 2024 et leurs perspectives pour les derniers mois.
La plupart des marchés, hormis celui du pétrole, ont été positifs le mois dernier, et clôturent un bon troisième trimestre, malgré les soubresauts de l’été.
Les entreprises françaises, notamment les PME et les entreprises de taille intermédiaire (ETI), sont actuellement confrontées à une situation économique et politique particulièrement complexe. La dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024 a provoqué une incertitude institutionnelle, créant un climat peu favorable au développement de leurs activités et à l’investissement. En attendant que la baisse des taux annoncée par la Réserve fédérale américaine se répercute sur les marchés européens, de plus en plus d’entreprises font face à des difficultés financières, qui se traduisent par une augmentation du nombre des déclarations de cessation de paiements. Face à ces difficultés, des solutions comme le Listing Act émergent pour soutenir les entreprises.
Les marchés actions chinoises ont enregistré lundi leur plus forte hausse quotidienne depuis 2008, avant leur fermeture pour une semaine de congés. Pékin poursuit ses annonces pour relancer une économie en difficulté.
Les données macroéconomiques mondiales indiquent une croissance résiliente mais tendanciellement en baisse et une inflation qui revient plus vite que prévu vers l’objectif des 2%. Elles constituent un terrain favorable pour une accélération de la baisse des taux.
Le fabricant américain de puces électroniques a revu ses prévisions à la hausse. En hausse de 15%, son action alimentait, jeudi, le rallye du secteur des semi-conducteurs.
Aidés par la Fed et l’IA, Google et Amazon ont rejoint Apple, Microsoft et Nvidia dans le club des entreprises valorisées plus de 2.000 milliards de dollars en Bourse.