Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
L'économie américaine fait preuve d'une belle résilience. Les meilleurs fonds de la catégorie en profitent et affichent des performances à deux chiffres sur un an, voire approchent les 100 % sur cinq ans...
Le rendement de l’obligation souveraine à 10 ans a grimpé jusqu’à 4,445% dans la nuit de mercredi à jeudi. Si la banque centrale américaine a maintenu ses taux, elle a laissé la porte ouverte à une nouvelle hausse d'ici à fin 2023.
Le retour tant attendu des touristes chinois tarde à se matérialiser alors que de nouveaux défis pointent à l’horizon. La banque Jefferies n’achète plus ni LVMH ni Kering.
Après la débandade boursière provoquée par la présentation des nouveaux objectifs de la banque, l'économiste François Meunier revient sur la crainte de voir la Société Générale détruire de la valeur en raison d'un rendement des fonds propres trop faible.
L’institution a aussi revu en hausse sa prévision de croissance pour cette année grâce aux Etats-Unis mais elle estime que l’inflation risque de demeurer à un niveau élevé malgré son récent reflux.
Les investisseurs retail, qui sont redevenus un élément moteur du marché actions américain, ont joué un rôle dans le bond de l’action Arm après sa cotation.
Les graphiques ci- dessous montrent pour la zone euro l'évolution de la masse monétaire M3 en glissement annuel (haut) et le niveau de M3 normalisé par le PIB nominal (bas) avec sa tendance pré-Covid. M3, le plus vaste agrégat monétaire reconnu par la BCE, inclut les billets en circulation, les dépôts à vue et à terme, ainsi que certains instruments financiers liquides.
En août, la forte hausse des rendements souverains aux États-Unis a pesé sur les actions, qui ont enregistré une performance négative après deux mois consécutifs de rallye. Ce mouvement assez marqué sur les marchés obligataires a été stimulé par une économie américaine remarquablement résiliente (marché du travail, consommation, etc.) et par une Fed qui n’a cessé de rappeler que les taux resteraient élevés pendant plus longtemps. Le ralentissement de l’activité en Europe a entraîné des mouvements moins marqués sur les rendements obligataires.
Décollage boursier réussi pour le groupe britannique. L'action du concepteur de puces atteignait 59 dollars mercredi 14 septembre en début de séance sur le Nasdaq, soit une valorisation supérieure à 60 milliards de dollars.
Le laboratoire danois, qui vient de dépasser LVMH en termes de capitalisation, est surprenant à plusieurs égards mais son avenir en Bourse dépend largement des espoirs placés dans son médicament anti-obésité.
Entre une conjoncture peu favorable, surtout en Europe, et la hausse des taux qui pèse sur la capacité de financement, ce segment de la cote est de nouveau délaissé par les investisseurs.