Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Les marchés sont probablement à l’orée d’une séquence de rattrapage des petites capitalisations relativement aux grandes, notamment grâce à un momentum économique qui se redresse.
Sur les six prochains mois, les indices occidentaux ne devraient perdre que 1%, avant de rebondir. Les gains attendus à un an se situent autour de 4% à 5%.
Les actions ont résisté, malgré la hausse des taux, grâce à la résilience des bénéfices. Mais ces derniers sont corrélés aux indicateurs avancés qui prédisent un fort ralentissement.
Sur le stand de L'Agefi, Mohamed Amor, Chief executive officer de la société de gestion Thematics AM a rappelé l’importance du gérant pour un fonds thématique dont le portefeuille se bâtit aussi à partir d’arbitrages entre titres tenant compte d’éléments tels que la qualité du management, les critères ESG ou l’univers concurrentiel des entreprises…
Les capacités du gendarme de la Bourse aux Etats-Unis seront fortement limitées en cas de «shutdown» ce qui l'empêchera d'approuver des projets de cotations ou de levées de fonds.
L'économie américaine fait preuve d'une belle résilience. Les meilleurs fonds de la catégorie en profitent et affichent des performances à deux chiffres sur un an, voire approchent les 100 % sur cinq ans...
Le rendement de l’obligation souveraine à 10 ans a grimpé jusqu’à 4,445% dans la nuit de mercredi à jeudi. Si la banque centrale américaine a maintenu ses taux, elle a laissé la porte ouverte à une nouvelle hausse d'ici à fin 2023.
Le retour tant attendu des touristes chinois tarde à se matérialiser alors que de nouveaux défis pointent à l’horizon. La banque Jefferies n’achète plus ni LVMH ni Kering.
Après la débandade boursière provoquée par la présentation des nouveaux objectifs de la banque, l'économiste François Meunier revient sur la crainte de voir la Société Générale détruire de la valeur en raison d'un rendement des fonds propres trop faible.
L’institution a aussi revu en hausse sa prévision de croissance pour cette année grâce aux Etats-Unis mais elle estime que l’inflation risque de demeurer à un niveau élevé malgré son récent reflux.
Les investisseurs retail, qui sont redevenus un élément moteur du marché actions américain, ont joué un rôle dans le bond de l’action Arm après sa cotation.