Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
Pétrole, salaires, taux réels. Les gouverneurs «restrictifs» devraient essayer d’avancer leur vision de la suite des événements.
Les prix ont augmenté au même rythme qu'en août au Royaume-Uni alors que les économistes anticipaient un léger ralentissement.
Les craintes d’inflation reprennent, même si certains estiment que c'est sans fondement au vu de l’inflation sous-jacente.
La hausse des prix est ressortie à 3,7% le mois dernier, comme en août, alors que les économistes anticipaient un léger ralentissement. Les actions européennes tombent dans le rouge.
Les attentes pourraient aider les banques centrales à réaliser un atterrissage en douceur, estime une étude du Fonds monétaire international.
L’institution internationale a revu en baisse sa prévision de croissance mondiale à 2,9% pour 2024 tout en la jugeant très inégale, avec une inflation qui ne diminue que progressivement.
Un baril du pétrole bien au-dessus de 100 dollars pourrait avoir des effets plus importants sur l’inflation et sur l’économie.
Chef économiste chez Carmignac, Raphaël Gallardo décortique les modèles statistiques qui permettent d'apprécier la situation de l’emploi aux Etats-Unis, dont les derniers chiffres ont été publiés le 6 octobre.
A l'heure où la Banque centrale européenne s'interroge sur la continuation de sa politique restrictive, plusieurs données peuvent expliquer les inquiétudes sur une poursuite de l’inflation en 2024.
La RBA se place volontairement dans une position d’attente dans le contexte d’incertitude actuel.
L’incertitude reste grande autour de l’atterrissage de cette économie dont l’histoire a souvent, dans le passé, été marquée par les erreurs de prévision.
La hausse des prix a ralenti en zone euro, la France a présenté son budget 2024, le Crédit Agricole a racheté Worklife et TotalEnergies a tenu sa journée investisseurs : l’essentiel de l’actualité économique et financière cette semaine.
Les statistiques liées à la consommation publiées vendredi par le département du Commerce américain sont plutôt rassurantes, même si les dépenses restent soutenues.
La Banque centrale européenne pourrait être rassurée si l’inflation sous-jacente continuait à se normaliser dans les prochains mois.
La hausse des prix ressort à 4,9% dans l'Hexagone selon la première estimation de l'Insee. L'indice harmonisé ralentit de son côté à 5,6% après 5,7% en août.
La hausse des prix outre-Rhin ressort à 4,3% en septembre après plus de 6% en août. Les économistes anticipaient 0,2 point de plus.
Les bonnes surprises continuent à en repousser les effets sur l’économie et à augmenter les risques sur les marchés.
La Fed recommence à en parler. Generali Investments estime que ce taux a évolué avec les assouplissements monétaires de type quantitative easing.
L’interdiction des exportations de diesel par la Russie pourrait être un signe négatif pour le gaz également, estiment certains spécialistes.
Les deux banquiers centraux seront interrogés sur leurs récentes décisions de politiques monétaires. Des indicateurs d'inflation sont aussi attendus en Europe et aux Etats-Unis.