Le lancement de ChatGPT (OpenAI) pourrait bouleverser de nombreux pans de l’économie et de la finance. Découvrez tous nos articles d’actualité et d’analyse sur le sujet de l’intelligence artificielle (IA) : suivi du financement du secteur (fonds, capital investissement, Bourse) et des investissements des entreprises, des géants du numérique (Microsoft, Google, Meta) aux nouvelles start-up.
Après de solides résultats trimestriels, le géant des semi-conducteurs a dévoilé le gain d'un contrat de plus de 10 milliards de dollars de la part d'un nouveau client qui pourrait être OpenAI, le créateur de ChatGPT.
Le fleuron français de l’intelligence artificielle serait sur le point de finaliser une augmentation de capital de 2 milliards d’euros, à un prix qui lui permettrait de doubler sa valorisation.
Baptisé Mia, le nouvel outil va accompagner les family offices, conseillers en gestion de patrimoine et cabinets d’expertise comptable qui utilisent la plateforme et accompagnent aujourd'hui plus de 37.000 familles en Europe.
Le groupe de Mountain View s'évite, dans une décision de justice historique rendue mardi 2 septembre, de devoir se séparer de son navigateur Chrome. Ce verdict esquisse une nouvelle ère réglementaire, plus favorable aux Big Tech, avec le soutien actif de la Maison-Blanche.
Dotés de plusieurs centaines de milliards de dollars d’actifs, les fonds souverains et les fonds de pension sont des participants naturels au financement des immenses besoins de capitaux des entreprises d’intelligence artificielle.
Le fabricant de puces et concepteur de technologies pour le cloud clôt ce jeudi la vague des résultats des Big Tech américains. Les attentes sont d’autant plus élevées que les multiples de valorisation de la huitième capitalisation mondiale sont exigeants.
Le créateur du moteur d’intelligence artificielle Claude a levé 13 milliards de dollars auprès de nombreux investisseurs dont Iconiq, Fidelity Management, Lightspeed Venture Partners, BlackRock ou encore Blackstone.
Le géant de la technologie bénéficie d'une décision favorable d'un juge américain qui l'obligera toutefois à partager des informations avec ses concurrents. Son action en profite en Bourse.
La firme de Redmond poursuit son vaste plan de réduction du personnel, consécutif au déploiement de l'intelligence artificielle. Des entreprises, telles Salesforce, Tata et Intel, tentent de justifier ces licenciements par les investissements considérables que nécessite l’IA, ou se réorganisent en profondeur.
L'éditeur de chatGPT prévoit de construire un nouveau data center de grande envergure en Inde, où son PDG Sam Altman a programmé une visite ce mois-ci. Avant lui, d'autres géants technologiques, tels Google, Microsoft et Apple, se sont déjà largement implantés dans le pays.
Le S&P 500 n’a jamais semblé aussi cher. Certains ratios de valorisation s’approchent de ceux observés avant le krach de mars 2000. Ce risque s’ajoute aux inquiétudes géopolitiques ou macroéconomiques. Cependant, la majorité des investisseurs relativise ce prix élevé des actions au regard des bénéfices réalisés et du potentiel de l’IA.
Contrairement aux entreprises européennes, moins avantagées par l’effet dollar et la technologie, les bénéfices des entreprises américaines ont encore rebondi au deuxième trimestre. Les marges résistent et les tarifs douaniers n’ont eu que peu de conséquences jusqu’à présent.
Les derniers résultats trimestriels du concepteur star de puces destinées à l’IA, publiés mercredi 27 août après Bourse, servent de baromètre pour un secteur encore en ébullition. Ils restent bons, mais tout juste conformes aux attentes. Avec des perspectives prudentes, ils esquissent un rééquilibrage. Les incertitudes demeurent sur le marché clé de la Chine.
Le fabricant de microprocesseurs, véritable boussole pour l’ensemble du secteur de l’IA, a toutefois signé un trimestre record, avec un résultat net de 26,4 milliards de dollars.
Tour à tour, la société de capital-risque Andreessen Horowitz et le président d'OpenAI Greg Brockman, puis Meta, ont lancé cette semaine des comités politiques dans lesquels ils sont prêts à déverser des millions de dollars. Objectif: éviter des régulations sur l'intelligence artificielle jugées excessives à leurs yeux.
Les États-Unis ont acté en fin de semaine une prise de participation de 10 % dans le capital du fabricant de puces, en quête de redressement. En échange de l’injection de 8,9 milliards de dollars, ils obtiennent une décote significative de 16% sur les nouveaux titres.
Google fournira une version personnalisée, Gemini for Government, aux agences fédérales américaines à 0,47 dollar par agence jusqu'en 2026. OpenAI et Anthropic proposent déjà leurs produits aux services fédéraux pour une somme dérisoire. Mais Google attend le prononcé de sa peine dans un dossier sensible.
Il s'agit du premier accord majeur de cloud computing entre Meta et Google. Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, s'est engagé à dépenser des centaines de milliards de dollars dans l'IA et l'infrastructure nécessaire pour la soutenir, cherchant à rassembler rapidement la plus grande puissance de calcul par chercheur en IA.