L’actualité des grandes banques centrales de la planète, celles de la zone euro (BCE), des Etats-Unis (Fed), du Royaume-Uni (BoE), du Japon (BoJ). Nos analyses et éclairages sur les politiques monétaires mises en œuvre par ces autorités au cœur de l’économie mondiale.
Près de la moitié de la dette négociable des pays de l’OCDE arrivera à échéance et devra être refinancée à un coût bien supérieur dans les trois prochaines années.
Les dérivés de taux ont été particulièrement utilisés en 2022, même si les encours notionnels ont relativement peu bougé, selon les statistiques de la Banque des règlements internationaux.
Il est important de connaître les indicateurs sur lesquels les banques centrales se fondent pour comprendre les décisions de politique monétaire, estime William de Viljder, chef économiste chez BNP Paribas.
La Fed et la Banque centrale européenne (BCE) semblent proches du taux terminal. Elles devraient toutefois maintenir un régime restrictif au moins jusqu’en 2024.
La banque centrale nippone doit concilier une sortie de sa politique monétaire avec la stabilité des marchés financiers, une inflation dont la dynamique est tout sauf assurée, et un volume écrasant de dette d’Etat.
Alors que les grandes banques centrales ont décidé de coordonner leur resserrement monétaire aux données «spot» depuis 2022, Francis Yared, responsable mondial de la Recherche Taux chez Deutsche Bank, revient sur les inconvénients des «indications prospectives».
Ayant largement anticipé leur resserrement monétaire, les banques centrales, notamment d’Amérique latine, commencent à baisser leur taux, aidées par la désinflation et la pause de la Fed.
Les marchés obligataires rappellent actuellement aux investisseurs à quel point ils peuvent s’avérer volatils et parfois au détriment des investisseurs en quête de sécurité.
Les taux d’emprunt n’ont en revanche jamais été aussi élevés depuis plus de huit ans, selon les derniers chiffres de la Banque de France. Et la tendance est encore plus marquée dans le reste de l’Europe.
Les taux d’emprunt n’ont en revanche jamais été aussi élevés depuis plus de huit ans, selon les derniers chiffres de la Banque de France. Et la tendance est encore plus marquée dans le reste de l'Europe.