ENGIE, numéro 1 de l’éolien en France avec une capacité installée dépassant 1 700 MW à fin 2016, renforce son partenariat avec Crédit Agricole Assurances en intégrant dans leur société commune FEIH la capacité éolienne de MAÏA EOLIS acquise en mai dernier. La présence d’un partenaire investisseur de référence comme Crédit Agricole Assurances permet à ENGIE de concilier des objectifs ambitieux de croissance industrielle et d’optimisation de sa solidité financière tout en privilégiant un fort ancrage au sein des territoires. A travers cet accord, les parcs éoliens exploités par MAÏA EOLIS - représentant une capacité installée totale de 267 MW – sont cédés à FEIH, société commune fondée par ENGIE et Crédit Agricole Assurances. Depuis sa création en 2013, ce partenariat a permis à ENGIE de réduire son endettement net d’environ 400 millions d’euros et de continuer à se développer dans l’éolien tout en limitant les capitaux investis. Cette société commune exploite désormais 810 MW de capacités installées d’éolien terrestre en France. « Cette transaction renforce le partenariat stratégique ambitieux de long terme initié en 2013 entre ENGIE et Crédit Agricole Assurances, dont l’objectif est de faire croître notre portefeuille commun d’actifs éoliens en cohérence avec les ambitions d’ENGIE de doubler ses capacités dans l’éolien en France d’ici 5 ans », déclare Gwenaëlle Huet, Directrice générale de la Business Unit « France Renouvelables » chez ENGIE. Premier assureur en France, Crédit Agricole Assurances poursuit avec ce partenariat sa stratégie d’investisseur institutionnel de long terme qui s’illustre notamment au travers du financement de projets d’envergure contribuant à la transition énergétique. « Grâce à ce partenariat, Crédit Agricole Assurances renforce sa présence sur le marché des infrastructures et des énergies renouvelables, secteur dans lequel notre groupe joue un rôle d’investisseur important en France et au niveau européen » déclare Jean-Jacques Duchamp, Directeur général adjoint de Crédit Agricole Assurances. La gestion de ce partenariat est déléguée à Omnes Capital, leader français du capital investissement dédié à la transition énergétique. Serge Savasta, Associé gérant commente : « Nous sommes très heureux d’accompagner Crédit Agricole Assurances dans le développement de ce partenariat qui renforce le déploiement des énergies renouvelables dans les territoires de France. »
Primonial announced just before Christmas that it has carried out a complete restructuring of its capital. The British private equity firm Bridgepoint has acquired a 52.5% stake, by buying stakes previously held by Latour Capital, BlackFin Capital, and some employees, and through the dilution of the stake held by Crédit Mutuel Arkéa. This surprise reconfiguration will allow the group to make larger acquisitions and look to other countries. Stéphane Vidal, CEO of Primonial, tells Newsmanagers about its new objectives.
Le président du conseil de surveillance de la Deutsche Bank, Paul Achleitner, exclut dans une interview publiée samedi par le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung les pistes d’une fusion avec un établissement bancaire européen ou d’un renflouement public pour faire face à l’amende négociée avec les autorités américaines. «Pour le moment, le fantasme d’une fusion pan-européenne est freiné parce que nous avons d’autres priorités», dit-il dans cette interview. «Personne en Allemagne ne doit s’inquiéter d’un sauvetage de banques», poursuit Achleitner, se disant «très soulagé» par l’accord trouvé avant Noël avec Washington pour 7,2 milliards, alors que les autorités américaines réclamaient initialement quelque 14 milliards de dollars.
Chez EDF, 75 % du portefeuille d’actifs dédiés aux engagements nucléaires doivent être investis en actifs liquides. Cependant, Stéphane Tortajada, directeur des Financements et Investissements du groupe, nous explique que le passif exigible sur le long terme permet d’investir sur des classes d’actifs réels non cotés, de type infrastructures ou immobilier pour améliorer le rendement, diversifier et obtenir une récurrence des revenus.
Stéphane Tortajada a participé le 8 décembre dernier au panel de la Journée nationale des investisseurs (JNI), intitulé : La concentration des portefeuilles institutionnels sur les actifs les plus liquides : peut-on parler d'exception française ?
Même si encore peu d’institutions utilisent la blockchain dans leurs processus opérationnels, à quoi peut ressembler un monde composé de blockchains pour des gérants d’actifs et des institutionnels ? Pour décrire les enjeux de cette révolution, cinq intervenants ont débattu lors de la JNI 2016 : Arnaud Misset, directeur produits chez CACEIS, Nadia Filali, responsable du développement des mandats et des offres à la Caisse des Dépôts, Romain Rouphaël, co-fondateur de BELEM, et Florence Picard, présidente de la commission des actuaires chez Institut des Actuaires.
Comment l’approche scientifique et quantitative permet-elle la mobilité de l’allocation d’actifs sans créer de volatilité ? À l’occasion de la JNI 2016, le 8 décembre dernier, dans le cadre d’un panel animé par Olivier Champagne, fondateur de Straper, quatre intervenants ont tenté de répondre à ces questions : Michel Manteau, responsable du service gestion de portefeuille de la CARMF, Jean-Marc Pont, investment specialist chez Generali Investments, Adina Grigoriu, fondatrice d’Active Asset Allocation et Caroline Le Meaux-Lambert, responsable de la gestion déléguée de la CDC.
Alexandre Attal, gérant de portefeuille chez Russell Investments France, nous explique pourquoi de plus en plus d’investisseurs institutionnels s’intéressent au rôle joué par une gestion overlay en portefeuille. Il a participé le 8 décembre dernier au panel de la JNI intitulé : « Nouvelles solutions d'investissements : l'innovation est-elle toujours rentable ? Existe t'il un moyen de protéger ses plus-values ? »
Les investisseurs institutionnels français n’ont pas un gros appétit pour les actifs de diversification (immobilier, infrastructure, private equity). Le panel radio de la JNI a tenté de mettre au clair cette question.
Le fonds portait le groupe d'éléments en béton depuis près de dix ans. Des négociations exclusives ont été ouvertes en fin de semaine dernière avec Bain Capital.
Saurez-vous répondre aux questions suivantes portant sur plusieurs institutionnels : quel dirigeant de BNP Paribas Cardif est amateur de shinrin-yoku ? Qui a été nommé directeur financier du groupe AGPM en 2010 ? Benoît Briatte, devenu président de la Mutuelle générale de la police (MGP), est-il un ancien inspecteur des Renseignements généraux ?
Les fonds monétaires européens vont être confrontés à une crise de liquidité en cette fin d’année 2016 en raison des faiblesses structurelles du secteur, selon une étude publiée par l’agence d'évaluation financière Fitch Ratings. Le problème est notamment lié à la dépendance croissante des fonds vis-à-vis des banques dépositaires pour la gestion de la liquidité dans un contexte d’investissement toujours très difficile. Fitch relève que la fourniture par les banques de dépôts au jour le jour et de facilités de réméré, ont diminué au cours des trois dernières années pour des raisons réglementaires liées entre autres aux ratios de liquidité. «Nos discussions avec des gérants de fonds monétaires suggèrent que cette fin d’année pourrait être la plus difficile jamais rencontrée si bien qu’il est très probable que les fonds monétaires laissent des montants élevés non investis chez leurs banques dépositaires», estime Fitch. Ce maintien d’argent non investi chez les dépositaires a bien évidemment un coût, les fonds monétaires étant contraints de payer des commissions élevées pour ce service. Fitch évoque un coût de 100 points de base alors que le taux Euribor s’inscrivait à -0,35% à la mi-décembre. «L’argent des fonds ne peut être laissé chez le dépositaire que pour une période très brève mais le coût associé va encore réduire les rendements déjà très bas offerts par ces fonds», ajoute Fitch.
L’amende infligée par le DoJ dans le dossier des RMBS conduira la banque helvétique à passer une charge de 2 milliards de dollars au quatrième trimestre.
NN Group, le premier assureur néerlandais par la capitalisation, a annoncé vendredi avoir relevé de 1,9% son offre sur son compatriote Delta Lloyd, obtenant le soutien du conseil de ce dernier avec sa proposition à quelque 2,5 milliards d'euros.
Le réassureur français Scor et la Financière Miro, la holding d’investissement qui détient Albingia, annoncent leur entrée au capital d’un assureur opérant en protection juridique.
Dans le cadre du Questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016, la Fondation Arc a remporté le prix de la meilleure initiative en matière de gouvernance. Axelle Davezac, ex-directrice générale de la Fondation Arc répondait à nos questions avec Philippe Dutertre, directeur adjoint des investissements et du financement d'AG2R La Mondiale, engagé à titre personnel au sein du comité financier,
Lors d’un panel radio organisé à l’occasion de la Journée Nationale des Investisseurs le 8 décembre 2016, Michael Hyman, responsable Investment Grade Credit Portfolio Management chez Invesco, Jean-Marc Vittori, membre de l’Institut Messine, Pierre-Maxime Duminil, directeur général de la Cavamac et Pascal Christory, directeur des investissements d’Axa France se sont penchés sur la question des taux bas voire négatifs.
Panel animé par Ludivine Garnaud, rédactrice en chef d'Instit Invest avec la participation d'Alexandre Attal (Russell Investments), Paul Gasly (Humanis), Daniel Cohen (économiste) et Philippe Goubeault (Agirc-Arrco). Rapporteur : Frédéric Debaere (Mercer Investments).
Selon nos informations, Cédric Fouché quitte Agicam pour remplacer Sylvie Terris, comme directeur financier délégué d’Agrica Epargne. Il prendra ses fonctions le 3 janvier 2017. Sylvie Terris est, elle, promue directeur général délégué d’Agrica Epargne en remplacement de Jean-Claude Guimiot. Quant à ce dernier, il a choisi de finir sa carrière en rejoignant la société de gestion Amilton AM pour accompagner la gestion d’un fonds de fonds actions s’appuyant sur une stratégie de recherche d’idées nouvelles et expérimentée au sein du groupe Agrica depuis plusieurs années. Cédric Fouché termine sa mission chez Agicam (société de gestion d’AG2R La Mondiale) en tant que chef de l’ingénierie financière qu’il a commencée en septembre de cette année. Il travaillait auparavant dans la multigestion et l’allocation tactique d’actifs chez Agicam depuis 2013. Il est entré à la mondiale gestion d’actif en 2006 comme analyste OPCVM puis comme gérant-analyste fonds alternatif UCITS
Après Macif, le groupe AG2R La mondiale dévoile les taux de rendement 2016 des principaux fonds en euros des contrats d’assurance vie distribués par le réseau des conseillers de La Mondiale.
Dans le cadre du Questionnaire des Couronnes 2016, Guillaume Blanc, directeur financier de France Horizon répondait à nos questions sur la gestion des risques financiers. France Horizon héberge et accompagne vers l’insertion les personnes en situation d’exclusion sociale et accueille les personnes âgées en perte d’autonomie.
Harmonie Mutuelle a toujours en ligne de mire la création du géant de l’assurance-santé qu’il doit former avec la MGEN (Mutuelle Générale de l’Education Nationale) et plusieurs autres mutuelles qui leur sont proches. Initialement annoncé pour l’automne 2016, puis pour début 2017, ce rapprochement prend néanmoins plus de temps que prévu. Le futur groupe, pour l’instant baptisé « MGEN-Istya-Harmonie » et qui totalisera 10 millions de personnes protégées, doit maintenant voir le jour « courant 2017 », a indiqué vendredi Stéphane Junique, le président d’Harmonie Mutuelle, à l’occasion d’une conférence de presse sur le bilan de la généralisation de la complémentaire santé d’entreprise (ANI). « Notre calendrier a été un peu modifié. Nous avons souhaité prendre le temps », ajoute-t-il, en soulignant que pas moins de 100 structures mutualistes sont concernées par ce projet. Harmonie Mutuelle et la MGEN ont en effet jugé nécessaire, en octobre, de faire « une pause » dans leurs discussions, afin de « réapprofondir » le dossier. Les deux partenaires se sont donné rendez-vous en janvier, précise Stéphane Junique. En attendant, Harmonie Mutuelle a avancé sur d’autres fronts. La première mutuelle santé française (2,5 milliards d’euros de cotisations et plus de 4,3 millions de personnes protégées) a ainsi noué un partenariat avec la Matmut qui lui permettra de distribuer une multirisque pro, pour « compléter notre offre pour les entreprises », et de l’assurance habitation, qui sera « l’un des éléments de notre réponse en matière de logement ». Elle a par ailleurs pris, la semaine dernière, la majorité du capital (51 %) de Mutex, une société à capitaux mutualistes dont elle était déjà le premier actionnaire et qui est un acteur important en prévoyance. Il s’agit « de garantir pour l’ensemble des mutuelles distributrices [des produits de Mutex, NDLR] le pilotage de l’outil industriel », précise Catherine Touvrey, la directrice générale d’Harmonie Mutuelle. « La prévoyance est un métier d’avenir », complète Stéphane Junique. Il en veut pour preuve que seules 120 branches sur 700 sont couvertes en prévoyance et que la moitié des salariés ne bénéficient pas aujourd’hui de telles couvertures. 20 % des entreprises échappent encore à l’ANI En santé, la mutuelle dit avoir « consolidé ses positions sur le collectif » : 53 % de ses adhérents sont désormais couverts par un contrat collectif, contre 50 % avant la généralisation de la complémentaire santé d’entreprise. Au total, elle compte 55.000 entreprises en portefeuille, dont 11.000 engrangées avec l’ANI. Cela dit, comme le reste du marché, Harmonie Mutuelle observe que cette réforme « n’a pas tenu l’ensemble de ses promesses ». Alors que toutes les entreprises étaient censées avoir mis en place un contrat collectif pour leurs salariés au 1er janvier 2016 au plus tard, 20 % d’entre elles ne sont aujourd’hui toujours pas entrées dans ce dispositif, selon ses estimations. Ce chiffrage rejoint ceux avancés par d’autres opérateurs (« Les Echos » du 7 décembre).
La startup toulousaine, au bord de la liquidation, est en conflit avec son actionnaire, la Maif. Son positionnement comme « néobanque » visant le grand public n’est pas viable selon cette dernière. Bien choisir son modèle, nouer une relation de confiance avec des partenaires, et peser sa communication : voici les leçons de cet accident tirées du milieu de la Fintech.
Laurence Tubiana, l’ambassadrice des négociations internationales pour le climat pour la COP21, devient la nouvelle directrice générale de l’organisme philantropique European Climate Foundation. Elle prendra ses fonctions le 1er mars 2017 en succédant à Johannes Meier, en place depuis 6 ans et qui a souhaité se retirer pour motifs familiaux. Laurence Tubiana a été responsable de la conduite des négociations internationales sur l’environnement pour le gouvernement français. Elle a fondé et présidé l’IDDRI, l’institut du développement durable et des relations internationales. Elle fait également partie du Conseil d’analyse économique et a été professeur à Sciences Po et à la Columbia University de New York.
Saurez-vous répondre aux questions suivantes portant sur plusieurs institutions : combien compte-t-on de caisses de retraite complémentaire de professions libérales ? De quel groupe s'est rapprochée la Mutuelle UMC en 2016 ? À quels nouveaux fonds la Fondation HEC s'est intéressée cette année ? La poche obligataire d'APRIL est-elle passée de 75 % à 55 % ou à 28 % entre 2010 et 2015 ?
As head of Lyxor Asset Management since 2014, Lionel Paquin, its CEO, is planning to accelerate the development of the firm by placing the emphasis on its activity serving institutionals, and in particular ETFs, a segment in which the firm is a top player. The asset management firm is also planning to dedicate more resources to developing its retail client base, an area of diversification for Lyxor. Although the development of the asset management firm will be organic at first, the director has not ruled out making targeted acquisitions.