«Sur le non coté, on essaie de capter les primes d’illiquidité ce qui nous laisse espérer des rendements de 7 à 10 %»

Chez EDF, 75 % du portefeuille d’actifs dédiés aux engagements nucléaires doivent être investis en actifs liquides. Cependant, Stéphane Tortajada, directeur des Financements et Investissements du groupe, nous explique que le passif exigible sur le long terme permet d’investir sur des classes d’actifs réels non cotés, de type infrastructures ou immobilier pour améliorer le rendement, diversifier et obtenir une récurrence des revenus. Stéphane Tortajada a participé le 8 décembre dernier au panel de la Journée nationale des investisseurs (JNI), intitulé : La concentration des portefeuilles institutionnels sur les actifs les plus liquides : peut-on parler d’exception française ?
Un évènement L’AGEFI

Plus d'articles du même thème

ETF à la Une

Contenu de nos partenaires

A lire sur ...