Yuri Narozniak remplacera Gérard Joalland au poste de directeur général de Groupama d’Oc, à son départ le 1er avril 2018. Il rejoint Groupama d’Oc en tant que directeur général délégué à partir du 1er mars 2018, nous apprend l’Argus de l’Assurance. Diplômé de l’Institut d'Études Politiques de Paris – section Service Public -, et âgé de 50 ans, Yuri Narozniak entre au Gan en 1989 comme CSNE (coopérant au service national en entreprise) à Hong Kong avant de rejoindre la direction internationale deux ans plus tard comme chargé d’affaires internationales. En 1995 il est nommé délégué adjoint du Gan à Hong Kong, puis délégué général Hong Kong, Chine et Vietnam. De 1999 à 2005, il exerce la fonction de secrétaire général de Gan Italia à Rome. En mai 2005, il rejoint Gan Patrimoine pour occuper le poste de directeur du Développement. En janvier 2008, il est nommé directeur général adjoint de Gan Patrimoine, et également, à compter de janvier 2010, responsable des Affaires générales, Contrôle réseaux, Marketing et Innovation de Gan Réseaux spécialisés (Gan Patrimoine, Gan Prévoyance). En novembre 2011, il devient directeur général adjoint Assurance & développement de Groupama-Avic Property Insurance Co, Ltd en Chine. En juillet 2014, il est nommé directeur général adjoint de Groupama Assicurazioni, avant d’en prendre la direction générale en septembre 2016.
BNP Paribas est en train de réduire de près de moitié le comité exécutif de ses activités de marchés en Europe, Moyen-Orient et Asie (EMEA), a annoncé à Bloomberg Olivier Osty, responsable mondial global markets de la banque française. Il va lui-même assurer la direction directe des opérations dans la région, tandis que l’actuel responsable EMEA, Pascal Fischer, va prendre la tête des activités de marchés en Asie-Pacifique.
There has been a new appointment at Amundi, and a new departure. The French asset management firm yesterday announced that Cristina Matti has been appointed as head of European small & mid cap equities and country strategies. According to information obtained by NewsManagers, the appointment follows the departure of Caroline Gauthier, who is had been sharing the position with Matti since the merger with Pioneer. Gauthier is expected to join La Financière de l’Echiquier, NewsManagers has learnt.The French group thus faces a new exit from equity management, following that of Romain Boscher, co-head of European equity management. “The departures are very often Amundi veterans who have had to share their responsibilities since the merger with Pioneer,” says a source at the group, who suggests that other departures may be coming soon in equity and diversified management. Although the Italian group is smaller in asset volume, the control that it is reported to have been given over the organisation, strategy and management committees is said to have triggered discontent among some former Amundi employees.Most of the managers concerned have accepted voluntary retirement plans to negotiate their exits. With the merger, about 134 positions are expected to be eliminated in France. The group is reported to have announced a departure plan which would affect a total of 500 positions worldwide. But in the management activity, it has been meanwhile decided to set up expsrt centres, which will cost Paris its central position in the group for some of these areas. European equity management is now led by Fabio Franzin, who is based in Ireland. According to information obtained by NewsManagers, 400 requests for voluntary retirement are said to have been made in France alone. “But the group is not satisfied, since there were not enough applications on the management side. The ones who want to leave this activity are mostly welcome anyway, with a few exceptions,” the source says.The departure plan being negotiated is reported to be attractive. It offers up to 27 months of salary, or one paid year of salary in cases of business creation. But talks are often bitter, one witness says: some heads who want to leave are said to have had stock options when Amundi was launched on the stock market, which had to be held for at least three years before being exercised. Meanwhile, to retain the best managers at Pioneer, Amundi is reported to have agreed in the merger deal to pay guaranteed bonuses for two years.In a recent interview with Financial News, Yves Perrier, CEO, does not conceal the fact that he “chose the teams that had the best performance over the past four years, and as a result, we are offering voluntary departure to the others.”
Le family office genevois Preon Capital Partners et la Fongit, incubateur de start-up technologique, lancent ce 1er mars à Genève leur propre fonds d’investissement Helvetica Smart Capital fund, annonce L’Agefi suisse. Doté d’un montant de 50 millions de francs suisses, ce fonds comblera la «vallée de la mort» pour le financement de start-up technologiques dont les besoins de cash sont importants, de l’ordre de 1 à 2 millions de francs. En effet, dans le cycle de vie d’une start-up, cette phase de financement (A-round) intervient après le pre-seed (de l’ordre de 50.000 à 150.000 francs) et le seed (de l’ordre de 150.000 à 500.000 francs) et elle fait cruellement défaut en Suisse et en Europe, affirme le journal. Lors de deux premières phases, surtout seules les institutions publiques à but non lucratif interviennent, complétées par les business angels. Ce fonds d’investissement soutiendra les projets de l’Arc lémanique avec un focus sur le A-round et toute la connaissance des étapes situées en amont au cours de laquelle la Fongit est partie prenante. «La Fongit se portera garante de la qualité des projets et interviendra comme advisor du fonds Helvetica Smart Capital fund», confirme Antonio Gambardella, directeur de la Fongit depuis 2014. Au cours des 4 années sous sa direction, les start-up incubées à la Fongit ont pu bénéficier d’environ 150 millions de francs de soutien de la part de fonds privés, parmi lesquels une trentaine d’investisseurs privés et de family offices issus du réseau de la Fongit.
Preon Capital Partners, family office genevois et la Fongit, incubateur de start-up technologiques, lancent aujourd'hui à Genève leur propre fonds d’investissement Helvetica Smart Capital fund, annonce L'Agefi suisse
AccorHotels a annoncé ce mardi la signature d’accords avec un groupe d’investisseurs français et internationaux, dont Credit Agricole Assurances, en vue de la cession d’une majorité du capital de sa filiale immobilière AccorInvest.
A l’occasion de la publication jeudi matin de ses résultats 2017, Suez va annoncer une réorganisation de son comité exécutif, ont indiqué plusieurs sources à L’Agefi. Ce remaniement intervient après l’avertissement sur résultats émis le 23 janvier par le groupe de services à l’environnement et alors que l’intégration de GE Water, l’ancienne filiale de General Electric acquise l’an dernier pour 3,2 milliards d’euros, suscite des interrogations. Depuis l’annonce de cette acquisition le 8 mars 2017, le cours de Bourse de Suez a chuté de 17% alors que dans le même temps celui de Veolia, le premier concurrent de Suez, a gagné 25%.
La population active en Chine a atteint l’an dernier son niveau le plus bas depuis 2009, passant sous la barre du milliard pour la première fois depuis 2010, selon le Bureau national des statistiques. Les travailleurs chinois âgés de 15 à 64 ans étaient 998,3 millions en 2017, contre 1,0026 milliard pour le bilan précédent. Il s’agit de la plus importante chute du nombre d’actifs, dont la population a commencé à décliner en 2014.
Une équipe d’anciens spécialistes de la gestion alternative chez HSBC vient de lancer une boutique de gestion basée à Londres, Blue Noble LLP, spécialisée dans l’acquisition et la gestion d’investissements dans l’immobilier européen pour le compte d’une clientèle fortunée (HNWI), rapporte le site Investment Europe.L'équipe comprend Paul Forshaw, l’ancien responsable mondial de l’immobilier chez HSBC Alternative Investments, ainsi que Toby Evans, Harry Heathcoat Amory et Will Michell, qui étaient tous directeurs chez HSBC Alternative Investments.Le lancement intervient alors que Blue Noble a conclu un partenariat stratégique avec le suisse Woodman Group qui a engagé pour 50 millions de dollars d’actifs réels, 450 millions de dollars d’actifs réels diversifiés (bureaux et résidentiel) et 100 millions de dollars de capitaux.
La société de vidéos en streaming (à la demande) iQiyi, filiale du moteur de recherche chinois Baidu, a déposé une demande d’introduction en Bourse aux Etats-Unis. Le document réglementaire remis aux autorités américaines met en avant sa capacité à se servir de l’intelligence artificielle et des données des utilisateurs pour fournir des vidéos qui génèrent des milliards de vues. Baidu affirme qu’il introduirait iQiyi au Nasdaq et qu’il compte lever environ 1,5 milliard de dollars. Les analystes de Jefferies ont estimé la valeur de iQiyi à 17 milliards de dollars.
Le ministre grec de l’Economie et du Développement, Dimitri Papadimitriou, a remis hier sa démission dans la foulée du départ de son épouse, secrétaire d’Etat au travail, prise dans une affaire d’allocation logement. Dimitri Papadimitriou était notamment en charge des privatisations. Son départ intervient alors que des représentants des créanciers du pays (UE, FMI, BCE) sont à Athènes pour la «quatrième revue» du troisième, et possible dernier programme d’aide au pays. Selon la presse grecque, un remaniement devrait être annoncé demain.
Stéphane Tortajada, directeur financement et investissements du groupe EDF, nous fait part des investissements réalisés par son groupe, notamment en actifs réels au sein de son portefeuille dédié au démantèlement des centrales nucléaires. Ces derniers sont réalisés essentiellement en fonds propres, dans un champ géographique très large.
Le ministre grec de l’Economie et du Développement, Dimitri Papadimitriou, a remis sa démission dans la foulée du départ de son épouse, secrétaire d’Etat au travail, prise dans une affaire d’allocation logement. «Le Premier ministre Alexis Tsipras a accepté la démission du ministre de l’Economie Dimitri Papadimitriou», a simplement indiqué le cabinet du Premier ministre dans un communiqué. Dimitri Papadimitriou était notamment en charge des privatisations. Sa démission intervient alors que des représentants des créanciers du pays (UE, FMI, BCE) sont à Athènes pour la «quatrième revue» du troisième, et possible dernier programme d’aide au pays.
Rebondissement dans le dossier Sky. Le câblo-opérateur américain Comcast a annoncé mardi matin avoir fait une offre d’achat préliminaire de 22,1 milliards de livres (30,9 milliards de dollars) sur le groupe de télévision britannique, supérieure à l’offre initiale de 21st Century Fox, le premier actionnaire de Sky. Comcast propose 12,50 livres par action pour acquérir la totalité de Sky, soit plus que l’offre de 10,75 livres par action soumise par 21st Century Fox sur la participation de 61% qu’il ne détient pas encore. Les investisseurs s’attendaient déjà à ce que 21st Century Fox ait besoin de relever son offre, car l’action Sky se négociait à un prix supérieur à celle-ci. Mardi, en fin de matinée, le cours de l’action Sky gagne 20,64%, à 13,33 livres.
En 2017, le montant des transactions réalisés par des fonds souverains (qui comprennent les fonds souverains et les fonds de pension publics) a chuté de 24% pour atteindre 72,5 milliards de dollars en 2016, note un rapport de Thomson Reuters. Leur nombre est pour sa part passé de 183 en 2017 contre 198 en 2016. «De plus en plus [de fonds souverains] ont des difficultés à trouver de bons deals et certaines opérations de capital-investissement sont assez coûteuses, a justifié à Reuters Markus Massi, associé du Boston Consulting Group. Toujours selon l’expert, les fonds souverains privilégient dorénavant des opérations plus importantes et en «late stage», lesquelles permettent de conserver un dealflow acceptable, «comparé à dix plus petites opérations», par exemple. Pour Javier Capape, directeur du centre de recherche du Sovereign Wealth Lab à Madrid, ce phénomène s’explique également par les start-up qui retardent leur entrée en Bourse pour éviter l'érosion des valorisations, et aspirer davantage de capitaux privés : «Ils ne savent pas s’ils survivront à l’examen des marchés publics. Ils font donc des tours de plus en plus gros. " Un appétit pour le digital Au cours des dernières années, poursuit Thomson Reuters dans son rapport, les fonds souverains, en quête de rendements plus élevés, ont augmenté leur exposition aux actifs non cotés. A tel point d’ailleurs, que cette exposition dépasse chez certains fonds la limite prévue par leur allocation. Selon Reuters, le dernier rapport annuel sur les fonds souverains de la IE Business School a toutefois montré que ces opérations restent concentrées par une poignée d’acteurs clés, car elle nécessite des équipes fournies et spécialisées pour identifier, évaluer et exécuter les transactions. «La nécessité d’une expertise dans les marchés et actifs privés pour investir à l'étranger et déployer de grosses sommes en direct est une barrière d’entrée pour les autres fonds souverains», a déclaré Javier Capape, également co-auteur du rapport et directeur du Sovereign Wealth Lab. Parmi ces investissements, la technologie était le secteur le plus populaire, avec 26,1% du total des transactions au premier semestre 2017 (contre 24,3% en 2016). De plus en plus de fonds souverains injectent de l’argent dans des start-up spécialistes de la technologie comme Airbnb et Uber, mais aussi dans l’intelligence artificielle et la réalité virtuelle. L’immobilier a pour sa part compté pour 23,9% des transactions au premier semestre 2017, contre 21,5% en 2016. L’acquisition par le fonds souverain chinois China Investment Corporation (CIC) du groupe d’entrepôts paneuropéen Logicor a été la plus importante au premier semestre 2017, avec une valeur de 13,8 milliards de dollars. Les entreprises de logistique ont également suscité un fort intérêt car permettent de profiter de la croissance d’entreprises comme Amazon, qui utilisent des entrepôts massifs comme centres de distribution. Le logement des étudiants et les immeubles de bureaux de haute qualité sont également restés populaires auprès des fonds souverains.
Cogefi Gestion, which has been led since 2016 by Anne d’Anselme, is seeking to develop serbing external clients at the Cogefi group. The director explains to NewsManagers how she plans to increase market share serving institutionals and multi-managers, and to open internationally by innovating, including the creation of a Luxembourg Sicav.
S&P Global Ratings a relevé vendredi soir la note de la dette à long terme de la Russie en catégorie «investissement» (BBB- contre BB+), alors que cette note était depuis 2015 en catégorie spéculative. L’agence américaine, qui a attribué une perspective stable à la nouvelle note, explique sa décision par l’amélioration de la situation économique et budgétaire du pays. Ce relèvement intervient à moins d’un mois de l'élection présidentielle du 18 mars, pour laquelle le président sortant Vladimir Poutine est considéré comme le grand favori.
Ayant pour dessein principal de “donner du sens à son travail”, Thierry Barthélémy a toujours cherché à allier finance et humanitaire avec clairvoyance. Un cocktail qui l’a amené à voyager au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie, afin de contribuer de façon concrète à la lutte contre les fléaux humanitaires. Aujourd’hui épanoui au poste de directeur financier d’Unicef France, cet adepte de la méditation et de la course à pied n’exclut pas de retourner travailler à l’étranger un jour.
Karen Azoulay, responsable de la dette d’infrastructure au sein de BNP Paribas Asset Management (BNPP AM), précise le positionnement de son établissement dans un contexte où l’Etat privilégie la rénovation des infrastructures existantes et souhaite faire davantage appel aux financements privés. L’accompagnement des collectivités locales dans les projets liés au déploiement du très haut débit est notamment ciblé.
Le Fonds de garantie des dépôts et de résolution délègue l'intégralité de sa gestion financière à des sociétés de gestion, explique Thierry Dissaux, président du directoire du FGDR dans un entretien à Option Finance. Celles-ci se doivent de respecter une allocation majoritairement monétaire, mais aussi de nombreuses contraintes en termes d’émetteurs éligibles, de notation, ou encore de diversification.
Avec une trésorerie fortement amoindrie par des versements réguliers à destination d’Unicef International, le comité français d’Unicef cherche avant tout à placer les dons issus de la générosité du public en “bon père de famille”. Si son allocation est composée depuis la crise financière de 2008 de comptes à termes, livrets associatifs, et contrats de capitalisation, l’association ne s’interdit pas de revenir à des placements plus rémunérateurs. A condition qu’ils demeurent sécurisés et liquides.
AXA annonce avoir publié le 23 février au Bulletin des annonces légales obligatoires les résolutions que le conseil d’administration soumettra à la prochaine assemblée générale annuelle des actionnaires, le 25 avril 2018 à 14h30 au Palais des Congrès à Paris. Outre l’approbation d’un dividende en augmentation à 1,26 euro, sera notamment proposé à l’assemblée la nomination en tant qu’administratrices de Patricia Barbizet et Rachel Duan en remplacement d’Isabelle Kocher (directrice générale d’Engie) et Suet Fern Lee dont le mandat arrive à échéance à l’issue de la prochaine assemblée. Patricia Barbizet a été directrice générale d’Artémis, la société d’investissement de la famille Pinault, dont elle demeure aujourd’hui administrateur. Elle est également vice-présidente du conseil d’administration de Kering et administrateur référent de Total. Rachel Duan a débuté sa carrière chez GE en 1996 et occupe actuellement les fonctions de « président » et directrice générale de GE China et « président » et directrice générale de GE Healthcare China. Le mandat de Denis Duverne, Thomas Buberl, et André François-Poncet devraient pour leur part être renouvelé.
Iznes, la plateforme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé, ce 22 février, avoir mené avec succès sa première levée de fonds, sans toutefois en préciser le montant. Dans ce cadre, 5 sociétés de gestion, qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et SETL, la fintech spécialiste de la blockchain, au capital d’Iznes. Ces 5 sociétés sont Arkea IS, Groupama AM, La Banque Postale AM, La Financière de l’Echiquier et Lyxor AM. Cette opération, qualifiée de « stratégique » par Iznes, intervient quelques semaines après la validation opérationnelle sur des transactions réelles de la solution d’achat et de vente de parts d’OPC en blockchain. Cette levée de fonds « donne à la société les moyens et l’appui nécessaires à la phase de déploiement et de production prévue en 2018, en France et au Luxembourg », indique Iznez dans un communiqué.Pour cette phase, 13 nouvelles sociétés de gestion rejoignent officiellement le projet en tant que contributeurs au développement de la plateforme. Il s’agit d’AllianzGI, Amundi, Aviva Investors, BDL Capital Management, BNP Paribas AM, Candriam Investors Group, La Française, Lazard Frères Gestion, Mandarine Gestion, Natixis AM, Pléiade AM, SMA Groupe et, enfin, Sycomore AM. « Ces sociétés de gestion disposent de modèles économiques ainsi que de typologies de produits et de clients différents, garantissant ainsi l’adéquation de l’offre d’Iznes avec les besoins tant des clients que des sociétés de gestion sur l’ensemble du marché européen », estime la plateforme. « Avec près de 20 sociétés de gestion, représentant plus de 5.000 milliards d’euros d’encours sous gestion, Iznes dispose désormais d’un soutien fort du marché et devient une solution de place incontournable », juge pour sa part Pierre Davout, président d’Iznes.
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé ce jeudi avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM.
Barclays a annoncé jeudi matin son intention de plus que doubler son dividende en 2018, bien que la banque britannique ait accusé une perte nette au titre de l’exercice 2017 en raison d’une faible performance de sa banque d’investissement et d’une charge liée à la réforme fiscale américaine. L’action gagnait encore 5% à la mi-journée à Londres.
Prudence. Le soutien de la liquidité continue de diminuer, selon Schroders. Son indice de liquidité financière mondiale, construit à partir de la croissance de M2, a accentué sa baisse l’an dernier, ce qui inquiète la société de gestion britannique. Une inquiétude d’autant plus grande que cette décélération intervient au moment où le soutien des politiques monétaires commence à diminuer. Pour la première fois depuis 2008, on constate une contraction du crédit aux entreprises aux Etats-Unis (le dollar représente 28 % de l’indicateur). La situation de la Chine (30 % de l’indice) inquiète, car le crédit y est un moteur essentiel de la croissance. Il faut 7 renminbi de crédit pour créer 1 renminbi de PIB. Ce n’est pas tenable, selon les gestionnaires de Schroders pour qui le pays dispose néanmoins de suffisamment de liquidités, pour soutenir l’endettement. Une telle décélération globale peut être interprétée comme
La fintech Iznes annonce avoir bouclé sa première levée de fonds, sans toutefois en dévoiler le montant. Dans ce cadre, 5 sociétés de gestion, qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et SETL, la fintech spécialiste de la blockchain, au capital d’Iznes : Arkéa IS, Groupama AM, La Banque Postale AM, La Financière de l’Échiquier et Lyxor AM