En mai, les actions ont rebondi dans un environnement de marché porteur, caractérisé par une faible volatilité et une bonne saison des résultats. Les données d’inflation aux États-Unis ont rassuré les marchés quant à une possible baisse des taux de la Fed en 2024. En revanche, la hausse surprise des salaires en zone euro a écarté la possibilité que la première baisse de taux en juin amorce le début d’un cycle continu. Cela a laissé entrevoir une resynchronisation des politiques monétaires d’ici la fin de l’année, entrainant une baisse marquée des taux souverains américains.