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Yaël Braun-Pivet se dit prête pour Matignon et appelle à un «pacte de coalition»
Paris - La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, s’est dite prête mardi à aller Matignon pour y mettre en oeuvre un éventuel «pacte de coalition», promettant si c'était le cas de gouverner sans faire usage du 49.3 et de demander d’emblée un vote de confiance. «Je ne suis pas candidate» pour Matignon, «en revanche je suis disponible pour œuvrer dans l’intérêt de mon pays», a affirmé sur RTL la députée Renaissance des Yvelines, alors que le Premier ministre François Bayrou doit présenter en fin de matinée sa démission au président de la République. «Si d’aventure, il fallait assumer cette mission-là, évidemment je ne rechignerais pas», a-t-elle aussi déclaré. Mme Braun-Pivet, qui reçoit à 9H30 les présidents des différents groupes politiques de l’Assemblée, plaide pour la conclusion entre ceux qui le souhaitent, d’un «programme d’action jusqu’en 2027". «Nous discuterons de cela et du fonctionnement de l’Assemblée nationale. Il n’y a pas une minute à perdre pour essayer de se mettre d’accord sur ce pacte de responsabilité et de stabilité», a-t-elle dit, soulignant l’urgence de doter la France d’un budget pour 2026. Si elle était nommée, Mme Braun-Pivet s’engagerait à renoncer à faire usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, qui permet de faire adopter des textes sans vote, et voudrait solliciter un vote de confiance de l’Assemblée. «Il faut le faire d’entrée de jeu sur le pacte de coalition pour que le pacte de coalition soit clair pour les Français, et que l’acceptation de la représentation nationale soit claire», a-t-elle soutenu. Pour atteindre une majorité absolue, Mme Braun-Pivet souhaite associer «les socialistes», les «écologistes» à la coalition gouvernementale actuelle. Sur le plan programmatique, la titulaire du perchoir a souligné qu’il faudrait faire des «compromis» et probablement revenir sur le projet de l’actuel gouvernement de réduire le déficit de 44 milliards d’euros en 2026. Elle a prôné l’abandon de la proposition de M. Bayrou de supprimer deux jours fériés, et souhaité l’adoption d’un «budget qui soit juste, équitable». © Agence France-Presse -
Olivier Faure refuse de dire si le PS censurerait un Premier ministre du camp présidentiel
Paris - Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure, qui veut qu’Emmanuel Macron nomme un Premier ministre de gauche, n’avait toujours pas été contacté mardi matin par le chef de l’Etat et a refusé de dire si le PS censurerait un Premier ministre du camp présidentiel. «Dans la nuit, je dormais sur mes deux oreilles et donc je n’ai pas entendu le téléphone sonner», a-t-il répondu sur France inter alors que le chef de l’Etat a annoncé sa volonté de nommer un nouveau Premier ministre «dans les tout prochains jours» après la chute de François Bayrou. Interrogé sur l’attitude du PS en cas de nomination d’un Premier ministre macroniste comme Sébastien Lecornu ou Catherine Vautrin, M. Faure a refusé de répondre. «Je ne vais pas rentrer dans un récit qui serait celui de dire ce que je ferais avec tel ou tel. Pour l’instant, nous devons revendiquer le pouvoir et faire en sorte que cette possibilité existe», a-t-il plaidé alors que le groupe socialiste, avec ses 66 députés, occupe un rôle pivot à l’Assemblée nationale. «Aujourd’hui nous voulons le changement. Faire en sorte que les Français qui expriment leur exaspération puissent enfin trouver un débouché politique à travers un changement qui ne peut pas être, de mon point de vue, la continuation de ce qu’on connaît depuis longtemps», a-t-il argumenté. © Agence France-Presse