
Les investisseurs mobilisés avec l’Af2i créent une SICAV de Place investie dans la plateforme boursière Euronext
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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Budget 2026: Yaël Braun-Pivet plaide pour un accord autour de 35 milliards d'économies
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«Fin de la corruption, bonne gouvernance, égalité économique»: au Népal, la nouvelle Première ministre promet d'être au diapason des manifestants
Katmandou - La nouvelle Première ministre du Népal, Sushila Karki, s’est engagée dimanche à répondre aux revendications des manifestants qui réclament «la fin de la corruption», après les émeutes du début de la semaine qui ont poussé son prédécesseur à la démission. «Nous devons travailler en accord avec la pensée de la génération Z» regroupant les personnes nées entre la fin des années 1990 et le début des années 2010, a déclaré Sushila Karki dans ses premières déclarations publiques depuis son entrée en fonction vendredi, après la démission du chef du gouvernement, KP Sharma Oli. «Ce que ce groupe réclame, c’est la fin de la corruption, une bonne gouvernance et l'égalité économique», a exposé l’ancienne présidente de la Cour suprême âgée de 73 ans. Et d’ajouter: «Vous et moi devons être déterminés à atteindre cet objectif». Au moins 72 morts La capitale, Katmandou, a été le théâtre lundi et mardi de violentes manifestations antigouvernementales qui ont fait au moins 72 morts et 191 blessés, selon un nouveau bilan communiqué dimanche par le secrétaire en chef du gouvernement, Eaknarayan Arya, révisant à la hausse un précédent bilan de 51 personnes tuées. Mme Karki a observé une minute de silence dimanche à la mémoire des victimes de ces troubles, les plus graves depuis l’abolition de la monarchie en 2008, suscités par la répression policière de manifestations dont les participants dénonçaient un blocage des réseaux sociaux et la corruption des élites. Elle a ajouté qu’elle et son gouvernement intérimaire «ne (resteraient) pas pas plus de six mois», des élections législatives étant prévues le 5 mars 2026, après la dissolution du Parlement. L’agenda de la première femme chargée de diriger le Népal s’annonce chargé et sa mission difficile, tant sont nombreuses les revendications des jeunes qui ont provoqué le départ du précédent gouvernement. La génération Z, durement frappée par le chômage, avait fait exploser sa colère lundi dans les rues du pays contre un gouvernement jugé corrompu et incapable de répondre à ses besoins. Dimanche, Mme Karki a entamé une série de réunions dans le complexe gouvernemental de Singha Durbar de la capitale, Katmandou, dont plusieurs bâtiments avaient été incendiés lors des manifestations mardi. Son nom a émergé en début de semaine sur les réseaux sociaux, semblant faire l’objet d’un certain consensus parmi les jeunes contestataires pour diriger le gouvernement provisoire. «Pas plus de six mois» Connue pour son indépendance et son franc parler, sa nomination a fait l’objet d’intenses négociations entre le chef de l’armée, Ashok Raj Sigdel, et le président, Ram Chandra Paudel. «La situation dans laquelle je me trouve, je ne l’ai pas souhaitée. Mon nom a émergé dans les rues,» a-t-elle affirmé. «Quelque soit la situation, nous ne resterons pas ici plus de six mois, nous assumerons nos responsabilités et promettrons de transmettre (le pourvoir) au prochain Parlement et aux ministres,» a-t-elle ajouté dans son allocution. Le président Paudel a affirmé samedi soir qu’"une solution pacifique avait été trouvée à l’issue d’un processus difficile». Il qualifié la situation de «très difficile, compliquée et grave» dans ce pays himalayen de 30 millions d’habitants. «Je lance un appel sincère à chacun pour tirer le meilleur parti de cette opportunité (...) pour réussir les élections du 5 mars,» a-t-il déclaré. Les soldats étaient moins présents dimanche dans les rues de la capitale, où ils avaient été déployés en grand nombre après les manifestations. Environ 12.500 détenus, qui ont profité des troubles pour s'évader de leurs prisons, étaient toujours dans la nature dimanche. Des dirigeants asiatiques ont félicité Mme Karki, notamment ceux des deux grands voisins du Népal, l’Inde et la Chine. Paavan MATHEMA © Agence France-Presse