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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Flottille pour Gaza : départ de Tunisie, Greta Thunberg et militants à bord
Bizerte - Après plusieurs reports, la flottille internationale pour Gaza qui transporte de l’aide humanitaire et des militants propalestiniens dont Greta Thunberg, a quitté la Tunisie lundi pour mettre le cap sur le territoire palestinien dans le but d’y «briser le blocus israélien». «La flotte partie de Barcelone est en mer, les bateaux tunisiens appareillent par étapes. Ils convergeront en haute mer pour rejoindre des bateaux partis d’Italie et de Grèce» ces derniers jours, a annoncé dans un communiqué la «Global Sumud Flotilla» («sumud» signifie «résilience» en arabe). Au moins 18 bateaux devant rejoindre l’opération «Sumud» sont partis samedi de Catane dans le sud de l’Italie, accompagnés par un navire de soutien de l’ONG italienne Emergency, selon les organisateurs et des médias italiens. «Nous essayons d’envoyer un message à la population de Gaza, (de lui dire) que le monde ne l’a pas oubliée», a dit à l’AFP la militante écologiste suédoise Greta Thunberg, avant le départ de «Sumud» du port de Bizerte, dans le nord de la Tunisie. «Lorsque nos gouvernements ne prennent pas leurs responsabilités, nous n’avons pas d’autre choix que de prendre les choses en main», a-t-elle ajouté. Une vingtaine de bateaux venus de Barcelone (Espagne) ont pris la mer depuis Bizerte, les derniers étant partis à l’aube lundi, selon un photographe de l’AFP sur place. Les embarcations arrivées d’Espagne s'étaient transférées dans ce port après un séjour mouvementé la semaine dernière à Sidi Bou Saïd, près de Tunis, où deux bateaux avaient été visés par des attaques de drones deux nuit de suite, avaient affirmé les organisateurs, vidéos à l’appui. Les autorités tunisiennes ont dénoncé «une agression préméditée» et dit mener une enquête. L’eurodéputée franco-palestinienne Rima Hassan qui, comme Greta Thunberg, avait été détenue à bord du «Madleen» lors d’une précédente traversée vers Gaza, bloquée par Israël, a dit à l’AFP redouter «bien entendu» de nouvelles attaques, ajoutant: «on se prépare aux différents scénarios». Selon elle, les personnalités les plus en vue - dont l’actrice française Adèle Haenel - ont été réparties entre les deux plus gros bateaux de coordination «de manière à équilibrer et (ne) pas concentrer toutes les personnalités visibles dans un seul et même bateau». Le départ de Tunisie a été repoussé à plusieurs reprises en raison de motifs de sécurité, de retard dans les préparatifs pour certains bateaux et de la météo. Un groupe de voiliers a par ailleurs quitté la Corse vendredi dernier pour participer à une autre opération maritime vers Gaza rattachée à une flottille baptisée Freedom Flotilla Coalition (FFC) qui devrait partir du sud de l’Italie d’ici fin septembre. Lundi, des activistes égyptiens ont également annoncé leur appui à la flottille Sumud. «Nous participerons avec un bateau d’une capacité de 34 personnes offert par un pêcheur», a déclaré à l’AFP Khaled Bassiouni, un coordinateur local. En juin, les autorités avaient refusé à des dizaines de participants d’une «Marche mondiale vers Gaza» l’accès au point de passage de Rafah entre l'Égypte et le territoire assiégé. Elles avaient arrêté plus de 200 militants étrangers et expulsé la plupart d’entre eux. © Agence France-Presse -
Frappes israéliennes au Qatar : Doha accuse Israël d'avoir voulu faire dérailler les négociations sur Gaza
Doha - Les frappes israéliennes ayant ciblé des membres du Hamas au Qatar la semaine dernière visaient à faire dérailler les négociations sur Gaza, a accusé lundi l'émir du Qatar, à l’ouverture d’un sommet exceptionnel des dirigeants arabes et musulmans organisé en réponse à cette attaque sans précédent. Ce sommet conjoint de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) vise à hausser le ton face à Israël, après le bombardement mené à Doha, capitale du pays médiateur dans les négociations en vue d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. «Celui qui œuvre avec persistance et méthodologie à assassiner la partie avec laquelle il négocie, entend faire échouer les négociations (...) les négociations, pour lui, ne sont qu’une partie de la guerre ", a déclaré Cheikh Tamim ben Hamas Al-Thani, dans son discours d’ouverture. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu «rêve que la région arabe devienne une sphère d’influence israélienne. Et c’est une dangereuse illusion», a-t-il poursuivi devant les leaders arabes et musulmans réunis à Doha, parmi lesquels les présidents palestinien, turc, iranien et égyptien ainsi que les Premiers ministres irakien et pakistanais, le roi de Jordanie et le prince héritier saoudien. Le président turc Recep Tayyeb Erdogan a de son côté accusé le gouvernement israélien de vouloir «poursuivre les massacres et le génocide en Palestine tout en déstabilisant la région». Selon le projet de déclaration finale consulté par l’AFP, la cinquantaine de pays représentés devraient dénoncer l’attaque israélienne en soulignant qu’elle mettait en péril les efforts de normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Israël et les États-Unis, son principal allié, cherchent à étendre les accords d’Abraham qui ont vu les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Maroc, reconnaître Israël en 2020. - «Pas que des discours» - L’attaque israélienne et «la poursuite des pratiques agressives d’Israël, notamment les crimes de génocide, le nettoyage ethnique, la famine et le blocus, ainsi que les activités de colonisation et d’expansion minent les perspectives de paix et de coexistence pacifique dans la région», affirme le texte. Elles «menacent tout ce qui a été accompli sur la voie de l'établissement de relations normales avec Israël, y compris les accords existants et futurs», ajoute-il. Le projet souligne également «le concept de sécurité collective (...) et la nécessité de s’aligner pour faire face aux défis et menaces communs». Avant l’ouverture du sommet, le président iranien Massoud Pezeshkian a exhorté les pays musulmans à rompre «leurs liens avec ce régime factice», en référence à Israël. L’attaque israélienne, qui a tué cinq membres du Hamas et un membre des forces de sécurité qataries, a suscité une vague de condamnations dans la communauté internationale, notamment des riches monarchies du Golfe, alliées de Washington. Ainsi qu’une rare réprobation des Etats-Unis, allié numéro un d’Israël mais également un proche allié du Qatar. Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio est en ce moment en visite à Jérusalem - un voyage prévu avant les frappes sur le Qatar -, pour montrer son soutien à Israël avant la reconnaissance prochaine par plusieurs pays occidentaux d’un Etat palestinien, lors de l’Assemblée générale de l’ONU à la fin du mois. Marco Rubio, qui se rendra mardi au Qatar selon un responsable américain, a déclaré devant la presse à Jérusalem lundi que son pays continuerait à soutenir le «rôle constructif» du Qatar dans la médiation à Gaza. «Beaucoup de gens attendent des actes, pas que des discours. Nous avons épuisé toutes les formes de rhétorique. Il faut désormais passer à l’action», a commenté le chercheur saoudien Aziz Alghashian au sujet du sommet. Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a également annoncé une réunion en urgence ce mardi pour débattre des frappes israéliennes au Qatar. Un sommet exceptionnel du Conseil de coopération du Golfe est également prévu lundi à Doha, selon l’agence de presse saoudienne SPA. Ali CHOUKEIR © Agence France-Presse