
Global X Management lance deux ETF sur la Chine
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Vidéo polémique contre Rachida Dati : Thomas Legrand renonce à son émission sur France Inter
Paris - Critiqué par de nombreux responsables politiques pour des propos litigieux sur Rachida Dati tenus à des dirigeants du Parti socialiste, le journaliste Thomas Legrand a renoncé mardi à son émission hebdomadaire sur France Inter, mais continuera d’intervenir à l’antenne. «J’ai annoncé ce matin à la direction de France Inter qu’il m’est désormais impossible d’assurer sereinement le débat hebdomadaire prévu dans la nouvelle grille» le dimanche matin, mais «France Inter est ma radio», a indiqué sur le réseau social X le journaliste, qui avait été filmé à son insu avec des cadres du PS. «Il continuera à intervenir à l’antenne comme éditorialiste de Libération et sous d’autres formes adaptées dont nous discutons avec lui», a assuré de son côté la direction de France Inter, qui l’avait suspendu à titre provisoire aussitôt après la révélation des images. Dans cette vidéo diffusée vendredi par le média conservateur L’Incorrect et filmée en juillet dans un restaurant parisien, Thomas Legrand et Patrick Cohen, journaliste qui intervient également sur France Inter, échangent avec Pierre Jouvet et Luc Broussy, respectivement secrétaire général et président du conseil national du PS. Au cours de cette discussion, où est aussi évoquée la stratégie de la gauche en vue de la présidentielle de 2027, M. Legrand, qui travaille pour France Inter et Libération, déclare notamment «Nous, on fait ce qu’il faut pour (Rachida) Dati, Patrick (Cohen) et moi», ce qui a pu être interprété comme un parti pris à l’encontre de la ministre sortante de la Culture. Dans un message publié sur X vendredi soir, Mme Dati, investie comme candidate des Républicains à la mairie de Paris, a demandé que des mesures soient prises envers les deux chroniqueurs, dénonçant des «propos graves et contraires à la déontologie». «Complot», «infiltration», «mafia": très rapidement, les critiques ont fusé envers les deux journalistes, aussi bien du côté des Républicains, que du Rassemblement national et de La France insoumise. «Attachement» au service public «Je tiens des propos maladroits» mais «j’assume de m’occuper journalistiquement des mensonges de Madame Dati», a justifié samedi M. Legrand. «On a pris des bouts de phrase» et «c’est complètement manipulatoire», a de son côté réagi auprès de l’AFP Patrick Cohen, présent sur France Inter et dans l'émission «C à Vous» (France 5). Les deux journalistes ont annoncé leur intention de porter plainte. Le PS s’est lui défendu en assurant qu’"aucune collusion n’existe entre le Parti socialiste et les journalistes quels qu’ils soient». De son côté, le député et vice-président du RN Sébastien Chenu a indiqué avoir saisi la procureure de Paris, courrier à l’appui, de faits qu’il a qualifiés de «manquements graves à la neutralité du service public» pouvant selon lui relever de la «prise illégale d’intérêt» et du «trafic d’influence». Mardi, la direction de France Inter a estimé que le retrait de M. Legrand de sa nouvelle émission dominicale, qu’il avait animée une seule fois, traduisait «son profond attachement au service public et son souhait de protéger le travail des journalistes de la rédaction». Il n’aura plus de rendez-vous propre à l’antenne cette saison mais les auditeurs pourront l’entendre dans des débats notamment, au même titre que d’autres éditorialistes de divers médias. Camille KAUFFMANN © Agence France-Presse -
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Automobile : l'Allemagne demande plus de "flexibilité" sur l'interdiction européenne des ventes de voitures thermiques en 2035
Munich - Le chancelier allemand Friedrich Merz a réclamé mardi plus de «flexibilité» dans la réglementation européenne qui prévoit une interdiction des ventes de voitures thermiques après 2035, un calendrier décrié par l’industrie automobile, secteur-clé plongé dans la crise. «Nous tenons bien sûr fondamentalement à la transition vers la mobilité électrique», mais «il nous faut une réglementation européenne intelligente, fiable et souple», a déclaré le chancelier, en inaugurant le salon international de l’automobile à Munich. Lors de son tour du salon le faisant passer par le stand de l'équipementier allemand Mahle, il a insisté : «ce que nous devons fixer comme objectif, c’est la neutralité climatique. Mais c’est à vos ingénieurs et ingénieures de trouver le moyen d’y parvenir». Le message résonne auprès des géants allemands BMW, Mercedes et Volkswagen, qui remettent ouvertement en cause l’objectif de 2035 fixé par Bruxelles. Devant le chancelier, Arnd Franz, PDG de Mahle, a exhorté Bruxelles à «laisser de la liberté aux idées et à la concurrence des technologies». M. Merz a confirmé ses réserves sur le choix d’une seule technologie pour mener à bien la transition climatique. Celle-ci doit se produire, selon lui, de la manière la plus rentable possible en restant flexible sur les technologies. Le secteur de l’auto mise sur l'électrique, mais estime que le virage, en termes de ventes de modèles neufs en Europe, est trop lent pour atteindre pleinement le cap fixé d’ici 10 ans. Concurrence chinoise Plus de 150 entreprises - constructeurs de véhicules électriques, fabricants de batteries ou opérateurs de recharge - voient les choses différemment, exhortant lundi la présidente de la Commission européenne à «ne pas reculer». Au sein de la coalition au pouvoir à Berlin, le parti social-démocrate (SPD) a mis en garde mardi contre un recul sur les objectifs climatiques. «Remettre en question la sortie des moteurs thermiques met en danger la compétitivité à long terme et déstabilise notre économie», a déclaré Armand Zorn, vice-président du groupe SPD au Bundestag. Les constructeurs européens rencontreront vendredi Ursula von der Leyen à Bruxelles pour discuter de l’avenir du secteur face aux défis de l'électrification, de la concurrence et des tensions commerciales. Jan Vlasak, 35 ans, qui travaille chez un constructeur allemand dont il ne veut pas dire le nom, dit espérer que l’UE cèdera. «Je pense que (la date de 2035) devrait être revue, repoussée de cinq ou dix ans, ce serait bien», confie-t-il à l’AFP, dans les couloirs du salon. L'économie européenne est «dans une impasse», contrairement à la Chine, maîtresse dans l’art du véhicule électrique à coût raisonnable, abonde Markus Sigmund, employé chez un grand fournisseur. Le salon de Munich accueille une centaine d’exposants chinois sur environ 700, soit 40% de plus qu’en 2023. Mais M. Merz n’en a visité aucun pendant son passage. «Misérable» Allemagne Alors que le géant chinois BYD a présenté sa compacte Dolphin Surf à 20.000 euros, produite dès 2025 en Hongrie pour contourner les droits de douane, Volkswagen a répliqué avec trois marques (VW, Cupra, Škoda) et des modèles d’entrée de gamme à 25.000 euros, qui seront lancés en 2026. L’objectif ? Capter environ 20% du segment des petites voitures électriques en Europe, soit plusieurs centaines de milliers de véhicules par an. Un absent de marque à Munich: l’Américain Tesla, présent il y a deux ans, et dont les ventes européennes, grevées par le soutien d’Elon Musk à l’extrême droite du Vieux Continent, ont chuté de 43% au premier semestre. M. Merz a rappelé la tenue d’une prochaine «concertation» sur l’avenir de l’industrie automobile allemande, impliquant régions et syndicats, alors que le secteur a perdu plus de 50.000 emplois en un an sur un total d’environ 800.000, selon EY. Volkswagen va se séparer de 35.000 employés d’ici 2030 et arrêter la production dans deux usines allemandes, quand Porsche, Audi et des centaines de sous-traitants dégraissent également leurs effectifs. «La situation est misérable pour l'économie allemande», résume Ferdinand Dudenhöffer, expert du secteur. Louis VAN BOXEL-WOOLF © Agence France-Presse