Nos articles d’actualité et d’analyse sur les évolutions des différents marchés de matières premières (blé, maïs, gaz, charbon, cuivre, fer, terres rares etc.) et sur les principaux acteurs internationaux du secteur.
Leur projet de fusion aboutira à une capitalisation boursière de 53 milliards de dollars pour le nouvel ensemble. Le bouclage de l’opération pourrait prendre jusqu’à 18 mois.
Le nouvel ensemble affichera une capitalisation boursière supérieure à 50 milliards de dollars et Anglo American anticipe des synergies de coûts et des gains d'efficacité totalisant 800 millions de dollars d'ici quatre ans.
Porté par la récente envolée du cacao, le spécialiste bordelais des matières premières agricoles négocie sa cession à Hartree Partners, un spécialiste du négoce de matières premières détenu par la société d'investissement Oaktree Capital.
La faiblesse des cours du minerai de fer pèse sur les comptes du premier groupe minier mondial. Le groupe anglo-australien entend relancer sa politique d’acquisitions.
Les cours du gaz naturel ont atteint un plus bas de 13 mois avant les réunions qui se tiendront à Washington ce lundi sur l’avenir du conflit russo-ukrainien. Un accord de paix, hypothétique, pourrait permettre un nouvel afflux de gaz sur le marché.
Le dernier classement mensuel dressé par Six des véhicules de droit français montre leur surperformance dans un contexte de forte volatilité de certains sous-jacents. Si certaines stratégies performent à court terme, ces dernières ne sont pas toujours les plus rémunératrices depuis le début de l’année.
Le cartel pétrolier, qui est en train de mettre fin à sa politique de quotas, minimise le choc sur l’équilibre entre l’offre et la demande. L’Agence internationale de l’énergie accroît, elle, son anticipation de barils surnuméraires pour 2025.
Les nouvelles mesures prévoient que les «tariffs» ne s’appliqueront qu’à la part de cuivre correspondant aux produits semi-finis. Un moindre intérêt pour le minerai et le métal raffiné déjà importés en anticipation de ces taxes a annulé les différences de cours entre les contrats à terme sur le Comex américain et le LME londonien.
L’annonce de droits de douane de 50% sur le cuivre a fait flamber le métal à New York. Les arbitrages de marché liés aux anticipations de hausse des prix, qui avaient disloqué les cours de part et d'autre de l'Atlantique, ne sont plus possibles.
Le cours du métal rouge s'envole sur le marché américain alors qu'il recule à Londres dans la perspective de la mise en place de taxes commerciales nettement plus élevées qu'anticipé.
Les matières premières et l’énergie affichent une légère progression après un début d’année encore volatil. Mais les écarts sont importants entre l’or, qui brille, et le pétrole, qui continue de sombrer.
Le métal précieux a atteint un record de 3.500 dollars l’once en pleine dispute commerciale. Il plafonne mais se maintient au plus haut. Ses perspectives restent intactes compte tenu des incertitudes macroéconomiques, de la méfiance vis-à-vis du dollar et des risques géopolitiques.
Entre hausse de production, chute du dollar et rééquilibrage des flux commerciaux, il n’est pas sûr que les produits agricoles souffrent énormément des tarifs douaniers réciproques imposés par les Etats-Unis et la Chine.
Le groupe anglo-australien a accepté de verser près de 139 millions de dollars pour clore des poursuites liées à l’exploitation de la mine de cuivre et d’or d’Oyu Tolgoï en Mongolie.
Le coton est concurrencé par les fibres synthétiques tandis que la Chine, dont les stocks sont élevés, a réduit ses achats. Les facteurs de soutien temporaires ne suffiront pas à inverser la tendance de long terme.
Le groupe minier français devra remédier à l’interdiction d’exporter du manganèse brut du Gabon à partir de 2029. Ce minerai est indispensable à la production d’acier.