Le retour des levées de fonds et la progression de la rentabilité rassurent, de même que la capacité d’adaptation du secteur, mais l’environnement économique reste chahuté.
Offrir aux entreprises de la finance une infrastructure pour structurer leurs propres produits financiers à base de cryptoactifs, c’est l’objectif de cette fintech qui propose deux nouvelles activités : le conseil et la gestion pour compte de tiers.
SG Forge et la Banque de France ont mené à bien une opération de repo sur blockchain. Plusieurs expérimentations sur les technologies de registre distribué ont également été conduites dans le cadre de l’Eurosystème. Les bénéfices attendus de ces technologies sont importants pour les banques.
BoursoFirst, la nouvelle offre payante, vise à (re)conquérir les clients haut de gamme avec des produits exclusifs et une équipe de conseillers experts.
La Société Générale a cédé sa néobanque pour les pros à cet acteur danois qui souhaite développer une offre intégrée de gestion financière pour les petites entreprises.
Les fraudeurs accèdent plus facilement à des outils sophistiqués à base d'IA permettant d’usurper les identités. Par ailleurs, les passeports français sont parmi les documents d’identité les plus fraudés.
L’assurtech innove à la fois dans les produits d’assurance et dans leur mode de distribution, permettant à des milliers de marchands de fidéliser une nouvelle clientèle.
Ce courtier d’un nouveau genre s’est lancé en septembre dans l’accompagnement des marchands qui cherchent le bon partenaire pour gérer leurs encaissements.
Disponible depuis quatre ans au Royaume-Uni, le service a déjà financé 100 millions d’euros et s’ouvre désormais aux commerçants français, allemands, irlandais et hollandais.
Aussi intéressante soit-elle, cette nouvelle technologie est porteuse de risques, mais elle contribue aussi à apporter des solutions aux équipes en charge de la cyber.
La fintech, qui a bâti une solution facile à utiliser pour couvrir les risques de change, accueille Ferrero et Adeo, et discute avec d’autres grands groupes.
La Banque centrale européenne vient de publier un deuxième rapport d’étape sur ses travaux menés en 2024 concernant plusieurs aspects pratiques de la future monnaie numérique.
Ensemble, les deux plateformes de financement participatif comptent renforcer leurs positions et développer de nouveaux services sur un métier en plein renouveau.
La Fédération des Tiers de Confiance du Numérique a proposé la création d’un label destiné à évaluer et garantir la fiabilité des solutions numériques des entreprises et de leurs fournisseurs.
Transformer ses euros en Potos, les donner à des associations sélectionnées sur une marketplace et pouvoir suivre ses dons, c’est la proposition de cette fintech à impact social.
Le prestataire de cloud souverain franco-français a bien avancé dans sa construction et va pouvoir offrir ses premiers services d’infrastructure et de plateforme d’ici à quelques semaines.
Green Got a levé 5 millions d’euros auprès de ses clients en moins de trois heures afin de mettre en place ses propres infrastructures technologiques et d’obtenir un agrément d’établissement de paiement.
La banque s'est associée pour la deuxième fois au start-up studio 321 pour créer Mucho. Cette nouvelle fintech dédiée aux avantages salariés prévoit de distribuer également de l’assurance, ainsi que l’épargne retraite de BNP Paribas.
Libérée des contraintes de la Bafin, la néobanque allemande voit sa croissance repartir à un rythme soutenu et prévoit de lancer une offre pour les entreprises.
La plateforme américaine d’échanges de cryptomonnaies était déjà présente dans une vingtaine de pays de la zone euro. Elle cible aussi bien les particuliers que les institutionnels.
L’essor de la tokénisation ne sera pas une révolution de la monnaie, mais de l’organisation du système financier, estime Vivien Levy-Garboua. Pour ne pas virer au cauchemar, des conditions sont requises.
L’initiative s’inscrit dans la feuille de route du G20 pour faciliter les paiements internationaux et vise également à renforcer l’autonomie européenne.
La société de gestion du Crédit Agricole débourse 149 millions d'euros pour s'offrir la fintech allemande qui fournit des services technologiques aux distributeurs de produits d'épargne.