
Le cash-back au service des commerçants de proximité

Jérôme Gueydan, vice-président marketing, American Express France
La fleuriste qui nous a recommandé le meilleur bouquet pour la fête des mères, le serveur du bistrot qui s’est rappelé notre façon de prendre notre café, le barbier qui connaît la longueur de notre barbe, le restaurateur qui s’est attaché à ce que nous continuions à vivre des moments de convivialité… La pandémie a montré à quel point les commerces de proximité étaient essentiels par les produits et services utiles qu’ils proposent, mais aussi par la place centrale qu’ils occupent dans la vie d’un quartier ou d’une ville. Les Français ne s’y trompent pas : selon une enquête que nous avons menée chez American Express, 91 % d’entre eux estiment que les commerces de proximité jouent un rôle important pour la création de lien social.
Après des mois de confinement et de télétravail, ils se sont d’ailleurs retrouvés dans leurs commerces de proximité. De fait, les habitudes de consommation des Français ont changé. S’ils ont utilisé les outils digitaux pendant le confinement, c’était pour soutenir leurs commerces de proximité qui leur ont manqué à 89 %. Et ils ne comptent pas s’arrêter là puisque 8 Français sur 10 entendent continuer à se rendre chez leurs commerçants de quartier et 1 sur 6 prévoit même de s’y rendre plus souvent qu’auparavant et à dépenser plus.
C’est une bonne nouvelle car si les aides de l’Etat leur ont permis de traverser une crise sans précédent, c’est par la consommation que l’on relancera l’activité des commerces de proximité. Chez American Express, nous sommes convaincus que pour cela, citoyens, pouvoirs publics et entreprises de services financiers doivent agir de concert. Et nul besoin d’inventer de nouvelles solutions : l’essor du cash-back, par exemple, permet de stimuler les dépenses. Le principe ? 5 euros remboursés dès 20 euros dépensés. C’est le sens de l’opération Shop Small que nous venons de lancer pour la deuxième année consécutive. A nous, acteurs de paiement au cœur de la relation entre les commerces et les consommateurs, d’orienter ces offres pour qu’elles participent pleinement à la relance économique.
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