
L’Espagne inflige une amende supplémentaire de 56,7 millions d’euros à Glovo
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Iroko dévoile les contours de sa nouvelle SCPI
La société de gestion a officialisé le lancement d’Iroko Atlas, précommercialisée auprès des CGP depuis la rentrée. Elle reprend la stratégie d’Iroko Zen à ceci près qu’elle n’investira pas en France. -
Finary finalise sa série B
La fintech spécialisée dans la gestion de patrimoine lève 25 millions d'euros avec de nouveaux entrants comme l'américain Paypal Ventures et les britanniques Localglobe et Hedosophia aux côtés des historiques. L'objectif est d'atteindre 5 milliards d'euros d'encours d'ici trois ans. -
Quand Donald Trump sape le pouvoir des actionnaires
Résultats trimestriels, vote en assemblée générale, contrôles du gendarme boursier: au nom de l'efficacité, Washington mine le pouvoir des investisseurs au profit des entreprises cotées et de leurs dirigeants. Au risque de saper l'un des fondements de Wall Street.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
Les plus lus
- Le patron de la Société Générale prend la menace Revolut au sérieux
- L’AMF sanctionne Altaroc et ses deux dirigeants à hauteur de 1,3 million d’euros
- Le Crédit Agricole revendique une place dans l’accès aux soins et les services aux plus âgés
- BNP Paribas confirme ses objectifs 2025 et dévoile des ambitions pour 2028
- Fitch abaisse la note de la France
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
«Une remise en ordre profonde de nos finances publiques»: Eric Ciotti propose un contre-budget de 120 milliards d’économies à Lecornu
Paris - Le patron de l’Union des droites pour la République (UDR) Eric Ciotti, allié du RN, propose au Premier ministre Sébastien Lecornu un contre-budget qui prévoit 120 milliards d'économies à réaliser sur l’immigration, la politique sociale ou encore la contribution de la France au budget de l’UE. Ce contre-budget «vise à réaliser 120 milliards d’euros d’économies structurelles, non par une hausse des impôts mais par une remise en ordre profonde de nos finances publiques», écrit le député des Alpes-Maritimes dans un courrier adressé au chef du gouvernement dont l’AFP a obtenu une copie, avant leur rencontre prévue jeudi à midi à Matignon dans le cadre des entretiens menés par Sébastien Lecornu. Eric Ciotti, qui ne cache pas sa sympathie pour le président ultralibéral argentin Javier Milei élu en promettant de couper dans la dépense publique à la tronçonneuse, propose d’effectuer ainsi des économies près de trois fois supérieures à celle de 44 milliards prévues dans le budget de l’ex-Premier ministre François Bayrou, que l’Assemblée a fait tomber le 8 septembre. Pour y parvenir, il veut «mettre fin aux abus liés à l’immigration», transformer l’aide médicale d’Etat (AME) «en dispositif d’urgence strictement limité», réduire la contribution française au budget européen et l’aide au développement, «réformer en profondeur nos politiques sociales» ou encore moderniser l’assurance chômage et la formation professionnelle. Eric Ciotti, qui se présente aux municipales à Nice en mars, fixe des «lignes rouges claires et non négociables» pour le budget, citant notamment son exigence qu’il n’y ait aucune augmentation des prélèvements obligatoires, ni désindexation des retraites ou diminution de la prise en charge des soins et des médicaments. © Agence France-Presse -
Tribune libre
Transparence salariale : l'Europe face au défi de ses valeurs – par Marie Bouny
Au moment même où Washington abandonne les politiques d'égalité, le dilemme européen est clair : construire une société plus juste sans fragiliser sa compétitivité économique -
Le CAC 40 en hausse après la baisse des taux de la Fed
Paris - La Bourse de Paris gagne du terrain jeudi après la baisse des taux directeurs de la Réserve fédérale américaine (Fed), largement anticipée, dopant l’appétit pour le risque des investisseurs. Vers 10H00 heure de Paris, l’indice vedette CAC 40 prenait 67,08 points, soit 0,86%, à 7.854,06 points. Mercredi, la Bourse de Paris a terminé en recul de 0,40%. La Réserve fédérale américaine (Fed) a sans surprise abaissé mercredi ses taux d’intérêt, pour la première fois de l’année, d’un quart de point de pourcentage. Les taux sont désormais compris entre 4% et 4,25%, à un niveau toujours plus haut que ce que souhaite le président américain. «Ce qui a toutefois été plus surprenant, c’est le caractère quasi unanime de cette décision», note Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN AMRO Investment Solutions. Seul le gouverneur récemment nommé par Trump, Stephen Miran, s’est prononcé en faveur d’une baisse plus franche, d’un demi-point de pourcentage. Le patron de la Fed Jerome Powell «s’est montré plutôt confiant dans sa lutte contre l’inflation à ce stade, soulignant en particulier que les droits de douane n’auraient qu’un effet ponctuel sur les prix», poursuit M. Boucher. «Cela dit, il s’est également montré prudent, notant que les risques d’inflation restent orientés à la hausse, mais que la balance des risques penche désormais davantage vers le marché du travail.» Les investisseurs sont aussi très attentifs à l’actualisation des anticipations de court et moyen terme des membres de la Fed en matière d'évolution des taux, aussi appelée «dot plot». La projection actuelle «suggère que Trump n’obtiendra pas les fortes baisses qu’il réclame - la Fed ne cède pas à la pression politique», commente Ipek Ozkardeskaya, de Swissquote Bank. «La séance d’aujourd’hui sera clé pour évaluer si l’appétit pour le risque se maintient», note-t-elle. Gucci change de tête Le groupe français de luxe Kering restait quasiment stable vers 10H00 heure de Paris (+0,19%), à 267,45 euros. Il a annoncé mercredi la nomination de sa directrice générale adjointe Francesca Bellettini au poste de PDG de sa marque phare Gucci, dans la foulée de la prise de fonction du nouveau directeur général de Kering, Luca de Meo. Euronext CAC40 © Agence France-Presse