
Les mises en chantier reculent aux Etats-Unis
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«Un martyr»: la droite américaine fait ses adieux à Charlie Kirk, entre hommage religieux et mobilisation politique
Glendale - Prières, hommages à «Dieu tout puissant» et appels à «manier l'épée contre le mal": pour ses adieux à Charlie Kirk, assassiné le 10 septembre, la droite américaine a célébré la mémoire de l’influenceur pro-Trump avec des sommets de ferveur religieuse. Près de 65.000 personnes ont rempli le stade prévu pour la cérémonie à Glendale, en Arizona (sud-ouest), où le président américain a été accueilli aux rugissements de «USA! USA! USA!». «C’est un martyr», mort «pour la liberté américaine», a lancé le milliardaire républicain, face à la foule habillée aux couleurs du drapeau américain, qui a fréquemment repris en chœur les morceaux de rock chrétien rythmant la cérémonie. Après avoir conduit plus de douze heures depuis le Texas, Monica Mirelez acquiesce de tout son être. «Je le vois comme un martyr du Christ», confie à l’AFP cette infirmière de 44 ans qui regardait quotidiennement les vidéos du militant sur Instagram. Tué d’une balle dans le cou sur un campus universitaire, Charlie Kirk prêchait la parole conservatrice auprès de la jeunesse, avec son podcast quotidien et son association Turning Point USA. Ce télévangéliste du trumpisme était pour elle «le parfait exemple de ce que nous devrions faire en tant que Chrétiens, être audacieux et faire entendre notre voix.» «C’est tellement triste qu’il ait été réduit au silence», se désole-t-elle. «C’est comme perdre un frère.» «Principes bibliques» Ses discours passionnés, anti-avortement et anti-immigration, ont séduit cette Américaine pieuse, d’origine mexicaine. «Il défendait les principes bibliques, contre la communauté LGBTQ», apprécie-t-elle. «Cela lui a valu beaucoup de haine, mais je crois qu’il a été incompris.» «Je pense qu’il essayait de répandre la vérité et l’amour», estime-t-elle, en oubliant que M. Kirk a largement contribué à la désinformation pour tenter de faire croire que l'élection présidentielle de 2020 avait été volée à Donald Trump. «Quoi qu’il ait dit, il ne méritait pas d'être tué pour avoir exprimé son opinion et ses croyances», souffle Nick Chisholm. Le lycéen de 15 ans est encore choqué par les réactions de certains camarades de classe, lorsqu’ils ont découvert la vidéo du meurtre de ce père de famille, qui laisse derrière lui une veuve et deux enfants. «Ils ont ri, ils ont dit qu’il l’avait mérité», raconte-t-il, sous sa casquette camouflage «Trump 2024". «J’ai vraiment perdu tout respect pour ces gens.» «Vous n’avez aucune idée du dragon que vous avez réveillé. Vous n’avez aucune idée à quel point nous serons déterminés à sauver cette civilisation, à sauver l’Occident», a lancé à la tribune Stephen Miller, proche conseiller de Donald Trump à la Maison Blanche. «Tous Charlie Kirk» Un discours qui résonne dans les allées, où les volontaires du Parti républicain proposent de s’inscrire sur les listes électorales. «Le tireur a été influencé par le Parti démocrate, ce sont eux qui ont vraiment poussé à mélanger les genres, à dire qu’il n’y a pas d’hommes, pas de femmes», juge Wesley Inglis. A 61 ans, cet ingénieur mécanique californien reste nostalgique de son enfance, «lorsque les églises étaient pleines». Il voit d’un bon œil les projets du vice-président JD Vance, qui a suggéré cette semaine de supprimer les avantages fiscaux accordés à certaines associations de gauche. «Nous ne pouvons pas simplement réprimer l’opposition, il faudrait des preuves» qu’elles ont financé la mouvance antifasciste, insiste-t-il. Au milieu de cette ferveur, Jeremy Schlotman préfère rester prudent. Ce catholique de 21 ans, qui accorde son pardon à l’assassin -- comme l’a fait à la tribune Erika Kirk, la veuve -- et vient de rejoindre Turning Point USA, souhaite simplement se battre sur le terrain des idées. «Je pense que c’est la meilleure réponse», confie cet étudiant en biologie. «Tuez-en un, et mille autres se lèveront. C’est ce qui se passe, le tireur vient de créer une génération de nouveaux Charlie. Nous sommes tous Charlie Kirk maintenant.» Romain FONSEGRIVES © Agence France-Presse -
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