
Le gouvernement détaille son geste fiscal en faveur des entreprises en 2017
Les PME bénéficieront d’un taux d’IS de 28% jusqu’à 75.000 euros de bénéfices alors que le taux du CICE passera à 7%.
Bastien Bouchaud
Un évènement L’AGEFI
HORIZON PATRIMOINE
Plus d'articles du même thème
-
La réforme impossible des droits de succession
En France, toucher à l’héritage relève presque du sacrilège. Pourtant, la pression budgétaire et la dimension régressive de la fiscalité appliquée imposent un débat devenu inévitable. -
Le Pacte Dutreil constitue un outil clé de la transmission des sociétés opérationnelles
Créé pour faciliter la transmission des entreprises familiales, le pacte Dutreil offre un puissant allègement fiscal, rappelle Céline Gagnaire, Family Officer chez Herest. Mais derrière ses avantages, ce dispositif stratégique reste encadré par des règles complexes et fait l’objet d’un débat croissant sur son coût et son équité. -
La Banque de France se prononce en faveur de mesures anti-optimisation sur les hauts patrimoines
François Villeroy de Galhau veut serrer la vis sur l’optimisation des hauts patrimoines, au nom de l’équité fiscale.
ETF à la Une

Invesco casse les frais de gestion sur son ETP Bitcoin
Le gestionnaire réduit les frais de gestion annuels de ce produit à 0,10 % contre 0,25 %, et cela jusqu’à la fin de l’année 2026.
Les plus lus
- Le patron de la Société Générale prend la menace Revolut au sérieux
- L’AMF sanctionne Altaroc et ses deux dirigeants à hauteur de 1,3 million d’euros
- BNP Paribas confirme ses objectifs 2025 et dévoile des ambitions pour 2028
- Le Crédit Agricole revendique une place dans l’accès aux soins et les services aux plus âgés
- Rubis confirme avoir engagé des discussions avec des acteurs industriels et financiers
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Reconnaissance de la Palestine, sanctions : l'Allemagne soucieuse de ne pas brusquer Israël
Berlin ne rejoindra pas le groupe d'Etats occidentaux qui, dans le sillage de la France, doit officiellement reconnaître un Etat de Palestine -
Accord UE-Mercosur : Marine Tondelier demande des engagements à Sébastien Lecornu
Paris - La cheffe des Ecologistes Marine Tondelier a demandé dimanche au Premier ministre Sébastien Lecornu de mettre dans la balance de ses tractations avec les partis politiques un engagement contre l’accord de libre-échange entre des pays du Mercosur et l’Union européenne. «Je vais être d’accord avec la FNSEA», n’a pas manqué de souligner la cheffe du parti écologiste à l’antenne de LCI. "Ça fait des décennies que nous on défend les agriculteurs dans ce pays contre les traités de libre échange». Interrogée sur les sujets sur lesquels elle attendait des réponses du chef du gouvernement, engagé dans des tractations avec les forces politiques pour éviter une censure lors de la séquence budgétaire automnale, Mme Tondelier a notamment cité la fiscalité des plus aisés, la réforme des retraites, et le Mercosur. «Monsieur Macron, il y a quelques mois, était prêt à s’allonger sur les rails, disait-il, pour faire dérailler le Mercosur (...) Résultat, ils se sont couchés comme jamais, ils se sont couchés et ce traité est en train de passer, inquiétant fortement les agriculteurs», a-t-elle critiqué, demandant des «réponses» de l’exécutif. Bruxelles a lancé le processus de ratification de cet accord, qui doit permettre à l’UE d’exporter davantage de voitures, machines ou vins en Argentine, au Brésil, en Uruguay et au Paraguay. En retour, le traité facilitera l’entrée de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains. Début septembre la France, qui menait l’opposition au sein des 27 contre cet accord, avait salué des garanties apportées par Bruxelles, sous forme notamment de clauses de sauvegarde renforcées, mais avait ajouté avoir encore «besoin de (les) analyser». «L’Union européenne, c’est nous», a insisté dimanche Marine Tondelier. «Si la France décide de s’opposer fortement, de monter au cocotier et d’en faire un point dur, alors nous entraînons des pays derrière nous parce qu’on n’est pas les seuls à avoir des agriculteurs», a-t-elle argué. Si la France voulait s’opposer à l’accord, elle ne pourrait pas le faire seule. Il lui faudrait réunir une «minorité de blocage», soit au moins quatre Etats représentant plus de 35% de la population de l’Union européenne. © Agence France-Presse -
Transition
Pour Donald Trump, l'heure est à la coexistence avec la Chine plutôt qu'au bras de fer
La conversation téléphonique entre le président américain et son homologue chinois, le 19 septembre, souligne une inflexion de la politique chinoise des Etats-Unis