La présidence américaine à la tête de la Banque mondiale contestée

La règle tacite réservant aux Etats-Unis la présidence de la Banque mondiale est remise en cause par l’Angola, le Nigeria et l’Afrique du Sud qui appuient la candidature de la ministre nigériane des Finances, Ngozi Okonjo-Iweala, une économiste et diplomate respectée, pour succéder à l’Américain Robert Zoellick, qui quittera ses fonctions en juin. Washington doit désigner ce vendredi son candidat, qui restera le favori pour le poste en dépit de l’initiative africaine.

Un évènement L’AGEFI

Plus d'articles Economie & Marchés

Contenu de nos partenaires

Les plus lus de
A lire sur ...