
La livre poursuit sa baisse dans la crainte d’un «Brexit dur»
La livre a reculé lundi à son plus bas niveau depuis 32 ans, hormis l'épisode du « flash crash » d’octobre, dans la crainte de voir la Première ministre britannique Theresa May opter mardi pour un divorce sans compromission avec l’Union européenne. La devise britannique a reculé jusqu'à 1,1983 dollar en Asie. Elle est ensuite remontée pour se traiter autour de 1,20 dollar en début d’après-midi en Europe, en baisse de plus de 1%. L’euro de son côté a pris jusqu'à 1,5% face à la livre, à un plus haut de deux mois de 88,53 pence, avant de refluer vers 87,75 (+0,7%).
Un évènement L’AGEFI
LES CERCLES DE L'AGEFI AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
Plus d'articles Changes
-
Le dollar répète sa performance de 2022
Les mouvements sur la devise américaine ont été de nouveau dictés par les anticipations de hausses de taux de la Fed, mi-février. -
«Le différentiel sur les taux 2 ans ‘forward’ joue en faveur du dollar à court terme»
Thierry Million, directeur de la gestion obligataire institutionnelle chez Allianz GI -
«Le peso mexicain est bien placé pour bénéficier de la vigueur de l’économie américaine»
Kevin Thozet, membre du comité d’investissement de Carmignac
Contenu de nos partenaires
Les plus lus de
- La Société Générale présente sa nouvelle direction autour de Slawomir Krupa
- Credit Suisse entraîne le secteur bancaire européen dans sa chute
- Les actions chutent avec les banques américaines
- L’électrochoc SVB met la finance sous tension
- Credit Suisse, trois ans de descente aux enfers
- Les gérants prennent la mesure de la persistance de l’inflation
- Silicon Valley Bank : la chute éclair de la banque des start-up
- Slawomir Krupa sort la Société Générale du brouillard
- Chute de SVB : les Etats-Unis garantissent les dépôts et HSBC rachète les actifs anglais
-
Code pénal
Gilets jaunes: les délinquants, les criminels et leurs complices
Black bloc ou « simple manifestant », agissant à froid ou emporté par l’excitation collective, peu importe : les faits commis sur les Champs-Élysées relèvent du Code pénal. Taguer ou détruire du mobilier urbain fait de vous un délinquant. Voler des marchandises après avoir cassé une vitrine fait de vous un délinquant. Caillasser un fourgon de police ou tabasser un gendarme à terre fait de vous un délinquant. Mettre le feu à un kiosque ou un restaurant fait de vous un délinquant. Incendier une banque fait de vous un délinquant – et même un criminel, si les flammes ont été allumées sans se préoccuper de savoir si l’immeuble était vide de ses occupants. -
Exaspération
«Les Gilets jaunes mettent l’économie à genou»
« Les Français ne consomment plus, ils ne vont plus dans les centres-villes », déplore le président des Chambres de métier et de l’artisanat -
Signaux faibles
Gilets jaunes et violences: les lacunes de la surveillance des réseaux sociaux
Le ministre de l’Intérieur se disait, dès vendredi, en alerte sur la mobilisation de manifestants ultra-violents. Faute d’utilisation appropriée des outils numériques, cela n’a pas empêché ces derniers d’agir et de mettre les Champs-Elysées à sac.