
AnaCap rachète pour 2 milliards d’euros de prêts italiens non performants
Un évènement L’AGEFI
European Finance Forum
Plus d'articles du même thème
-
Scintil Photonics lève 50 millions d’euros auprès d’un consortium mené par Yotta
Dans le cadre de ce financement de série B, Nvidia, NGP Capital et BNP Paribas Développement rejoignent des investisseurs historiques tels que Supernova Invest au capital de la start-up grenobloise. -
EXCLUSIF
Laurent Mignon (Wendel) : «Nous prévoyons d’élargir notre champ géographique et notre couverture produits»
Dans une interview exclusive à L’Agefi, le président du directoire de Wendel dévoile les ambitions de la société d’investissement et détaille ses projets de développement. -
Patrimoine Online à Bordeaux avec Yves Mazin (CNCGP & Version Patrimoine)
Le nouveau président de la CNCGP, également co-fondateur du cabinet Version Patrimoine, était l’invité de la rentrée.
ETF à la Une

Kraken étend son offre de trading actions et ETF à l'Union européenne
La plateforme d'échange de cryptomonnaies se lance dans le trading d’actions américaines et ETF, via des jetons xStocks de la blockchain Solana.
Les plus lus
- Le rachat de Mediobanca menace la fusion des gestions de Generali et BPCE
- Zucman contre Mistral, la France qui perd et la France qui gagne
- Le Crédit Agricole CIB transige sur les « CumCum »
- Mistral AI lève 1,7 milliard d’euros et accueille ASML à son capital
- Sébastien Lecornu commence son chemin de croix budgétaire avec Fitch Ratings
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Ecce eco
Gouvernement de coalition : la rigueur budgétaire risque d’attendre – par Emmanuel Combe
Les membres de la coalition risquent de se livrer à une guerre d’usure lors des arbitrages budgétaires -
Identités
De la Kabylie à la présidence de Dauphine – par Hakim El Karoui
Le Prénom d'El Mouhoub Mouhoud (Seuil), un livre fin et tout en nuances qui raconte une trajectoire croisée entre la France et l’Algérie, l’exigence de connaissance et le monde universitaire français -
Népal : trois ministres du gouvernement provisoire nommés après les émeutes meurtrières
Katmandou - La nouvelle Première ministre du Népal Sushila Karki a présenté lundi les trois premiers membres du gouvernement provisoire qu’elle dirigera jusqu’aux élections convoquées en mars après les émeutes meurtrières de la semaine dernière Les nouveaux ministres ont prêté serment à la mi-journée devant le chef de l’Etat Ramchandra Paudel, lors d’une courte cérémonie organisée sous une tente devant les ruines de la présidence incendiée par les manifestants. Ancien patron de l’Autorité de régulation de l'électricité, Kulman Ghisang s’est vu attribuer les portefeuilles de l’Energie, des Infrastructures, des Transports et du Développement urbain. Economiste reconnu et ancien secrétaire du ministère des Finances, Rameshwor Khanal a été promu ministre des Finances. Quant à l’avocat Om Prakash Aryal, spécialisé dans les dossiers de corruption, de gouvernance et de défense des droits humains et des libertés, il dirigera un grand ministère de la Loi, de la Justice et des Affaires parlementaires. L’ex-cheffe de le Cour suprême, Sushila Karki, 73 ans, a pris vendredi les rênes du pays dans la foulée des plus graves émeutes antigouvernementales que le pays a connues depuis l’abolition de la monarchie en 2008. Elle doit conduire le pays jusqu'à des élections législatives anticipées fixées le 5 mars 2026. Selon le dernier bilan publié par les autorités, les violences ont fait au moins 72 morts et des centaines de blessés, dont 191 étaient toujours hospitalisés dimanche. Le 8 septembre, la police a ouvert le feu à Katmandou sur des milliers de jeunes manifestants réunis sous la bannière d’une «Génération Z» venus dénoncer le blocage des réseaux sociaux et, au-delà, la corruption du gouvernement. Le lendemain, des groupes de manifestants ont mis à sac la capitale en incendiant et détruisant tous les symboles du pouvoir, dont le Parlement et de nombreux bâtiments ministériels. Au pouvoir depuis 2024, le Premier ministre KP Sharma Oli, a été contraint de démissionner. Lors de sa première prise de parole publique dimanche, Mme Karki s’est engagée à satisfaire les exigences des jeunes protestataires. «Nous devons travailler en accord avec la pensée de la génération Z», a-t-elle déclaré, «ce qu’ils réclament, c’est la fin de la corruption, une bonne gouvernance et l'égalité économique». Dans un pays où plus des trois quarts de la main d'œuvre sont employés dans l'économie informelle, plus de 20% des jeunes Népalais de 15 à 24 ans sont au chômage, selon de récentes estimations de la Banque mondiale. Alors que le produit intérieur brut (PIB) annuel par habitant frôle à peine les 1.450 dollars, les manifestants ont régulièrement dénoncé le train de vie luxueux des enfants de l'élite qui s’affichent sur les réseaux sociaux. © Agence France-Presse