«L’intérêt d’un investissement en infrastructures réside dans sa capacité à délivrer un revenu stable»

En France, l’allocation des institutionnels se dirige vers des actifs liquides : il reste donc 10 ou 20 % pour l’immobilier, les infrastructures, le private equity et un peu de produits plus exotiques comme les hedge funds. Harold d’Hauteville, directeur chez Deutsche AM Infrastructure Europe basé à Londres nous explique pourquoi et nous éclaire sur les cas de l’Australie et du Canada où les actifs illiquides sont plus importants. Il a participé le 8 décembre dernier à un panel lors de la Journée nationale des investisseurs, intitulé : « La concentration des portefeuilles institutionnels sur les actifs les plus liquides : peut-on parler d’exception française ? ».
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