Actions émergentes : à la fin, c';est la fin qui est le pire...

L’apathie prolongée des bénéfices publiés et la morosité des prévisions des entreprises émergentes ont induit une sous-performance d'égale durée des actions émergentes par rapport à leurs homologues développées. Après trois ans de flux négatifs de la part des investisseurs privés et plusieurs mois de rachats toute clientèle confondue, la « capitulation » des investisseurs va-t-elle coïncider avec un point bas de marché ?
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