
La BCE appelle le marché à se prononcer sur le remplaçant de l’Eonia
Le futur taux sans risque de la BCE, Ester, fait face à deux taux repo produits par Stoxx et NEX.
Bastien Bouchaud
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
La Banque du Canada se dirige à son tour vers une baisse de taux
La hausse plus faible que prévu de l’inflation canadienne au mois d’août a renforcé les convictions des investisseurs. -
La Banque de France ajuste ses prévisions à la baisse
L'institution évoque un contexte national incertain et des hypothèses plus défavorables qu’auparavant concernant l’environnement international. -
La BCE laisse de nouveau ses taux directeurs inchangés
Comme en juillet, la Banque centrale européenne maintient son principal taux à 2% après l'avoir divisé par deux en un an.
ETF à la Une

Kraken étend son offre de trading actions et ETF à l'Union européenne
La plateforme d'échange de cryptomonnaies se lance dans le trading d’actions américaines et ETF, via des jetons xStocks de la blockchain Solana.
Les plus lus
- Sébastien Lecornu commence son chemin de croix budgétaire avec Fitch Ratings
- Armani pourrait se vendre à un groupe français
- Le Crédit Agricole revendique une place dans l’accès aux soins et les services aux plus âgés
- Le patron de la Société Générale prend la menace Revolut au sérieux
- Les mutuelles s'adaptent à la nouvelle donne concurrentielle de la protection sociale
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Nestlé : départ anticipé du président Paul Bulcke après des remous à la direction
Genève - Le géant suisse de l’agroalimentaire Nestlé a annoncé mardi la démission de Paul Bulcke, président de longue date de son conseil d’administration (CA), un peu plus de deux semaines après le licenciement du directeur général du groupe en raison d’une «relation amoureuse non déclarée avec une subordonnée directe». Actuellement vice-président du CA, «Pablo Isla assumera la présidence du conseil d’administration à compter du 1er octobre, à la suite de la décision de Paul Bulcke de se retirer du conseil d’administration plus tôt que prévu», a indiqué Nestlé dans un communiqué. Le 1er septembre, Nestlé avait annoncé le licenciement avec effet immédiat de son directeur général, le Français Laurent Freixe, pour cause de «relation amoureuse non déclarée avec une subordonnée directe». Le même jour, le groupe l’avait remplacé par Philipp Navratil, patron de Nespresso depuis juillet 2024 et membre du CA depuis janvier dernier. Selon des informations de presse, des investisseurs auraient après ces annonces fait pression pour obtenir la démission de M. Bulcke, ressortissant belge qui fut directeur général de Nestlé pendant près d’une décennie avant d’en devenir président du CA en 2017. D’après le Financial Times, les investisseurs l’ont jugé responsable d’une période chaotique au sein de l’entreprise qui a culminé avec l'éviction de M. Freixe. Cité dans le communiqué du groupe, M. Bulcke, qui devait rester président du CA jusqu’en avril 2026, a déclaré mardi qu’il avait «pleinement confiance dans la nouvelle direction de Nestlé» et s’est dit «fermement convaincu que cette entreprise formidable est bien positionnée pour l’avenir». «Pour moi, c’est le bon moment de prendre ma retraite et d’accélérer la transition prévue. Cela permettra à Pablo Isla et à Philipp Navratil de poursuivre la stratégie de Nestlé et de mener l’entreprise avec un regard neuf», a-t-il ajouté. M. Isla a notamment salué dans le communiqué le «leadership exceptionnel» et l’"engagement indéfectible» de M. Bulcke envers le groupe. © Agence France-Presse -
Bannissements
Antisémitisme : le nouveau maccarthysme
Ostracisme, pressions, intimidations, procès d'intention : dans les événements culturels, sportifs et universitaires, la présence de juifs est de plus en plus remise en question. La dénonciation d'un soutien supposé à Netanyahou sert d'alibi à un antisémitisme désinhibé -
Tribunal
L’« antisémitisme » de La France insoumise au cœur d’un procès médiatique
Le philosophe Raphaël Enthoven, qui avait qualifié LFI de parti « passionnément antisémite », sera jugé le 23 septembre pour « injure publique »