Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
En dépit d’un premier semestre 2024 décevant, la banque britannique rehausse son objectif de rentabilité des fonds propres tangibles à plus de 12% à l’horizon 2026.
La banque espagnole, toujours à l’affût de sa rivale Sabadell, a signé une performance meilleure qu’attendu au deuxième trimestre. Mais la hausse des provisions jette une ombre sur ses perspectives. L’action dérape.
Levées de capitaux traditionnelles ou sous forme accélérée, ventes de blocs, introductions en Bourse ont affiché de belles couleurs sur les six premiers mois de 2024. La France présente un bilan contrasté.
Outre le pôle de santé grand public de Sanofi, engagé dans une procédure d'entrée en Bourse ou de reprise par des fonds de capital-investissement, plusieurs candidats sont tentés par une introduction dans les prochains mois.
Le groupe de médias a conclu un accord avec plusieurs investisseurs institutionnels pour refermer de vieux dossiers judiciaires liés à sa communication financière entre 2000 et 2002.
Avec le forfait du consortium conduit par Onepoint pour la restructuration financière du groupe de services numériques, l’homme d’affaires tchèque revient dans la course. Il tend la main aux créanciers en leur proposant 49% du futur tour de table d’un Atos financièrement assaini.
L'actionnaire de LVMH a pris selon Bloomberg une position dans le capital du propriétaire de Cartier et de Van Cleef & Arpels. De quoi faire réagir le titre du groupe suisse.
Construction de nouveaux réacteurs, foisonnement d’initiatives et de start-up vers des technologies de quatrième génération, remontée du prix du combustible, les signes d’un printemps du nucléaire se multiplient. Avec une singularité : l’investissement privé veut y trouver sa place.
L’opérateur de maisons de retraite est au cœur d’une augmentation de capital de 237 millions d’euros. Si la tension politique post-dissolution ne lui facilite pas la tâche, le groupe dispose d’un atout dans sa manche.