P { margin-bottom: 0.08in; } At a time when investors are massively selling Japanese equities, George Soros, with his firm Soros Fund Management, is still buying, the Wall Street Journal reports. The firm sold most of its positions on Japanese equities in May, before the recent fall, according to a source familiar with the matter. But last week, it returned to the market.
P { margin-bottom: 0.08in; } The Swiss firm Unigestion on 7 June announced its collaboration with the Centre for Asset Management Research (CAMR) at Cass Business School, a London-based establishment that ranks among the best producers of university financial research in Europe. As part of the collaboration, Unigestion displays its desire to explore and deepen its research programme and to produce new cutting-edge techniques in asset management. Via the research partnership, Unigestion will sponsor the annual CAMR conference in London; to be held in early December 2013, as well as a series of work seminars. Institutional investors, consultants and advisers from the industry will be invited to attend and participate in meetings to facilitate three-way dialogue and to discuss questions of application directly with asset managers and academics. Unigestion will also admit several Cass students for internships, in order to allow them to conduct more extensive research on topics that may be immediately applied as part of the investment process at the firm. Unigestion and Cass are assured that their collaboration will help to generate innovative new ideas in research and to encourage fruitful exchanges between the academic world and the world of asset management, in the interests of institutional investors. The first conference, on the subject of asset allocation between various segments of private equity, was held on Wednesday, 1 May at Cass Business School. The debate was introduced by Hanspeter Bader, head of private equity at Unigestion, and hosted by Edgar Miller, associate professor of private equity at Cass. The second conference will be held in September 2013.
P { margin-bottom: 0.08in; } Syz & Co has recruited Thomas Mesmin, a specialist in consumer products, to strengthen the team of manager Eric Bendahan, Citywire Global reports. He will work on the Oyster European Opportunities and Oyster European Selection funds. He had previously worked for Credit Agricole Cheuvreux in Paris.
P { margin-bottom: 0.08in; } The European Securities and Markets Authority (ESMA) has formally approved the registration of Dagong Europe Credit Rating Srl (Dagong Europe), based in Italy, as a credit rating agency (CRA) under Article 16 of the CRA Regulation. The registration takes effect from 13 June 2013.
P { margin-bottom: 0.08in; } John Paulson would like investors to stop focusing on his bets on gold, the Wall Street Journal reports. The billionaire fund manager was one of the most bullish investors in the precious metal, and suffered heavy losses as a result. His USD18bn firm will now cease to include the performance of its gold fund in monthly bulletins to investors, according to a letter sent to investors on Thursday. Paulson regrets that problems with the gold fund have eclipsed the good performance of his other funds. The gold fund and other strategies in that area represent only 2% of assets at the firm.
P { margin-bottom: 0.08in; } 83% of investments in hedge funds last year were made at “full price,” without negotiations over fees, a new study by Goldman Sachs, cited by Financial News, reveals. The standard in the industry is management fees of 2%, and performance fees of 20%.
P { margin-bottom: 0.08in; } Lars König has left Citigroup Global Markets Deutschland, where he had been a specialist in institutional sales for Germany and head of relationship management for pension funds, to join Schroders Germany as director of institutional sales for Germany and Austria, where he will report to Carlos Böhles. Axa Investment Managers Germany has also announced that it has added to its institutional sales team with the recruitment of Martin Köhler as senior institutional sales manager. Köhler will now report directly to Jörg Schomburg, director of institutional sales for Germany. The new recruit had served in the same role at Credit Suisse, after spending ten years as manager of a diversified fund at Deka.
La contraction du PIB italien a été revue à 0,6% au premier trimestre contre une baisse estimée initialement à 0,5% par l’institut national des statistiques le 15 mai. Sur un an, la baisse du PIB atteint 2,4%. La récession en Italie devrait se poursuivre pour le huitième trimestre consécutif à fin juin, comme le laisse craindre le recul de la production industrielle en avril.
Selon une étude de Natixis Global Asset Management, 88% des investisseurs institutionnels français et 68% des européens s’attendent à des difficultés dans le financement de leur passif à long-terme au cours des trois prochaines années. Plus de 90% s’accordent à dire que la faiblesse des rendements et la baisse des performances représentent les principaux risques de portefeuille. 88% s’inquiètent également de l’impact de la volatilité sur leurs portefeuilles et 61 % considèrent que l’inflation sera source de difficultés au cours des trois prochaines années. L'étude a été menée auprès de 500 institutions, dont 40 en France, gérant 11.500 milliards de dollars.
CVC, Permira et Charterhouse comptent remplacer 4 milliards de livres de prêts à taux élevés contre une dette à long terme moins coûteuse dans le cadre d’un refinancement qui pourrait mener à une scission d’Acromas, d’après le Sunday Times. Les fonds pourraient céder le service d’assistance routière AA puis vendre des parts dans Saga, qui fournit des services aux seniors. Quelque dix établissements dont Deutsche Bank, RBS et Barclays travaillent sur l’opération.
La justice américaine a débouté le fournisseur de données financières qui contestait une nouvelle règle sur le trading des swaps mise en œuvre par la Commodity Futures Trading Commission, le régulateur américain des marchés à terme. Bloomberg estimait que la mise en place de marges dans le cadre d’une swap execution facility (SEF)risquait de nuire à son activité.
François Hollande a déclaré samedi au Japon que le rapport de la commission d’experts sur l’avenir des retraites mettra toutes les options sur la table mais qu’il reviendrait au gouvernement de faire son choix après concertation. La présidente de la commission d’experts sur l’avenir des retraites, Yannick Moreau, remettra vendredi prochain son rapport au Premier ministre, lit-on dans l’agenda officiel de Jean-Marc Ayrault.
La Cour constitutionnelle allemande tient mardi et mercredi des auditions sur le bien-fondé du programme de rachat de dette souveraine présenté par la Banque centrale européenne (BCE) en septembre dernier et auquel s'était opposée la banque centrale allemande, dirigée par Jens Weidmann.
Le groupe américain, qui détient 100% du capital depuis le début de l’année, a «entrepris une restructuration pour ramener la structure européenne à l’équilibre», indique au quotidien Emmanuel Laussinotte, le président de Raymond James European Securities, holding détenant Raymond James Euro Equities. 8 collaborateurs sur une trentaine à Paris seraient concernés, de source de marché. Mais «le chiffre n’est pas définitif» selon le quotidien.
Les autorités chinoises ont approuvé le lancement d’un fonds ETF indexé sur l’or libellé en yuan et qui sera échangé à la Bourse de Shanghai par Guotai Asset Management, indique la radio officielle chinoise sur son site internet. Parallèlement, Huaan Asset Management a également indiqué hier avoir reçu l’aval des autorités pour lancer un fonds du même type.
Pierre Michel, directeur général adjoint chargé des finances de la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) à la rédaction de www.institinvest.com : Nous gérons au total 8,7 milliards d’euros d’actifs en valeur de marché (chiffres au 31 décembre 2012), dont 1,8 milliard sous forme de fonds, et le reste en direct. Nos actifs se décomposent de la manière suivante : 10 % de monétaire, 66 % d’obligations, 8 % d’actions, 8 % d’immobilier et 5 % de diversifiés. Sur les 10 % de placements monétaires et de trésorerie, 6 % sont en devises car 38 % de notre activité de réassurance est réalisée hors de France et en partie hors zone euro. Nous détenons 4 % de monétaire en euro, nécessaires au règlement des sinistres, mais nous cherchons à en avoir le moins possible. Nous bénéficions, hors année de catastrophe naturelle majeure, d’un fort cash-flow positif lié non seulement aux primes de réassurance que nous percevons, mais aussi, aux intérêts financiers et aux tombées obligataires. Cela nous autorise à ne disposer que d’un minimum de trésorerie en euro. Nous détenons 8 % d’actions dans le portefeuille. Nous ne nous sommes pas dotés des ressources internes qui nous permettraient d’investir en titres vifs, qui ne représentent que 0,5% de nos investissements. Le reste est constitué de fonds. C’est donc environ 7,5% de nos actifs qui sont répartis sur une trentaine de positions actions, auprès d’une vingtaine de sociétés de gestion. Ce nombre est plus élevé que chez la moyenne des assureurs, ce qui témoigne de notre processus d’investissement particulièrement exigeant. Nos trois gérants analysent les sociétés de gestion, les équipes, les fonds, disposant pour cela d’une base de données propriétaire. En outre, le comité financier d’investissement, en présence de notre présidente-directrice générale, Stéphane Pallez, valide ces analyses. Le processus d’introduction d’un fonds sur notre liste d’achat est méticuleux. Notre appréhension du risque est très réfléchie, et d’ailleurs jamais nous n’avons été en situation de moins-values globale sur le portefeuille.
CNP Assurances et Natixis ont signé un protocole d’accord en vue d’investir conjointement, via un partenariat, dans des prêts d’infrastructures. CNP Assurances voit dans cette classe d’actifs des opportunités d’investissement intéressantes lui permettant de diversifier son portefeuille d’actifs tout en bénéficiant d’un profil rendement-risque attractif. Par ailleurs, en tant qu’investisseur institutionnel français majeur, CNP Assurances entend assumer son rôle dans le financement de projets d’infrastructures afin de promouvoir une croissance durable, efficace dans l’utilisation des ressources et créatrice d’emplois, dans l’esprit de la stratégie Europe 2020. Natixis est un établissement financier français de premier plan et un acteur de référence sur le marché des financements d’infrastructures. Natixis a développé une plate-forme opérationnelle destinée à faciliter l’accès des investisseurs institutionnels à cette classe d’actifs. Les principales caractéristiques de l’accord entre CNP Assurances et Natixis sont les suivantes : Natixis sera chargée d’originer et de proposer à CNP Assurances de nouvelles opérations sur le marché primaire de la dette infrastructure répondant aux critères retenus par les deux parties (pays, secteurs, devises, etc.) ; Après application de ses propres procédures d’analyse et approbation par son comité crédit, CNP Assurances sélectionnera les opérations qu’elle souhaite financer en visant un investissement unitaire compris entre 50 et 150 millions d’euros ; Natixis conservera une part significative de chaque prêt à son bilan, afin d’aligner les intérêts des deux parties pendant toute la durée de vie de l’opération ; CNP Assurances vise à se constituer ainsi un portefeuille de financements d’infrastructures d’un montant pouvant atteindre 2 milliards d’euros en trois ans ; Natixis assurera le servicing et la gestion des actifs de ce portefeuille. Un accord de partenariat similaire avait été signé en décembre 2012 entre Ageas et Natixis. Fort de ce nouveau partenariat avec CNP Assurances, Natixis et ses partenaires sont désormais en mesure de réunir des fonds significatifs pour financer des projets d’infrastructures en Europe. Natixis poursuivra le développement de sa plate-forme dédiée aux infrastructures en l’adaptant à d’autres devises.
Le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn s’est invité vendredi dans la polémique apparue entre le Fonds monétaire international et l’Union européenne sur le traitement de la crise grecque. «Je rappelle que le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn n’avait pas proposé de restructuration de la dette anticipée (et que) Christine Lagarde y était opposée», a dit à Olli Rehn à Reuters en marge d’une conférence à Helsinki. Le FMI a admis jeudi que les exigences posées par lui-même et ses partenaires de la «Troïka» en contrepartie de l’aide accordée à Athènes étaient inadaptées. La Commission européenne a rejeté par la suite le mea culpa du FMI en estimant qu’une restructuration de la dette grecque dès 2010, tel que préconisé dans le dernier rapport du Fonds sur le plan d’aide international, aurait été une mauvaise solution.