
Swisscanto lance un fonds d’obligations durables
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Dans l’avion du pape François – par Bernard Quiriny
Le fou de Dieu mélange un portrait du Pape François, une chronique folklorique sur les voyages papaux, une réflexion sur la puissance diplomatique du Vatican, une visite dans les coulisses de la curie, un recueil d’entretiens avec toutes sortes de prélats, ainsi qu’une introspection personnelle où Cercas sonde son rapport à la foi, à l’Eglise et au Saint-Père -
Après des intoxications alimentaires et de graves manquements à l’hygiène, un Burger King ferme à Lure
Besançon - Les services de l’Etat ont ordonné la fermeture d’un restaurant rapide Burger King à Lure, en Haute-Saône, à la suite de «plusieurs cas d’intoxication alimentaire chez des convives», et d’inspections ayant révélé des problèmes d’hygiène et des «odeurs nauséabondes», a annoncé mardi la préfecture. Cette mesure est justifiée par des «faits graves, susceptibles de présenter un risque pour la santé des consommateurs» fréquentant ce restaurant situé dans une zone commerciale, en périphérie de cette ville de 8.000 habitants, a expliqué dans un communiqué le préfet de Haute-Saône, Serge Jacob. Les inspecteurs qui se sont rendus sur place lundi «ont constaté plusieurs manquements graves», tels qu’une «absence d’hygiène des locaux, des équipements et des enceintes réfrigérées», des «odeurs nauséabondes dans les locaux de préparation» et une «incapacité du personnel à assurer la salubrité des denrées alimentaires», détaille la préfecture. L'établissement ne pourra rouvrir que lorsque les inspecteurs de la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP) auront constaté que toutes les «mesures correctives» nécessaires auront été mises en oeuvre, ont encore indiqué les services de l’Etat. Contactée, la communication de Burger King a indiqué qu’elle réagirait plus tard dans la journée. © Agence France-Presse -
Donald Trump à Londres : faste royal pour la deuxième visite d'État du président américain
Londres - Donald Trump est attendu mardi soir au Royaume-Uni pour une deuxième visite d’Etat historique, où la pompe royale se déployera en grand pour amadouer le président américain. Des milliers de manifestants ont prévu de protester à Londres contre sa venue, mais le président de 79 ans, très impopulaire au Royaume-Uni, évitera la capitale. Protégé par un dispositif de sécurité massif, sur terre, dans les airs et sur la Tamise, M. Trump doit rester confiné mercredi dans l’enceinte du château de Windsor, à 40 km de Londres, pour la partie royale de ce voyage d’Etat. Même la traditionnelle procession en calèche aura lieu dans le parc de Windsor, évitant les rues de la petite ville. M. Trump rencontrera ensuite jeudi le Premier ministre Keir Starmer à Chequers, sa résidence officielle de campagne à 70 km de Londres, pour un volet plus politique et économique, avant de repartir le soir même. Selon certains médias britanniques, le roi Charles III, 76 ans, toujours soigné pour un cancer, n'était pas emballé à l’idée de réinviter l’imprévisible président américain qui avait déjà eu les honneurs d’une première visite d’Etat en 2019, accueilli par la reine Elizabeth II. Mais le gouvernement travailliste entend capitaliser sur la fascination de Donald Trump pour la famille royale, et ainsi renforcer la «relation spéciale» historique entre Londres et Washington. Cette visite représente «un moment très important» pour les deux hommes, estime Evie Aspinall, directrice du centre de réflexion British Foreign Policy Group. Trump, dont la mère était Ecossaise, pourra «savourer le faste et le cérémonial qu’il affectionne», souligne-t-elle. Pour Starmer, «c’est l’occasion de détourner l’attention du mécontentement» dans le pays, «et de braquer les projecteurs sur les questions internationales, où il a connu le plus de succès en tant que Premier ministre», ajoute-t-elle. Investissements Cette visite doit aussi acter au moins dix milliards de livres (11,56 milliards d’euros) d’investissements américains au Royaume-Uni dans la tech, le secteur bancaire et le nucléaire, lorsque M. Starmer recevra Donald Trump à Chequers. Keir Starmer cajole le président américain depuis que ce dernier est revenu au pouvoir en janvier. Cette stratégie lui a permis d’amortir l’impact des droits de douane et de garder une ligne de communication avec Trump sur l’Ukraine, au menu des discussions, ou sur Gaza. Pour cette deuxième visite d’Etat, rien ne sera trop beau pour divertir Donald Trump et son épouse Melania. En fin de matinée mercredi, le couple sera accueilli en grande pompe par le roi et la reine Camilla à Windsor. Une salve royale sera tirée du château et depuis la Tour de Londres en leur honneur, avant que le roi, la reine, le prince héritier William et son épouse Catherine se joignent à eux pour la procession en calèche. Une garde d’honneur XXL, avec trois régiments de la Garde royale accueillera ensuite Donald et Melania Trump avec fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château. «C’est plus important que pour sa première visite... c’est la garde d’honneur la plus importante de mes 20 ans de carrière», explique à l’AFP le lieutenant-colonel Storm Green. Donald Trump passera en revue cette garde d’honneur, avant un déjeuner en privé avec la famille royale. Une autre cérémonie militaire, avec un survol de la patrouille acrobatique des «Red Arrows» précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités. «Passer un bon moment» «Je veux passer un bon moment et respecter le roi Charles qui est un vrai gentleman», avait déclaré en juillet Donald Trump à propos de cette visite. Elle survient à un moment délicat pour Keir Starmer, contesté au sein même de son parti après deux semaines calamiteuses qui ont vu le départ de sa numéro 2 Angela Rayner et le limogeage de son ambassadeur à Washington Peter Mandelson, après des révélations sur ses liens étroits avec le criminel sexuel américain Jeffrey Epstein. Un sujet dont Donald Trump aurait préféré qu’il ne traverse pas l’Atlantique, car il était lui aussi un temps proche d’Epstein, qui est mort en prison, et l’affaire l’empoisonne depuis de longues semaines. Cette visite d’Etat verra «l’amitié indestructible» entre les deux pays «atteindre de nouveaux sommets», a promis Downing Street. Melania Trump aura son propre programme jeudi avec la reine Camilla - si elle est guérie de la sinusite aiguë dont elle souffrait mardi - et la princesse Kate. Brigitte DUSSEAU avec Danny KEMP © Agence France-Presse