Les différentiels de taux pèsent sur le dollar

Depuis lundi, l’euro/dollar a rebondi de 3,5 % à un plus haut depuis novembre 2009 de 1,463
Tân Le Quang

Nourri par la mise sous perspective «négative» de la note à long terme des Etats-Unis par S&P, le mouvement violent d’aversion pour le risque du début de semaine dont a profité le billet vert a fait long feu. Depuis qu’il a touché un plancher lundi de 1,415, l’euro/dollar a rebondi de 3,5% à un record depuis novembre 2009 de 1,4649 malgré les risques de restructuration de la dette grecque. La faute aux différentiels de taux, à l’avantage de l’euro, soutenu par les anticipations de hausse du refi de la BCE.

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